Votre mur y compris le chaperon lorsqu'il existe (haut du mur en forme de toit) doit respecter une hauteur minimum de 2,60 mètres. la loi ne prévoit pas de hauteur maximale .
La formule se lira comme suit : L'expression ((2.4m + 1.5m) / 2 ) représente la moyenne de hauteur du mur entre 1,5 mètres du côté droit et de 2,4 mètres du côté gauche.
La hauteur de ce “jour” ne doit pas excéder 2,60 mètres au rez-de-chaussée et 1,90 mètre en étage. Sachez que l'accord de votre voisin demeure toutefois nécessaire puisqu'il s'agit d'une construction en limite de propriété.
La hauteur se mesure à partir du niveau d'origine du terrain sur son point le plus haut.
La hauteur à l'égout du toit ou à l'acrotère ne doit pas dépasser 6 mètres. La hauteur absolue des constructions toutes superstructu- res comprises ne doit pas dépasser 8 mètres comptés à partir du sol naturel avant travaux.
Le mur de clôture ne devra pas excéder 3,20 mètres de haut si vous habitez dans une commune de plus de 50 000 habitants. Il ne devra pas excéder 2,60 mètres de haut si vous vivez dans une commune de moins de 50 000 habitants.
La hauteur au faitage d'un plain pied peut légèrement varier entre 4M et 4,5M, selon si la maison est encastrée ou sur vide sanitaire.
Droits : peut-on construire contre le mur mitoyen ? Vous pouvez, par exemple, appuyer sur un mur mitoyen une construction ou un « ouvrage », telle une serre, ou encore y placer des poutres et des solives (art. 657 du Code civil).
Selon cet article, inchangé depuis 1804, « tout copropriétaire peut faire bâtir contre un mur mitoyen ». A l'inverse, on ne peut s'appuyer sans autorisation sur un mur privatif.
Aucune formalité n'est requise si la hauteur du mur est inférieure à 2 mètres. Au-delà, les choses se compliquent. La loi permet d'effectuer certains travaux librement à l'extérieur de sa maison, mais en fonction de leur nature et de l'ampleur de ces aménagements, des autorisations d'urbanisme sont parfois nécessaires.
Contrairement aux plantations il n'existe pas de distance pré requise entre la limite de propriété et la clôture. La clôture peut très bien être posée juste à la limite de la propriété ou en deçà, celle-ci ne constitue en rien une nouvelle délimitation. Seul le bornage fait foi en la matière.
Le plan d'occupation des sols en vigueur sur la commune, au vu de l'article 11, prévoit pour chaque zone l'obligation d'enduire le mur dans le cas d'une clôture ou dans le cas d'un bâtiment. Chaque propriétaire à l'obligation de consulter le règlement en mairie pour connaître la règle applicable.
Les critères d'un logement décent
Cependant, un logement est considéré comme décent s'il dispose au moins d'une pièce principale ayant soit une surface habitable au moins égale à 9 mètres carrés et une hauteur sous plafond au moins égale à 2,20 mètres, soit un volume habitable au moins égal à 20 mètres cubes.
Puis-je m'y opposer ? La construction effectuée contre un mur mitoyen suppose l'accord préalable du voisin. Le refus du voisin peut être justifié si la construction affecte la solidité du mur.
En principe, les clôtures sont dispensées de formalité. Cependant, quels que soient les matériaux utilisés, l'installation d'une clôture peut être concernée par le dépôt d'une déclaration préalable de travaux (DP) dans certains secteurs : Secteur délimité par le PLU : PLU : plan local d'urbanisme.
Respect de la vie privée
Le droit à l'intimité de la vie privée est garanti par l'article 9 du Code civil. La vie privée n'est pas définie par la loi, mais les tribunaux y incluent le secret de la résidence et du domicile. Il est donc interdit d'attenter à cette intimité en observant ses voisins.
La pergola, le store ou le voile d'ombrage permettent de cacher un vis-à-vis en hauteur. Une haie d'arbustes persistants ou fleuris offre un cadre bucolique agréable en plus d'une bonne protection visuelle. C'est souvent la meilleure solution pour se cacher des voisins en lotissement.
Le voisin qui construit un mur en limite de propriété en assure aussi la peinture, sauf accord amiable avec celui qui a vue sur l'autre côté.
Dans ce cas, le mur appartient exclusivement au propriétaire du côté duquel se trouve la pente, les tuiles ou les bordures. un mur peut être mitoyen en totalité, ou seulement sur une partie.
En effet, puisqu'elle marque une limite séparative entre deux propriétés, elle est censée être mitoyenne et être la propriété des deux copropriétaires mitoyens. Cependant, si l'un des deux voisins possède un titre qui justifie qu'il est le seul propriétaire, alors le mur lui appartient et il s'agit d'un mur privatif.
4 mètres, soit 24 marches pour un magasin, grande surface, gare ou bâtiment d'exposition (un escalator ou travelator est bien souvent utilisé dans ce cas) ; 1,90 mètre, soit 10 marches pour un train ou bus à 2 niveaux.
La hauteur des constructions est limitée à 7,50 m au faîtage (ce qui correspond à un bâtiment de type R + 1 pour les toitures à faible pente), dans une bande de 10 m de large parallèle à la voie d'accès principale: rue, avenue, impasse, venelle, raquette de retournement.