L'araméen a été retenu comme langue liturgique par certaines Églises orientales, sous la forme du syriaque, variété araméenne dans laquelle a été diffusé le christianisme oriental. Ces communautés parlent encore cette langue ou emploient une autre forme d'araméen comme langue vernaculaire.
L'araméen est surtout connu comme la langue de Jésus. Cette langue sémitique, originaire de la région du cours moyen de l'Euphrate, avait essaimé jusqu'en Syrie et en Mésopotamie entre 800 et 600 avant Jésus- Christ.
Dieu parle probablement une langue ou plusieurs langues. Chez les chrétiens, Dieu est omniscient et a mis en chaque chose, une part de sa création. Donc, toutes les personnes qui parlent une langue, parlent la langue de Dieu. Ce qui veut dire que Dieu parle toutes les langues chez les chrétiens.
L'hébreu. C'est en hébreu qu'a été rédigé l'essentiel de la Bible – si l'on met à part le Nouveau Testament de la Bible chrétienne.
Mais les interprétations des commentateurs juifs varient, que ce soit sur la langue d'Adam (considérée majoritairement comme l'hébreu, mais parfois le syriaque ou l'araméen25), ou sur sa nature (révélée, forgée à partir d'une capacité infuse, conventionnelle).
On ne sait pas quelle langue on y parlait, mais il est possible qu'il s'agissait d'une langue sémite, donc de la même famille que l'hébreu. Si vous croyez que Dieu a créé Adam et Eve, vous êtes un "créationniste" et il n'en reste que peu parmi les grandes religions du monde.
Ils peuvent donc demander : “Qu'y avait-il avant Dieu ?” Mais le Dieu éternel n'est pas un effet. Il n'y a jamais eu de temps où il ne fut pas. L'existence de Dieu ne dérive de rien d'autre que de lui-même, et elle ne dépend de rien d'autre que de lui-même.
Comme l'indique la notice de la Bibliothèque nationale de France (BNF) consacrée au Codex Vaticanus , il s'agit du « plus ancien manuscrit (grec) complet conservé de l'Ancien Testament, et une grande partie du Nouveau Testament, datant sans doute du IVème siècle, et conservé à la Vaticane depuis 1475.
La Tradition attribue les cinq premiers livres à Moïse, le livre des Psaumes à David ou tel autre encore au prophète Isaïe ou à Jérémie. On sait aujourd'hui que la composition de la Bible a été longue et complexe, faite d'emprunts à des traditions orales, à des chroniques royales ou encore à des écoles de pensée.
Jésus parlait donc l'araméen dans la vie de tous les jours, et parce qu'il voulait être compris des foules qui venaient l'écouter, ses enseignements étaient donnés en araméen. Le texte des évangiles en porte d'ailleurs la trace.
Né dans une famille juive de Galilée, Jésus a été élevé dans la religion juive et parlait habituellement en araméen, la langue sémitique utilisée par les juifs après l'exil de Babylone (586-538 av. JC). A cette époque l'araméen était une langue internationale, parlée par les divers peuples du Moyen-Orient.
Parce que le Christ voulait être compris des foules, notamment celles qui venaient écouter ses enseignements, ce dernier s'exprimait en araméen, parlé par un nombre important de peuples du Moyen-Orient. Toutefois, l'hébreu ayant subsisté dans la liturgie, il parlait également cette langue.
Dans les Évangiles, Jésus révèle avoir une relation très particulière avec Dieu, qu'il appelle « Père ».
Jésus, initiateur du mouvement religieux à l'origine du christianisme, est le personnage principal des quatre Évangiles, qui lui attribuent le titre de Christ – Messie consacré par l'onction de Dieu – et le désignent comme celui qui « sauvera son peuple de ses péchés ».
Ainsi, la forme Yeshoua (ישוע) est souvent employée dans les traductions du Nouveau Testament en hébreu. Le nom Yeshoua est aussi utilisé dans des textes historiques d'hébreu israélites pour parler d'autres Joshua mentionnés dans des textes en grec comme Jésus ben Ananias ou Jésus ben Sira.
La Bible*, ou du moins celle que les chrétiens appellent « Ancien Testament », est un ensemble de livres composés, peu à peu, dans le milieu de la communauté d'Israël* au cours du Ier millénaire avant notre ère.
Pour les Évangiles, le Codex Sinaiticus est considéré, après le Codex Vaticanus, comme la seconde version la plus fiable ; pour les Actes des Apôtres, il est l'égal du Codex Vaticanus ; pour les Épîtres, le Codex Sinaiticus est la meilleure version.
Le mot « bible » vient du grec ancien biblos ou biblion correspondant à l'hébreu sépher — « livre » — qui a donné τὰ βιϐλία (ta biblia), un substantif au pluriel qui signifie « les livres », soulignant son caractère multiple, qui est traité par les auteurs médiévaux en latin comme un féminin singulier, biblia, avec ...
La terre était informe et vide : il y avait des ténèbres à la surface de l'abîme, et l'esprit de Dieu se mouvait au-dessus des eaux.
Avant l'acte créateur de Dieu, le monde n'est pas un chaos aqueux, mais une étendue désertique : « Telle est la naissance du ciel et de la terre lors de leur création.
« Personne n'a jamais vu Dieu », affirme l'évangile de Jean (Jn 1,18) – et cela nous semble l'évidence même. Le Dieu de la Bible est esprit, il est « immortel, invisible, seul Dieu » (1 Tm 1,17). On ne peut pas le voir.
Adam et Ève sont, selon la Genèse, les premiers êtres humains sur la Terre. Ils vécurent dans le jardin d'Éden. Ils furent chassés par Dieu de ce merveilleux jardin car ils mangèrent du fruit défendu de l'arbre de la connaissance du bien et du mal.
Le péché originel est une doctrine de la théologie chrétienne qui décrit l'état dégradé de l'humanité depuis la Chute, c'est-à-dire la désobéissance d'Adam et Ève, premiers êtres humains créés par Dieu : dans le Livre de la Genèse, ils mangent le fruit défendu de l'arbre de la connaissance du bien et du mal.
Les anges questionnèrent Adam; ils savaient que celui-ci possédait un savoir qui leur faisait défaut et qui était essentiel à la vie des hommes sur terre. Ils demandèrent : « Qui est-ce? » Et Adam répondit : « C'est Ève ». Ève est appelée Hawwa, en arabe; ce nom provient du mot-racine hay, qui signifie « vivre ».