Résumer un texte, c'est se mettre à la place de l'auteur et reprendre – en son nom – l'argumentation en la réduisant au quart des mots utilisés. Pour faire le résumé d'un texte, il faut donc le réduire. Cela implique deux choses : l'abandon de certaines idées et la reformulation abrégée de celles qui sont essentielles.
Un résumé fidèle doit être précédé par un effort d'analyse.
Cette période d'étude du texte peut être décomposée en trois phases : la lecture, l'analyse et la réflexion sur le texte.
Le résumé doit être reformulé de manière intelligible et fidèle. Se relire en prenant le point de vue de quelqu'un qui n'a pas lu le texte est crucial. Le résumé doit être fluide. Il ne faut pas utiliser de phrases trop longues ou trop brèves et agencer les idées du texte (mais les garder dans l'ordre).
objectivité et neutralité : le résumé de texte n'est ni une analyse, ni un commentaire. Il ne doit comprendre ni critiques, ni approbations. Et, bien entendu, aucune digression.
L'essentiel doit se trouver dans la première phrase, celle-ci doit éveiller l'intérêt des lecteur·rice·s. Par exemple, il est possible de commencer par évoquer un personnage central avec la présence de mots-clés. Ces mots-clés donnent une indication aux lecteur·rice·s sur le genre du livre.
Faut-il rédiger une introduction ? Quelle que soit la nature du texte à résumer, la réponse est fermement positive. Comme dans une dissertation générale, il vous faut poser le sujet, c'est-à-dire définir le problème traité, et présenter un fil directeur (annonce du plan des développements).
L'introduction donne le ton de l'ensemble du document mais aborde des questions légèrement distinctes de celles du résumé. Cela fonctionne sur ce principe: introduire le sujet de l'article, le placer dans un contexte plus large puis le résumer graduellement en une problématique de recherche, une thèse et une hypothèse.
Faire un résumé, c'est réécrire un texte, en respectant le ton, le style et les idées de l'auteur, de manière plus condensée. Un résumé n'est ni une critique, ni une analyse du texte, pas plus qu'il n'est un mémento ou une fiche personnelle sur le texte.
La conclusion doit comporter trois étapes et remplir les fonctions suivantes : – récapituler : il faut, en quelques phrases, résumer la démonstration, en rappelant les différents axes du développement ; – donner son avis, en prenant clairement position par rapport à la question posée dans le sujet.
Le compte-rendu de texte présente les idées les plus importantes d'un texte. Vous devez contracter un texte T1 en un texte T2 en mettant en relief l'idée principale exprimée et en relatant les autres idées. Il s'agit de rendre compte des pensées de l'auteur tout en restant objectif.
Certains mots servent à bien marquer cet enchaînement et à indiquer qu'il s'agit bien d'une conclusion : Au bout du compte, mais, c'est, enfin, telle est… Compte tenu de leur clarté, de leur pertinence et de leur cohésion, à la correction du Ministère, cette conclusion et l'introduction réunies ont reçu la cote A.
Les résultats : le résumé doit expliquer brièvement les résultats obtenus par les expérimentations et les recherches. La conclusion : à la fin du résumé, un bref rappel de la conclusion permet d'évoquer les déductions du chercheur.
L'ouverture figure souvent sur la partie finale de la conclusion. Elle doit transmettre un message clair pour tous les auditeurs cibles. C'est là que poser des questions pas encore répondues ou résolues est de mises pour donner une réflexion.
le passé simple (et l'imparfait) pour raconter les événements contemporains du moment qui sert de repère ; le passé antérieur et le plus-que-parfait pour raconter les événements qui se situent avant ce moment repère ; le futur du passé pour raconter les événements qui se situent après ce moment repère.
Il existe trois types de résumés les plus utilisés : descriptif, informatif et visuel.
Pour être efficace, une introduction se déroule en 4 étapes : l'approche, l'explication du sujet, la formulation de la problématique, et enfin l'annonce du plan. L'accroche peut se faire notamment par le biais d'une citation ou d'un fait d'actualité.
Une bonne accroche doit introduire non seulement le sujet, mais aussi le problème soulevé par ce sujet. Elle peut suggérer une première réponse au sujet : soit sous forme d'un exemple pouvant être réfuté immédiatement en émettant un doute, soit en utilisant une citation pertinente liée au sujet.
Régles à respecter : accroche du sujet, définition des termes du sujet, présentation de la problématique, annonce du plan. Rédiger le développement : Le style doit être précis, les phrases courtes. Espacer les parties et sous-parties auxquelles vous donnerez un titre.
2. L'accroche basée sur des mots-clés. Exemple : "Mes qualités : organisé(e), optimiste, déterminé(e), flexible et toujours souriant(e)." On retrouve souvent cette accroche sous la forme d'un encadré, encore une fois juste en-dessous du titre du CV pour respecter la mise en page classique du document.
Encore appelée « amorce » ou « phrase d'ouverture », cette étape n'est pas obligatoire mais fortement conseillée. Son objectif : capter l'attention du lecteur, lui donner envie d'en lire davantage. Cette accroche doit être courte, pas plus de deux phrases.
De manière générale, un texte comporte une introduction, un développement et une conclusion. Voici ce qui caractérise chacun : L'introduction informe le lecteur du sujet, des aspects qui en sont traités et donne un aperçu du plan que l'on va suivre dans le développement.
Pour résumer, une question ouverte doit avoir un objectif précis, et sa formulation ne doit pas laisser place à l'ambiguïté : c'est pourquoi il est important de bien cadrer la question pour que les réponses données ne sortent pas des limites que vous vous êtes fixées.
Le compte rendu, c'est la contraction d'un texte, au tiers de sa longueur environ. Il met en relief l'idée principale et toutes les idées qui s'y rapportent. Il reconstitue la structure logique de la pensée de l'auteur sans suivre systématiquement l'ordre du texte.
Votre résumé de texte doit être facile à lire et retranscrire l'essentiel de la pensée de l'auteur en donnant des informations exactes. Évidemment, vous devez respecter le nombre de mots demandés dans la consigne en ne mettant en valeur que l'essentiel : dix mots de trop peuvent vous faire perdre un point…