La source de cette fable est Ésope : "L'Homme et le Lion voyageant decompagnie." La moralité était : Beaucoup de gens se vantent en paroles....
Résumé de l'histoire : « On a toujours besoin d'un plus petit que soi », et même le roi des animaux peut un jour être sauvé par un modeste rat ! Explication de la morale : il ne faut pas mépriser les plus petits, ou les plus faibles ; chacun a ses qualités et apporte quelque chose aux autres.
Le corps est la fable, l'âme est la moralité ». Ainsi, la morale permet de conclure l'histoire construite autour d'elle, sur une leçon de vie. Elle permet aux enfants et aux parents de réfléchir ensemble sur le bon comportement à adopter avec les autres comme par exemple être généreux, humble ou encore altruiste.
Morale. « Qu'une personne soit puissante, riche, célèbre ou forte, elle subira le même sort (la mort) que ceux qui le sont moins. Le décès physique suit le décès social. »
Morale explicite :
Le lecteur comprend ici qu'il faut savoir garder la raison, particulièrement lorsqu'une personne nous flatte et nous dit ce qu'on veut entendre. Le renard désirant le fromage, se met à flatter le corbeau et ce dernier le fait alors tomber à ses dépens, trop absorbé par les compliments du renard.
La morale est un ensemble de principes de jugement, de règles de conduite relatives au bien et au mal, de devoirs, de valeurs, parfois érigés en doctrine, qu'une société se donne et qui s'imposent autant à la conscience individuelle qu'à la conscience collective.
Enseignement qui se dégage de quelque chose, conduite que l'événement ou le récit invite à tenir : La morale de l'histoire.
La morale de la fable
L'originalité du Lion et du Moucheron est de proposer deux morales : Juger à sa juste valeur son ennemi, qui parfois semble inoffensif, mais qui est souvent le plus dangereux. Vaincre certains dangers ne met pas à l'abri d'une mort ordinaire et subite.
Avec cette figure du Berger proprement au cœur de la fable (6 vers avant, 5 après), La Fontaine vient donc insidieusement nous interroger sur la nature de notre courage : il n'est de vrai courage pour La Fontaine que celui qui s'attache à la vie.
Grâce au caractère qu'il attribue à chaque animal, il laisse deviner qui il met en cause. Le Lion représente le pouvoir du roi, le Chat, l'hypocrite, le Renard, le rusé. Principaux acteurs des fables, les animaux parlent et s'animent sous les yeux du lecteur.
Genre : la poésie qui met en scène hommes ou animaux personnifiés, suivie d'une morale. Résumé de l'histoire : Une cigale qui vit au jour le jour demande de la nourriture à une fourmi avare ; celle-ci la lui refuse… Explication de la morale : Le travail est une valeur fondamentale et il faut savoir être prévoyant.
Charles Perrault écrit plus tard une version du Renard et des Raisins (fable 27 du Labyrinthe de Versailles), en 1677, d'après Ésope. Cette fable est la plus courte écrite par La Fontaine.
Les conclusions morales de cette fable sont : On a souvent besoin d'un plus petit que soi et Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage. Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le.
La morale est une réflexion sur nos pratiques, nos actes, nos comportements et correspond à la question de Kant : « Que dois-je faire ? » Elle a pour valeur le bien, et par extension, on appelle « morale » les règles prétendant définir ce qui nous en approche ou nous y conduit, la vertu.
Par ailleurs, la seconde morale dit qu'« aux grands périls tel a pu se soustraire, Qui périt pour la moindre affaire. » Cela signifie que le fait d'avoir triomphé des choses les plus dangereuses ne nous met pas à l'abri des moins dangereuses.
La morale, c ' est faire la différrence entre ce qui est bien et mal, ce qui est bon et mauvais pour autrui et pour soi. C ' est ce que l ' on peut également appeller « être de bonne conduite, vie et mœurs » , comme sur le certificat du même nom.
Le pouvoir de la fable est d'être l'événement des événements : « Le monde est vieux, dit-on, je le crois ; cependant / il le faut amuser encor comme un enfant. » Le savoir est celui de la doxa, le fabuliste n'y est pas supérieur, au contraire son pouvoir s'y ente, il s'y doit d'y croire.
a) Le Moucheron domine le combat : en effet, c'est lui qui initie le combat (« il sonna la charge » vers 11) ; de plus, il est désigné comme « le Héros » (vers 11) qui « triomphe » (vers 23) ; enfin, le Lion est présenté comme vaincu (« Le malheureux Lion se déchire lui-même » vers 26, « le voilà sur les dents » vers ...
La fable rapporte alors un premier retournement de situation : ce n'est pas le moucheron qui achève le lion, mais le quadrupède qui « se déchire lui-même » et finit par mourir de « fatigue ». Pour souligner l'issue improbable du combat, La Fontaine détache le verbe « l'abat », au milieu du vers 26.
Le Lion représente le pouvoir du roi, le Chat, l'hypocrite, le Renard, le rusé. Principaux acteurs des fables, les animaux parlent et s'animent sous les yeux du lecteur.
(Celui) qui se plaît à moraliser, à donner des leçons de morale. Synon. moralisateur. C'est un grand moraliseur, un moraliseur éternel (Ac.).
Notre vie morale consiste, à la base, en une préoccupation pour la distinction entre le bien et le mal. Elle est faite de sentiments et de jugements, de même que des standards auxquels ils se rapportent et des actions qu'ils motivent.
Notre nature d'être sensible, émotif et réfléchi, qui a les notions des choses, nous donne une connaissance du bien et du mal. Nous appelons bon le lien social confiant et pacifique, mauvais ce qui le détruit. Là est le principe de la morale.