La fable comporte un enseignement au lecteur. Même si ici, la morale n'est pas explicite, elle peut se résumer par quelques expressions : mieux vaut être pauvre et libre que riche et esclave — mieux vaut vivre pauvre mais indépendant que dans une cage dorée.
D'après le dictionnaire Larousse en ligne, une morale est : « un enseignement qui se dégage de quelque chose, une conduite que l'événement ou le récit invite à tenir ». En d'autres termes, une morale s'apparente à une leçon de vie, un enseignement déduit à la suite d'une histoire, que le lecteur est prié de considérer.
Une morale est exprimée à la fin ou au début de la fable. Celle-ci est parfois implicite, le lecteur devant la dégager lui-même.
Le chien est gêné, il évite de répondre, il minimise. - La liberté est un trésor, le loup est affligé par le mot « attaché ». Morale : Mieux vaut vivre affamé qu'attaché ! Cet apologue est fondé sur un dialogue qui laisse au lecteur tirer lui-même la morale.
A travers cette fable, La Fontaine dénonce la flatterie à la cour de Louis XIV. Le chien représente ceux dont la soif de confort et d'argent ne s'étanche que par la flatterie et la perte d'indépendance.
Morale. La fable comporte un enseignement au lecteur. Même si ici, la morale n'est pas explicite, elle peut se résumer par quelques expressions : mieux vaut être pauvre et libre que riche et esclave — mieux vaut vivre pauvre mais indépendant que dans une cage dorée.
Tout en étant naïf et un brin stupide, le loup est cruel, sauvage, de mauvaise foi, obstiné, guidé par ses propres intérêts (opposé à l'agneau innocent ou logique). Il peut aussi être la force stupide, la bêtise incarnée (face au renard rusé).
Paon (le) se plaignant à Junon (II, 17)
Dans ce monde, rien n'est parfait : il faut savoir s'accepter comme on est.
Après un court échange, il le tue sans autre forme de procès. Explication de la morale : Si l'agneau est pur et le loup brutal, c'est un fait de la nature : le fort est justifié tandis que le faible est condamné.
L'égalité entre tous est une attitude chimérique que l'on se force à adopter afin que notre court temps de révolution solaire ne soit pas uniquement marqué par la tristesse et l'injustice.
Enseignement qui se dégage de quelque chose, conduite que l'événement ou le récit invite à tenir : La morale de l'histoire. 4. Conclusion, en forme de morale, d'une fable, d'un récit.
La citation la plus célèbre sur « leçon de morale » est : « Soyez meilleurs, vous serez plus heureux. Voilà la plus puissante leçon de morale car elle est fondée sur l'intérêt. » (Charles-Eugène de Lévis-Charlus).
L'ironie de La Fontaine est perceptible avec le mot «camarade» qui est ici une antiphrase; on sait très bien qu'il n'y a aucune solidarité entre le Loup et le Renard, cet adjectif préfigure la moralité: aucune camaraderie n'est possible entre les courtisans.
Rappelez-vous : Le Corbeau et le Renard, La Cigale et la Fourmi, La Grenouille qui se veut faire aussi grosse que le Bœuf… Tous ces titres font partie des fables de La Fontaine les plus connues, découverts dans votre enfance et que vous pouvez transmettre à votre tour.
Généralement positif, avec une fin heureuse où le méchant est puni, chaque conte possède une morale que l'on découvre à sa toute fin, une fois les aventures ou mésaventures du personnage principal terminées.
Dans cette fable de Jean de la Fontaine, il n'y a pas réellement de morale exprimé, on retrouve dans cette fable une morale implicite : Dire merci et ressentir de la gratitude est quelque chose d'impossible pour une mauvaise personne.
La morale de la fable le renard et les raisins se trouve à la fin de cette dernière : "Ils sont trop verts, dit-il, et bons pour des goujats. Fit-il pas mieux que de se plaindre ?" C'est ce que nous évoquions plus haut, le renard, ici, rationalise afin de masquer sa déception dans le but de garder la tête haute.
La moralité
La morale de l'histoire est explicite. Elle est donnée à la fin de la fable : "Le trépas vient tout guérir ; / Mais ne bougeons d'où nous sommes. / Plutôt souffrir que mourir,/ C'est la devise des hommes." La Fontaine présente un bûcheron qui souffre beaucoup.
POUR L'AMOUR DU LION
Il faut toujours faire attention quand on est amoureux, car au final, on peut très vite se faire surprendre par des choses qui peuvent blesser. Comme un bon dicton le dit : L'amour rend aveugle. « Le Lion amoureux » est une fable très peu connue mise à part une morale très intéressante.
Rieur (le) et les Poissons (VIII, 8)
Dans cette fable, La Fontaine fait référence au rôle du poète qui amuse, mais qui, aussi, sait aller bien au-delà… On cherche les rieurs ; et moi, je les évite. Cet art veut sur tout autre un suprême mérite.
L'exemple est un dangereux leurre : Tous les mangeurs de gens ne sont pas grands seigneurs ; Où la guêpe a passé, le moucheron demeure." Et voici la morale, assez longue, inspirée de la sagesse antique : "Connais-toi toi-même" : Sache que tu es un homme et non un dieu, un corbeau et non un aigle ou un phénix.
4- Quels défauts La Fontaine condamne-t-il avec le plus de vigueur ? La Fontaine, comme les moralistes de son temps, juge l'homme victime de son amour-propre : « c'est le père,/C'est l'auteur de tous les défauts » (dans « Le Lion, le Singe et les deux Ânes », XI, 5).
Les animaux qui sont les personnages principaux d'une fable ont été choisis par l'auteur en fonction de leurs caractéristiques principales et de la mission d'enseignement à accomplir. Le renard représente la ruse, l'intelligence (être rusé comme un renard). Le bouc représente la bêtise, la naïveté (le bouc émissaire).
La structure des Fables
Le premier recueil contient la plupart des fables connues : la Cigale et la Fourmi, le Corbeau et le Renard, la Grenouille qui veut se faire aussi grosse que le bœuf, le Rat de ville et le Rat des champs, le Loup et l'Agneau, le Renard et la Cigogne, le Chêne et le Roseau, etc.