Lancer à la personne une bouée de sauvetage ou ligne flottante et/ou lui tendre une rame ou la main. Manoeuvrer son embarcation afin de maintenir un contact visuel avec la personne pour éventuellement la récupérer.
S'assurer que toutes les personnes à bord sont en bonne santé; enfiler les vêtements de flottaison individuels, vérifier le nombre de personnes qui se trouvaient à bord afin de s'assurer de la présence de chacun; utiliser ou montrer des signaux traduisant la détresse et le besoin de secours, selon le cas.
Dans le cas d'un bateau en rattrapant un autre, le bateau rattrapant doit agir tôt et de façon évidente de manière à s'écarter largement du navire qu'il rattrape pour éviter un abordage.
demeurer à proximité de l'embarcation selon les circonstances; vérifier le nombre de personnes qui se trouvaient à bord afin de s'assurer de la présence de chacun; utiliser ou montrer des signaux traduisant la détresse et le besoin de secours, selon le cas.
Loi sur la marine marchande
Dans cette même ligne de pensée, l'opérateur est aussi obligé de prêter assistance à toute personne qui est trouvée en mer et en danger de se perdre, en autant que cela ne pose pas de grave danger pour son embarcation et les personnes à bord.
Lorsque deux navires à moteur se croisent la règle de priorité à droite s'applique (comme dans le code de la route). Le bateau vert est prioritaire. Le bateau rouge doit laisser la priorité à droite et passer derrière le bateau vert.
Ce signal de détresse consiste en une flamme rouge au bout d'une torche à la main. Ce feu a une visibilité limitée à la surface, mais est le meilleur moyen de repérer votre position depuis les airs et brûle environ une minute.
Pour le renflouement on utilise le principe d'Archimède, selon lequel un navire flotte (si le volume d'eau dont il prend la place a un poids supérieur) à son propre poids. Il va falloir soit le hisser grâce à des câbles d'un ponton-grue, soit lui donner de la flottabilité afin qu'il remonte à la surface.
Les pompes électriques, comme leur nom l'indique, sont des pompes automatisées qui sont intégrées aux grands bateaux et servent à évacuer l'eau de la cale (la partie du bateau la plus basse).
Une pompe de cale est conçue pour évacuer le plus rapidement possible l'eau et les autres liquides de votre cale.
Un navire à propulsion mécanique qui s'approche d'un autre navire à propulsion mécanique et qui le voit sur son tribord doit lui céder le passage et éviter de le croiser par l'avant. Un bateau de pêche qui s'approche d'un autre bateau de pêche et qui le voit sur son tribord doit lui céder le passage.
Le règlement stipule qu'un conducteur d'embarcation de plaisance doit prendre des mesures immédiates et substantielles pour éviter une collision avec un autre navire. Autrement, si la voie est libre, le conducteur maintient simplement sa vitesse et sa trajectoire.
Navire, d'une taille plus grande qu'un bateau
Le navire est un bateau de fort tonnage, destiné à la navigation en pleine mer.
Cette technique de mouillage consiste à mouiller une première ancre puis une seconde sur la même ligne de mouillage que la première. Il est recommandé de laisser au moins une hauteur d'eau entre les deux ancres afin d'avoir toujours un point d'accroche lorsque l'on remonte le mouillage.
Les feux de navigation doivent être allumés sur un bateau si vous le conduisez la nuit ou par mauvaise visibilité. Le terme « nuit » désigne ici la période comprise entre le coucher du soleil et le lever du jour.
Bâbord est le côté gauche d'un bateau lorsqu'on regarde vers l'avant (la proue). Le feu à bâbord pour naviguer en bateau la nuit et par visibilité réduite est de couleur rouge.
Un navire à moteur de plus de 12 mètres qui fait route doit montrer: des feux de côté bâbord-tribord (rouge et vert) qui éclairent vers ;l'avant du bateau ainsi qu'un feu de tête de mât (blanc) qui éclaire vers l'avant du bateau et un feu de poupe (blanc) qui éclaire vers l'arrière de l'embarcation.
Qu'est-ce la détresse d'un navire ? La détresse d'un navire est une menace de danger grave et imminente qui de l'avis du Capitaine, nécessite une assistance immédiate soit au navire, soit à une ou plusieurs personnes de celui-ci.
- - : deux sons brefs. Je viens sur bâbord (astucemnémotechnique : 2 brefs, 2 B dans bâbord). - - - : trois sons brefs. Je bats en arrière (je recule).
Prévoir quelques provisions (eau, goûter) ne serait-ce que pour la journée est une base nécessaire avant de prendre la mer. Il est important de se protéger du soleil mais aussi du froid, le risque d'hypothermie peut avoir raison de vous. D'où l'importance de se munir de vêtements chauds quand vous prenez la mer.
On parle ainsi aujourd'hui du principe d'Archimède pour expliquer la flottaison des bateaux. Si l'équilibre entre le poids de l'objet et la poussée d'Archimède est atteint avant que l'objet soit entièrement sous l'eau : l'objet flotte. En revanche, si l'équilibre n'est pas atteint avant cela : l'objet va couler.
Dès la première indication d'un problème avec l'embarcation, l'opérateur devrait immédiatement ajuster sa vitesse, voire même mouiller son bateau selon les circonstances, et enquêter sur ce problème. S'il lui est possible, il doit ensuite le corriger ou sinon utiliser ou montrer les signaux traduisant la détresse.
Il puise en réalité son origine dans la langue française. Dans les années 1920, aux débuts de l'aviation, un pilote français en difficulté avait prononcé les mots «venez m'aider» alors qu'il se rendait en Angleterre. Son message avait été reçu en partie par un opérateur britannique qui comprit «mayday».
En code Morse international, SOS est arbitrairement le groupe homogène mnémotechnique du signal de détresse: • • • — — — • • • 1 aisément identifiable même pour quelqu'un ne connaissant pas la télégraphie et est facile à transmettre.