Désespérant de vaincre l'Angleterre, le Führer décide malgré tout d'attaquer l'URSS, avec le risque d'ouvrir un double front. Il suit de la sorte un objectif qu'il s'est fixé dès le début de sa carrière politique : offrir au peuple allemand l'« espace vital » (Lebensraum) indispensable à son développement.
Objectifs de l'invasion
la destruction de l'Union soviétique par la force militaire. l'élimination définitive de la menace communiste perçue en Allemagne. la confiscation de terres de qualité situées au sein des frontières soviétiques, le Lebensraum (« espace vital ») où installer les Allemands sur le long terme.
Résiliation du pacte. Articles connexes : Opération Barbarossa et Guerre de Continuation. Au petit matin du 22 juin 1941, Hitler met fin au pacte en lançant l'opération Barbarossa, l'invasion par l'Axe des territoires tenus par les Soviétiques et l'Union soviétique qui commença la guerre sur le front de l'Est.
Le 22 juin 1941, Hitler se lance à l'attaque de l'Union soviétique. Le document retrace l'offensive victorieuse des Allemands au cours de la première semaine de combats.
Le protocole permettait à Hitler d'envahir la Pologne occidentale, puis d'avoir les mains libres pour se tourner vers les Pays-Bas et la France. En même temps, il autorisait Staline à s'emparer des pays baltes, de la Finlande, de la Bessarabie (actuelle Moldavie) puis de la Bucovine du nord (dans l'actuelle Ukraine).
Les Allemands purent ainsi envahir en mai 1940 la France par un Blitzkrieg, avant de se retourner l'année suivante contre l'URSS lors de l'opération Barbarossa, le 22 juin 1941 , rompant ainsi le pacte.
Après l'Anschluss et le démembrement de la Tchécoslovaquie, la Pologne constitue la cible suivante d'Hitler dans sa volonté de réviser le traité de Versailles (supprimer le couloir de Dantzig et rattacher la Prusse orientale) et de construire une "Grande allemagne" (agrandie vers l'Est).
Parce qu'il veut renflouer l'Autriche-Hongrie, dont l'existence est menacée par les mouvements nationaux.
Après s'être assuré de la neutralité de l'Union soviétique (par le pacte de non-agression germano-soviétique d'août 1939), l'Allemagne déclencha la Seconde Guerre mondiale en envahissant la Pologne le 1er septembre 1939. La Grande-Bretagne et la France réagirent en déclarant la guerre à l'Allemagne le 3 septembre.
La campagne contre les Pays Bas et la France dura moins de six semaines. L'Allemagne attaqua par l'Ouest le 10 mai 1940.
Mais au total, la Seconde Guerre mondiale a fait environ 60 millions de morts dans le monde. Le belligérant le plus durement touché a ainsi été la Russie, avec 21 millions de morts (10 % de sa population), qui a joué un rôle capital sur le front de l'Est pour libérer l'Europe des nazis.
À partir de novembre 1917, Lénine impose une dictature communiste en Russie, provoquant une guerre civile contre ses opposants, les Russes blancs. La Russie communiste est rebaptisée URSS en 1922 et Staline succède à Lénine à la direction de l'État communiste.
L'URSS était constituée, après la Seconde Guerre mondiale, de quinze républiques : Arménie, Azerbaïdjan, Biélorussie, Estonie, Géorgie, Kazakhstan, Kirghizistan, Lituanie, Lettonie, Moldavie, Ouzbékistan, Russie, Tadjikistan, Turkménistan, Ukraine.
L'histoire militaire des États-Unis pendant la Seconde Guerre mondiale débute lorsque les États-Unis entrent dans la Seconde Guerre mondiale en déclarant la guerre contre les puissances de l'Axe à la suite de l'attaque japonaise du 7 décembre 1941 contre la base navale américaine de Pearl Harbor.
Traité de non-agression conclu entre l'Allemagne et l'Union soviétique. Devant les réticences des pays de l'Europe orientale, de la Grande-Bretagne et de la France, avec lesquels Litvinov tente de s'entendre contre Hitler, Joseph Staline décide d'améliorer ses relations avec l'Allemagne (avril 1939).
Une note confidentielle de l'armée allemande, révélée par le journal Bild, livre le scénario d'une Troisième Guerre mondiale dès l'été 2025. Celle-ci, baptisé « Alliance défense 2025 », envisage un conflit généralisé en Europe entre les membres de l'Otan, d'un côté, et la Russie et ses alliés de l'autre.
Seconde Guerre mondiale - Points clés
Le traité de Versailles, la crise économique, le nazisme et l'impérialisme japonais sont les principales causes de la guerre. Pendant les premières années, l'Allemagne nazie occupe une grande partie de l'Europe et le Japon une partie de l'Asie du Sud-Est.
Victoire des Alliés et fin du régime de Vichy. La libération de la France par les Alliés et les Forces françaises libres (FFL) commandées par le général Jean de Lattre de Tassigny et le général Leclerc, eut lieu de juin 1944 à mai 1945.
Déclenchement du conflit
Au printemps 1939, l'imminence d'un nouveau conflit est inéluctable. La seule principale inconnue est l'attitude qu'aura l'Union soviétique. En août 1939, Français et Britanniques d'une part et Allemands d'autre part cherchent à obtenir le soutien de Joseph Staline.
Cette dernière rejette l'ultimatum, conduisant l'Autriche-Hongrie à lui déclarer la guerre un mois plus tard, le 28 juillet. L'Allemagne, alliée à l'Autriche-Hongrie, déclare alors la guerre à la Russie pro-serbe, puis à la France. En représailles, le Royaume-Uni déclare la guerre à l'Allemagne.
Les Auvergnats ou Bougnats étaient perçus péjorativement. "Bougnat", pour dénigrer quelqu'un, aurait donné Bougnoule. On dit que les Allemands (occupants en 40/45) en France auraient aussi utilisé "Bougnoule" pour les Français.
Craignant un débarquement dans le Sud de la France, alors encore libre, ainsi que le ralliement de la flotte de cette dernière aux Alliés (ce qui arrivera quand même, à l'exception – majeure – des bâtiments sabordés), Hitler décide, le 11, d'envahir et d'occuper la zone libre.
Le 12 septembre , Mussolini, placé en résidence surveillée dans un hôtel des Abruzzes, était libéré sur ordre d'Adolf Hitler, lors d'une opération commando réalisée par les hommes d'Otto Skorzeny. Un mois plus tard, le 13 octobre , l'Italie déclare la guerre à l'Allemagne.
Pour les Allemands, la drôle de guerre est la Sitzkrieg (guerre assise).
Le 1er septembre 1939, dans un discours au Reichstag, Adolf Hitler présente l'invasion de la Pologne comme une opération de défense et de sauvetage en réaction aux provocations polonaises. En réalité, cet assaut éclair (Blitzkrieg) a été savamment préparé pour surprendre des divisions polonaises sous-équipées.