Le mot même de religion, qui vient du latin relegere, aurait même origine que le mot relier selon certains linguistes. La religion est à l'origine ce qui relie et rapproche les hommes entre eux.
Étymologie. Du latin religio lui-même d'origine incertaine. Gaffiot le rattache à relego, relegěre (« rassembler de nouveau, recueillir de nouveau »), à la suite de Cicéron, avec le sens de « religion, scrupule religieux ». D'autres auteurs anciens rattachent religio à religo, religāre (« lier, attacher »).
Historiquement, les religions conçues comme des ordres dans lesquels est recommandé ce qu'il faut faire et ce qu'il faut croire, sont apparues avec les partis religieux s'opposant les uns aux autres en Europe de l'Ouest du XVI e siècle.
Le mazdéisme (de Mazda, Dieu, dans la langue perse) est la religion traditionnelle de l'ancienne Perse. Cette religion est l'un des premiers monothéismes et, pour la première fois dans l'Histoire humaine, promet à tous les hommes l'immortalité de l'âme sous réserve du jugement dernier.
Définition. L'histoire des religions aborde les phénomènes religieux, dans une perspective historique mais aussi anthropologique, dans le temps et dans l'espace. Elle aborde les points de vue théologique ou confessionnel en les historicisant et en faisant abstraction des convictions individuelles.
Le mot « dieu » vient du latin deus, lui-même issu de la racine indo-européenne dei- « briller » qui, élargie en deiwo- et en dyew-, sert à désigner le ciel lumineux en tant que divinité ainsi que les êtres célestes par opposition aux êtres terrestres, les hommes.
Étymologie. (Date à préciser) Du latin deus , de l'indo-européen commun * di- (« briller, soleil, jour, dieu »). Apparenté au grec ancien Ζεύς , Zeús (« Zeus »).
Dans l'évangile de Jean, Jésus de Nazareth demande au Père de les garder en son nom YHWH, ce nom qu'il lui a donné.
La religion répond à un besoin social. Elle cherche à garantir une certaine paix sociale par la croyance en un être tout puissant qui édicte les lois des individus.
Des études sociologiques ont démontré l'apport positif de l'appartenance religieuse pour le rendement scolaire, la vie de famille, le bien‑être et la contribution à la vie communautaire[2]. Les religions sont également le cadre des rites de passage marquant la naissance, le mariage et la mort.
1. Ensemble déterminé de croyances et de dogmes définissant le rapport de l'homme avec le sacré. 2. Ensemble de pratiques et de rites spécifiques propres à chacune de ces croyances.
C'est celle qui est inscrite par Dieu au cœur de l'homme, indépendamment de toute révélation extérieure. Cette religion comporte la connaissance de l'existence de Dieu, la notion de ses perfections et l'idée de devoirs à lui rendre (Bible1912).
Les premiers écrits religieux, retrouvés en Mésopotamie, datent de 2700 av. J. -C.. La première liste de divinités date quant à elle de 2600 av.
Jésus-Christ, dans son enseignement à travers les Évangiles, définit la paternité de Dieu comme l'élément essentiel de Dieu avec l'Amour. Cette paternité de Dieu est particulière pour Jésus qui présente sa filiation avec lui.
La citation « la religion est l'opium du peuple » est l'un des dictons de philosophie les plus connus de Karl Marx, également devenue le slogan contre la religion et le christianisme en général.
L'Hindouisme est la plus ancienne religion du monde, originaire d'Asie centrale et de la vallée de l'Indus, il est toujours pratiqué de nos jours.
L'athée ne croit pas à l'existence de Dieu; l'agnostique croit que nous sommes incapables de savoir s'il existe ou non. Bien que le terme « agnosticisme » ait été inventé par T.H. Huxley (1825-1895), le point de vue est très ancien, remontant aux sceptiques grecs.
Athée = sans Dieu. C'est une croyance. Agnostique = ne pas savoir, c'est une absence de croyance. Sans religion= sans appartenance déclarée à une religion.
Cette apologétique traditionnelle fait ainsi la distinction entre la question de l'essence (de la définition) de la religion et celle de sa vérité. Puisque la religion est essentiellement relation à Dieu, elle est vraie si Dieu existe, elle est fausse, ou du moins illusoire, s'il n'existe pas.
La création du monde est relatée dans deux récits successifs dans les deux premiers chapitres du Livre de la Genèse. Dans le premier (Genèse 1-2:4), Dieu, entité nommée Elohim en hébreu, crée les cieux et la Terre en six jours, puis se repose et sanctifie le septième jour.
La tradition des sept noms divins
Selon la tradition, il y en a sept : El, Elohim, Adonaï, YHWH, Ehyeh Asher Ehyeh, Shaddaï et Tzevaot.
Les divinités premières qu'il cite sont : Chaos (Béance, Faille), suivi par Gaïa (la Terre), Tartare (les entrailles de la Terre), Éros (le Désir), Nyx (la Nuit) et Érèbe (les Ténèbres), puis par Ouranos (le Ciel et la Vie), Éther (le Ciel supérieur) et Héméra (le Jour).
C'est ainsi, d'après Matthieu (1, 18-24), seul évangéliste avec Luc à donner un récit circonstancié de la naissance de Jésus, que Joseph accepta le rôle de père adoptif.
Du latin biblia (« livres ») issu du grec ancien βιβλίον , biblion (« livre »).
N'écrivez pas que vous êtes « dans le secret des Dieux », mais que vous êtes « dans le secret des dieux ». « Dieu » ne prend une majuscule que s'il s'agit de celui, unique, que vénèrent les religions monothéistes. Les divinités païennes doivent, elles, se contenter de la minuscule.