Du personnage créé par Molière, Harpagon dont le principal caractère était son avarice. Du latin harpago (« harpon, rapace »), lui-même issu du grec ancien ἁρπαγή harpagế « avidité, rapacité ».
Du nom propre Harpagon, personnage de la comédie de Molière, L'Avare (1668), empr. au lat. class. harpago « harpon », fig.
harpagon n.m. Homme d'une grande avarice.
Harpagon est ce symbole de l'homme riche, détestable et avare : son argent est sa seule raison de vivre. Le vol de sa cassette donne un aperçu de ce que serait un homme dépossédé de ce qu'il aime le plus au monde : fou, paranoïaque, complètement perdu.
Harpagon ne pense qu'à protéger sa cassette, sans songer qu'à travers les deux mariages qu'il souhaite arranger pour ses enfants, il cause leur malheur. Égoïste, colérique, violent (il ne lésine jamais sur les coups de bâton), bourru et borné, il est également naïf, dès qu'il est question d'argent.
L'intrigue
L'Avare raconte l'histoire d'Harpagon, un vieux pingre un peu paranoïaque sur les bords qui pense que tout le monde en veut à son argent.
Harpagon est terrifié par une crainte obsédante : il a dissimulé dans le jardin, une cassette qui renferme dix mille écus d'or, il a peur qu'on la découvre et qu'on la lui vole.
Lors de l'acte IV, scène 7, Harpagon dit à son argent : « il m'est impossible de vivre sans toi ». Il croit qu'il y a des voleurs partout et il a prévu un plan pour économiser de l'argent en mariant ses enfants à des personnes riches et en organisant son mariage et celui de ses enfants à la même date.
L'intrigue se passe à Paris. Le riche et avare Harpagon a deux enfants : Élise, amoureuse de Valère, un gentilhomme napolitain au service de son père en qualité d'intendant, et Cléante, qui souhaite épouser Mariane, une jeune orpheline sans fortune.
Homme de soixante ans avoués, Harpagon est classé au xvii e siècle dans la lignée des barbons.
Personne d'une avarice sordide ; ladre.
Les enfants d'Harpagon tentent pendant toute la pièce de trouver des solutions pour épouser les personnes qu'ils aiment. Ainsi, Cléante emprunte une grosse somme d'argent par l'intermédiaire de son valet La Flèche. Il a en fait emprunté à son propre père. Les deux hommes se disputent violemment.
Pas avare de talent
Sa raison de vivre est son or, à tel point que quand il le perd, il en vient à se soupçonner lui-même. Cette pièce est une bonne illustration philosophique de la fin et du moyen. Est ce que l'argent est une fin ou un moyen? Pour arriver à la fin bonheur, il faut le moyen bonheur.
« gribou », définition dans le dictionnaire Littré
Terme de marine. Faire gribou, se dit, à la côte d'Afrique, d'une pirogue qui chavire sur une barre.
Nom commun. (Cuisine) Sorte de ragoût fait de plusieurs morceaux de viandes déjà cuites. Faire une capilotade de perdrix, de poulets.
Personne ayant peur des personnes âgées, de la vieillesse. Elle est un peu gérontophobe. Ça l'énerve de les voir tout le temps croire en des choses qui n'existent plus.
Comment appelle-t-on un homme qui aime les femmes plus âgée ? La gérontophilie (grec : geron « vieillard » + philie « amour »).
Définitions : omniscient - Dictionnaire de français Larousse.
Faux, trompeur, calomnieux. Relatif à quelque chose qui ne dit pas la vérité, qui trompe, qui se base sur un mensonge.
nom féminin. Première forme, encore imparfaite, que l'on donne à une œuvre. ➙ esquisse.
1. Premier jet, esquisse indiquant la forme générale, les diverses parties d'un travail, en particulier d'une œuvre artistique ou littéraire : Lire l'ébauche d'une tragédie. 2. Commencement, premier développement de quelque chose, d'une action en devenir : C'est là l'ébauche de futures relations.
et n. Qui dépense sans mesure, follement. prodigue adj. Qui donne sans compter quelque chose.
Qui se transmet par atavisme. Synon. héréditaire : 1.