Dans un article consacré à la chaîne en 2014, la BBC analyse le positionnement de BFM TV comme étant « favorable aux affaires, à la réforme, et opposé au vieux consensus ».
Radio : La tendance politique des auditeurs de France Inter est fortement ancrée à gauche, tandis que celle des auditeurs de RTL, d'Europe 1 et de BFM Business est orientée à droite. À noter, la forte proportion d'auditeurs d'NRJ ayant voté Front National lors du 1er tour des élections (33 %).
Depuis sa privatisation, la chaîne est la cible de nombreuses critiques, tant sur le contenu de ses programmes que sur son traitement de l'actualité ou son orientation politique à droite.
Sa ligne éditoriale, souverainiste, antilibérale et laïque, emprunte à la fois à la gauche et à l'universalisme républicain.
Traditionnellement classé au centre-droit, le journal ouvre ses pages à toutes les opinions politiques (interviews, analyses, etc. ). C'est l'un des cinq magazines d'actualité hebdomadaires de dimension nationale en France.
Sa ligne éditoriale est parfois présentée comme étant de centre gauche, affirmation récusée par le journal lui-même, qui revendique un traitement non partisan.
Proches du Parti socialiste ou de la mouvance macroniste, ils se positionnent au centre gauche (ou droit) de l'échiquier politique.
Politiquement indépendant, il est souvent proche des idées du centre gauche.
Le Figaro, d'après son directeur, se considère comme un journal de droite et de centre droit. Le journal est le point de jonction de plusieurs grands courants d'idées ancrés à droite ou au centre droit. Il s'agit principalement du libéralisme classique ou l'éclectisme libéral jumelé avec un conservatisme social.
De ses débuts situés à l'extrême gauche, Libération évolue vers la gauche socialiste à la fin des années 1970 sous l'impulsion de Serge July, puis vers une ligne éditoriale présentée comme étant « libéral-libertaire » progressiste.
Selon Le Figaro, Valeurs actuelles est tantôt décrit comme « classé à l'extrême droite », « réputé clairement à droite », ou « conservateur ». France Info qualifie le magazine d'extrême droite et également de conservateur.
La neutralité du traitement de l'information est une des valeurs fondatrices du journal qui revendique le fait de ne pas être partisan ou un journal d'opinion. La rédaction de 20 Minutes est engagée dans une démarche de fact checking et de lutte contre les fausses informations, notamment via sa rubrique « Fake Off ».
Selon d'anciens journalistes de France-Soir et le fondateur de Conspiracy Watch, Rudy Reischtadt, la ligne éditoriale complotiste et « covido-sceptique » de FranceSoir n'a pas de visée politique mais est la seule conséquence d'un calcul « opportuniste » de son fondateur Xavier Azalbert.
D'après le mensuel CQFD, la radio diffuse des « discours identitaires féroces » et banalise les idées d'extrême droite : André Bercoff, noyau dur de la radio et « collaborateur des sites fachosphériques », « distille à longueur d'ondes les thèses favorites de l'extrême droite ».
En décembre 2020 , Arrêt sur images relève que LCI « remplit ses quotas de gauche la nuit » en diffusant en boucle des interviews de personnalités politique de gauche après 2 h du matin.
« J'ai envie d'arrêter l'exercice car j'ai l'impression de commencer à tourner un peu en rond, d'avoir presque des obsessions, d'être prévisible », poursuit-il.
L'émission est tournée sur le plateau 3 des Studios Rive Gauche d'AMP Visual, plateau précédemment occupé par Nulle part ailleurs puis Le Grand Journal.
En 2005, la préfecture de la région Bretagne passe ainsi commande de quatre articles au journal. La ligne éditoriale du journal s'infléchit dans les années 1990 : de démocrate-chrétienne, elle devient plus conservatrice, l'humanisme et le progressisme laissant place à un ralliement net aux thèses libérales.
Avec 6,23 millions de lecteurs mensuels papier et digital, Le Figaroest le premier titre de presse en France auprès des cibles influentes.
Les lecteurs du JDD sont principalement des hommes à revenu élevé et plutôt de droite.
Les Echos, journal favorable à une économie de marché libéralisé, est le plus lu, avec plus de 130 000 exemplaires quotidiens. Le second quotidien économique français existe seulement en version numérique : il s'agit de La Tribune, journal publiant des données financières.