Coopératives, mutuelles, fondations et associations.
L'encadrement de l'échelle des salaires ; Un processus de décision sur lequel la propriété du capital n'influe pas ; Une rémunération du capital limitée (coopérative) ou nulle (associations et mutuelles) ; Le réinvestissement des bénéfices dans le projet social.
Le concept d'économie sociale et solidaire (ESS) désigne un ensemble d'entreprises organisées sous forme de coopératives, mutuelles, associations, ou fondations, dont le fonctionnement interne et les activités sont fondés sur un principe de solidarité et d'utilité sociale.
On distingue généralement trois organisations productives : les entreprises ; les administrations publiques et les associations.
Les quatre principales familles de structures qui la composent sont les associations, les coopératives, les mutuelles et les fondations. La principale différence par rapport aux entreprises issues de l'économie traditionnelle réside avant tout dans son mode de gestion démocratique et participatif.
La contribution au développement local ; Les relations et conditions de travail ; Les bonnes pratiques des affaires ; La protection des consommateurs.
Se réunissant au moins une fois par an afin de procéder à l'évaluation du PPS (projet personnalisé de scolarisation) et de sa mise en œuvre, l'ESS a pour mission d'en faciliter la mise en place et d'en assurer le suivi sur la base des décisions prises par la commission des droits et de l'autonomie des personnes ...
C'est à Charles Gide que l'on doit l'expression d'"Economie Sociale". Au cours du XXème siècle elle bénéficiera d'une reconnaissance progressive notamment via les formes économiques qu'elle porte.
Les principaux freins sont la capacité à se financer (67% dont 25 important), l'évolution des politiques publiques (50% dont 25), le niveau de profitabilité (42%), Une question clef posée : L'ESS est-elle capable de transformer et monétiser ces spécificités en avantages concurrentiels et en valeur ?
L'utilité sociale se rapporte à un service rendu, à un bénéfice, à un effet positif pour la société dans son ensemble. Elle caractérise les effets d'une action sur un territoire auprès d'un groupe de population ou, plus globalement, de la société.
Exemples d'acteurs sociaux autres que les individus : les autorités publiques, les ONG, les associations caritatives, les associations locales, les organisations religieuses, les syndicats, les employeurs, les enseignants, etc.
Un acteur majeur de l'ESS. Avec près de 500 mutuelles adhérentes, La Mutualité Française est une composante historique et le principal acteur et employeur de l'économie sociale et solidaire en France.
Les 3 grands piliers de l'économie sociale et solidaire – la finalité sociale ou environnementale, la gouvernance démocratique et participative, et l'encadrement de la lucrativité – favorisent l'émergence de nombreux modèles économiques alternatifs.
Le projet d'entreprise de Kingfisher comporte 4 thèmes relatifs à la RSE : le bois, l'énergie, l'innovation, les communautés (cf : II Enjeux et Objectifs de la RSE dans l'entreprise).
Ces 3 piliers RSE sont : économique, social et environnemental. C'est sur ces axes que la stratégie de développement durable d'une entreprise va se baser et à partir desquels les plans d'action vont être créés.
Les actions mises en place visent à favoriser la qualité de vie au travail, à encourager le dialogue dans un cadre de travail serein. La RSE intègre également des valeurs en matière d'égalité, de non-discrimination et de juste rémunération au sein de l'entreprise.
La RSE (Responsabilité Sociale des Entreprises) regroupe l'ensemble des pratiques mises en place par les entreprises dans le but de respecter les principes du développement durable (social, environnemental et économique). Définition de la RSE - Qu'est-ce que la RSE ?