Le complément circonstanciel (CC) est un mot ou groupe de mots qui apporte des précisions sur la circonstance du fait évoqué. Bien que cela ne soit pas valable pour tous, les compléments circonstanciels ont pour particularité générale de pouvoir être supprimés ou même déplacés au sein de la phrase.
Les compléments circonstanciels (CC), aussi appelés compléments de phrase, sont des compléments de la phrase. Ils précisent les circonstances dans lesquelles se déroule l'action exprimée par le verbe.
Les compléments circonstanciels de manière répondent aux questions : comment ?, de quelle manière ? Ils indiquent donc la manière dont se déroule l'action : Tu parles trop vite. Le bébé se déplace à quatre pattes.
Les compléments circonstanciels donnent des précisions sur les circonstances de l'action. Le complément circonstanciel peut être : Un adverbe • Un groupe nominal • Un groupe prépositionnel : en forêt, dans le jardin, à minuit… Un verbe au gérondif (préposition en + verbe en -ant) : en sautant, en dansant…
Le complément circonstanciel de temps (noté CCT) précise quand a lieu une action ou combien de temps elle a durée. Elle permet de marquer la phrase dans le temps. On le repère en se posant la question "quand". Exemple : Je vis à Paris depuis 3 ans.
Le complément circonstanciel de cause répond aux questions : « pourquoi, pour quelle cause ? » posées après le verbe. Il indique ce qui se passe d'abord. Observons : Pierre est puni à cause de son ami, à cause de Jean.
Les compléments circonstanciels de lieu répondent aux questions : où ?, vers où ?, d'où ?, par où ? Ils peuvent donc préciser : la localisation, le lieu où l'on est : Mon frère réside en Espagne.
Lorsque le complément circonstanciel est un nom, il est le plus souvent introduit par une préposition. Les adverbes, eux, complètent le verbe sans préposition. Nous partirons après le dîner (la préposition après introduit le nom complément le dîner).
Pour trouver le COD, la bonne question à se poser est QUOI ? ou QUI ? juste après un verbe. On obtient ainsi une phrase composé de la manière suivante : sujet + verbe + quoi ou sujet + verbe +qui.
Voici les principales valeurs circonstancielles à retenir : ➢ Les compléments circonstanciels de temps indiquent soit un point de repère dans le temps, soit la durée du fait exprimé par le verbe. ➢ Les compléments circonstanciels de lieu indiquent un repère dans l'espace.
Le complément du nom (CDN) complète un nom et peut être introduit, ou nom, par une préposition. Le complément circonstanciel complète un verbe et apporte du contexte à l'action.
Les classes grammaticales du complément circonstanciel de temps. Le complément circonstanciel de temps peut être un nom, un groupe nominal, un adverbe ou un infinitif. Demain, je lirai un livre. Ce soir, tu viendras en voiture.
Un complément circonstanciel peut facilement être supprimé dans la phrase. 2. Un complément circonstanciel est toujours introduit par une préposition.
CCM: On l'utilise pour répondre aux questions : (Comment ? De quelle façon?..). ex: Elle mélangea sa pâte à gâteaux doucement. Ici doucement répond à la question Comment ?, donc doucement est un CCM (complément circonstanciel de manière).
Un complément circonstanciel de conséquence indique le résultat, l'effet d'une action. Ex : Jean est tellement malade qu'il est absent.
Les sept fonctions grammaticales liées au verbe sont le sujet, le COD, le COI, le COS, l'attribut du sujet, l'attribut du COD et le complément d'agent.
Les compléments circonstanciels indiquent les circonstances de l'action. Ce sont des compléments du verbe. En général, on peut les déplacer dans la phrase et même les supprimer sans que la phrase perde son sens.
Quand le verbe est employé aux temps composés, la place du COD détermine l'accord ou non du participe passé. Dans les exemples suivants, le participe passé s'accorde avec le COD (nom féminin singulier) car celui-ci est placé avant le verbe. Maxime a mangé une pomme. – La pomme que Maxime a mangée.
Ainsi, on retrouve les questions ouvertes au registre courant, les questions ouvertes au registre soutenu et les questions ouvertes au registre familier.
La question rhétorique (interrogation oratoire) est une "fausse question" qui n'attend pas de réponse et qui permet d'affirmer un point de vue et d'éveiller la curiosité.
Une question fermée explicite serait par exemple formulée ainsi : « combien de fois par semaine mangez-vous des pâtes : jamais, 1 à 2 fois par semaine, 3 à 4 fois, 5 fois par semaine ou plus ? »
Une question ouverte est une question qui laisse la possibilité aux répondants de s'exprimer librement. Aucun choix de réponse n'est suggéré, de façon à ce qu'ils puissent répondre comme ils le souhaitent, avec leurs propres termes. Exemple de question fermée : Avez-vous apprécié le SAV ?