Les médicaments anti-arythmiques les plus utilisés sont les bêtabloquants (métoprolol, propranolol) ou certains inhibiteurs calciques (vérapamil, diltiazem). Ils diminuent la fréquence des battements de cœur. Plus rarement, d'autres anti-arythmiques sont utiles : la flécaïnide, ou la propafénone.
Sans traitement, la fibrillation auriculaire multiplie le risque de subir un AVC ou de souffrir d'insuffisance cardiaque. Les personnes aux prises avec cette maladie courent de trois à cinq fois plus de risque d'avoir un AVC ischémique. En fibrillation auriculaire, les oreillettes se contractent de façon chaotique.
La fibrillation auriculaire (ou atriale) peut rester asymptomatique ou provoquer des palpitations cardiaques, des douleurs à la poitrine, une fatigue... Cette maladie est diagnostiquée par un électrocardiogramme.
Si la fibrillation auriculaire n'est pas maîtrisée, elle peut affaiblir le coeur et causer une insuffisance cardiaque. L'insuffisance cardiaque survient lorsque le coeur a du mal à faire circuler le sang, ce qui entraîne une accumulation de liquide.
D'après leurs conclusions, un patient qui prend un médicament à base de diclofénac, comme c'est le cas du Voltarène, a 20 % plus de risques de faire une crise cardiaque, un accident vasculaire cérébral (AVC) ou d'avoir de l'arythmie qu'un patient qui prend du paracétamol ou de l'ibuprofène.
évitez le surpoids ; privilégiez une alimentation équilibrée et modérez votre consommation d'alcool et de café qui sont des excitants cardiaques ; pratiquez une activité physique régulière en éviter le sport excessif notamment d'endurance qui peut déclencher une fibrillation atriale ou auriculaire.
La fibrillation auriculaire, ou FA, est une affection qui se traduit par l'irrégularité des battements du cœur et l'accélération de la fréquence cardiaque.
Les médicaments utilisés pour maîtriser le rythme cardiaque sont les bêtabloquants, les antagonistes calciques bradycardisants (qui ralentissent la fréquence cardiaque), les digitaliques et l'amiodarone.
L'anxiété accroît le risque de palpitations, d'arythmie, de spasmes et d'emballement du cœur, des symptômes qui peuvent mener à des complications cardiaques. L'anxiété favorise aussi les comportements malsains, comme le tabagisme, la suralimentation, une mauvaise qualité de sommeil et une baisse de l'activité physique.
Bien que la majorité des arythmies ne se guérissent pas, il est possible de les maîtriser avec un traitement adéquat. Le choix du traitement dépendra de plusieurs facteurs, dont le type d'arythmie et les symptômes associés.
Naturellement, en association à ces thérapeutiques, il est indispensable de revoir les fondamentaux d'une hygiène de vie : effectuer des relaxations (ou méditations), associer des exercices de cohérence cardiaque, revoir son alimentation, choisir une activité sportive appropriée etc ...
Alors qu'aucune étiologie n'était retrouvée dans le passé dans ce sous-groupe de patients, de récents travaux suggèrent une possible association entre une pratique sportive d'endurance (par exemple le cyclisme, le marathon ou le ski de fond) et l'apparition d'une FA.
Chez la plupart des patients nécessitant des anticoagulants pour traiter la fibrillation auriculaire, il est préférable de prescrire des AOD comme l'apixaban, le dabigatran, l'edoxaban ou le rivaroxaban, plutôt que la warfarine [niveau de preuve A].
Elle va provoquer une stagnation du sang et donc la formation de caillots dans le cœur. Si ces caillots sont envoyés dans la circulation sanguine, ils peuvent boucher une artère alimentant le cerveau et provoquer un infarctus cérébral (AVC ischémique). Le risque d'AVC est en moyenne multiplié par 5 en cas de FA.
L'examen le plus important pour diagnostiquer la fibrillation atriale est l'électrocardiogramme (ECG). Des autocollants spéciaux (électrodes) sont placés sur les bras, les jambes et la poitrine (voir illustration ci-dessous) et l'activité électrique de votre cœur est enregistrée depuis votre peau.
La fibrillation auriculaire (également appelée fibrillation atriale) est le trouble du rythme cardiaque le plus fréquent (au point que les médecins parlent parfois simplement d'arythmie pour désigner une fibrillation auriculaire).
L'arythmie peut ralentir la circulation du sang vers le cerveau et le reste du corps, provoquant des palpitations cardiaques, des étourdissements, des évanouissements ou même la mort. Si vous souffrez de bradycardie, vous pouvez vous sentir fatigué, essoufflé ou étourdi, ou vous évanouir.
une tension artérielle supérieure à 140 mm/Hg ; la présence d'un antécédent familial d'infarctus du myocarde ; un excès pondéral (IMC>25)
La fréquence cardiaque atteint toutefois un seuil qu'elle ne peut dépasser, qui correspond à la fréquence cardiaque maximale. De façon théorique, elle peut être estimée par le calcul suivant : pour une femme : 226 – âge, soit 196 pour une femme de 30 ans ; pour un homme : 220 – âge, soit 190 pour un homme de 30 ans.
Selon les résultats, une prise du traitement au dîner s'avère plutôt bénéfique. Par rapport à un rythme matinal, ce geste est associé à une réduction de 45 % du risque d'incident cardiovasculaire (infarctus, insuffisance cardiaque, AVC) ou même de décès.
Inconvénients des bêta-bloquants et effets secondaires
Une trop grande diminution de la pression artérielle peut occasionner des vertiges et de la fatigue, un refroidissement des extrémités, des troubles digestifs (diarrhées, gastralgies, nausées, vomissements), ou une diminution des performances physiques à l'effort.