L'inactivité physique est aussi associée à un risque accru de développer ou d'aggraver des maladies chroniques telles que l'insuffisance cardiaque, les maladies cardiovasculaires, l'accident vasculaire cérébral, le diabète de type 2, l'hypertension, certains cancers et l'ostéoporose.
Le risque traumatique reste le premier risque d'accidents du travail. Il est très étroitement lié à l'activité physique au travail (efforts, déplacements …) et peut provoquer des atteintes lombaires, des contusions, des plaies et coupures, des entorses, des fractures, des déchirures musculaires ou encore des luxations.
Bref, selon l'OMS, l'inactivité physique favorise l'apparition de certains cancers (cancer du côlon, cancer du sein...) et de maladies comme le diabète de type 2. Il y a bien une conséquence directe sur l'organisme, liée au manque d'activité physique.
L'activité physique est un facteur protecteur , la sédentarité est un facteur aggravant et les deux se potentialisent . La sédentarité c'est un risque sur les maladies cardio vasculaires mais aussi sur des pathologies comme la dépression et l'obésité .
Le facteur principal une nouvelle fois est l'inactivité physique et la sédentarité. Les complications dues à l'obésité sont métaboliques et vasculaires. Le risque de faire un infarctus du myocarde dès 25 ans. (L'infarctus du myocarde est due à l'obstruction d'une artère au niveau du cœur, appelée artère coronaire.
Pour les adultes, il est recommandé de pratiquer 30 minutes d'activité physique développant l'aptitude cardio-respiratoire d'intensité modérée à élevée, au moins 5 jours par semaine, en évitant de rester 2 jours consécutifs sans pratiquer.
L'activité physique contribue à la prévention et à la prise en charge des maladies non transmissibles telles que les maladies cardiovasculaires, le cancer et le diabète. L'activité physique réduit les symptômes de dépression et d'anxiété.
Cardio-respiratoire, musculaire, d'assouplissement et d'équilibre : les activités physiques et sportives se répartissent en quatre catégories, selon les fonctions physiologiques qu'elles sollicitent.
augmente la solidité des os; favorise le maintien d'une bonne masse musculaire; développe le sens de l'équilibre, ce qui diminue les risques de chute et aide à prévenir les fractures; aide à rester autonome plus longtemps.
Les risques physiques englobent tous les risques liés au bruit, aux vibrations, aux rayonnements, à la chaleur, au froid, aux feux et à la radioactivité.
Le football améliore les performances musculaires.
L'étude a révélé respectivement 27 %, 15 %, 47 % et 28 % de réduction du risque de décès prématuré chez ceux qui pratiquent l'aérobic, le cyclisme, un sport de raquette ou la natation.
Voici le top 10 des sports féminins : gymnastique, équitation, randonnée pédestre, natation, volley ball, badmington, basket ball, athlétisme, ski, handball.
Santé : les recommandations d'activité physique par semaine ou par jour. Officiellement, des organismes comme l'OMS estiment qu'il faut au minimum pratiquer 150 minutes d'activité physique modérée par semaine, soit environ 20-25 minutes par jour.
Plusieurs facteurs incluant l'âge avancé, le sexe masculin, l'obésité, la saison hivernale et de faibles niveaux d'exercice physique étaient associés à des comportements sédentaires prolongés.
l'inactivité physique : lorsque l'activité physique est inférieure à 60 minutes par jour, incluant le sport pratiqué pendant le temps scolaire, les jeunes sont considérés comme insuffisamment actifs.
Or celle-ci met en danger la santé des adolescents : « Le manque d'activité physique entraîne un risque accru de surpoids et de maladies chroniques comme le diabète ou les douleurs de dos », détaille Chiara Testera, de la fondation Promotion Santé Suisse.
Elle permet de diminuer le risque de développer certaines maladies (maladies cardiovasculaires, hypertension artérielle, cancers, diabète de type 2, ostéoporose…). L'activité physique diminue aussi le risque de surpoids et d'obésité.
Leurs conclusions montrent en effet que le cyclisme, la natation, l'aérobic et les sports de raquette offrent de meilleurs avantages pour l'espérance de vie que la course.
Nos recommandations
Cœur + AVC recommande aux adultes de faire au moins 150 minutes d'activité physique d'intensité moyenne à vigoureuse par semaine, en tranches d'au moins 10 minutes. Il n'est pas nécessaire que l'activité soit ininterrompue comme un cours de danse aérobique.
Des exercices au poids de corps, de la marche, des étirements, de la gym douce, du jogging ou de la natation. Dans ce cas précis, il n'est pas mauvais de faire une activité physique tous les jours au contraire. L'OMS préconise un minimum de 10 000 pas ou 20 minutes d'activité physique par jour.
Dans la semaine, mieux vaut sept sessions de 30 minutes qu'une seule de 210 minutes. La marche reste le meilleur moyen pour atteindre cet objectif. L'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) recommande 10 000 pas par jour.
Le sport est une forme d'activité physique. Mais elle est associée à une recherche de résultat, d'objectif atteindre voire de performance dans un contexte de compétition, ou à une forme ludique recherchant à prendre du plaisir seul ou ne groupe.
Cependant, l'activité physique peut grandement contribuer au bien-être mental. Les endorphines que le cerveau libère pendant les exercices aident à améliorer l'humeur, le niveau d'énergie et même le sommeil. Ensemble, ces effets positifs aident à améliorer la confiance en soi et la résilience.
L'activité physique augmente la production naturelle de dopamine et de sérotonine, tout en faisant baisser le taux de cortisol (l'hormone du stress), ce qui a un effet antidépresseur. Une activité intense entraîne la sécrétion d'endorphines, qui ont un pouvoir analgésique et procurent une sensation de bien-être.