C'est la « douleur centrale Parkinsonienne ». Cette douleur est plus difficile à identifier. Elle peut ressembler à une compression, des picotements, des engourdissements, des brûlures, des vibrations, des douleurs lancinantes touchant préférentiellement le coté le plus affecté par la maladie.
La maladie de Parkinson résulte de la dégénérescence de la partie du cerveau qui permet de coordonner les mouvements. Souvent, le symptôme le plus évident est un tremblement qui se produit lorsque les muscles sont détendus.
Les principaux symptômes de la maladie de Parkinson sont les tremblements, la lenteur des mouvements et la raideur musculaire. D'autres troubles comme un état dépressif, une fatigue, des troubles digestifs... peuvent être associés.
La fatigue est un symptôme extrêmement fréquent chez les personnes atteintes de la maladie de Parkinson. Elle présente beaucoup de similitudes avec l'apathie, comme un manque d'énergie, d'intérêt et de motivation.
La rééducation physique et orthophonique. La rééducation est un complément essentiel du traitement de la maladie de Parkinson. Ces traitements permettent d'améliorer la qualité de vie des malades sans toutefois arrêter l'évolution de la maladie.
La maladie de Parkinson se caractérise généralement par des troubles moteurs et des troubles cognitifs. Cette maladie neurodégénérative peut également être responsable de manifestations corporelles douloureuses. Les douleurs sont très variées et ressenties différemment d'un patient à l'autre.
Plus de 50% des personnes ayant la maladie de Parkinson souffrent d'insomnie chronique. Il s'agit surtout de longues périodes de réveil la nuit (en moyenne, le tiers de la nuit) et de réveils trop matinaux.
Il peut s'agir de problèmes de sommeil, d'hypersalivation, d'une somnolence excessive dans la journée, de fatigue, de douleurs, de constipation (qui touche 60 % des malades), de mictions urgentes, de dépression, d'hallucinations, de troubles cognitifs…
La lévodopa (ou L-dopa) est transformée en dopamine dans le cerveau. Elle est le traitement de référence de la maladie de Parkinson, celui qui possède le meilleur rapport efficacité/effets indésirables.
La fatigabilité et la difficulté de concentration
Les signes les plus souvent constatés sont discrets ; il s'agit de fatigabilité et de difficulté à se concentrer ou d'une baisse de rendement dans la réalisation des tâches quotidiennes.
La maladie de Parkinson provoque en premier lieu par une dégénérescence progressive des neurones à dopamine au niveau cérébral, la dopamine étant un neurotransmetteur impliqué dans le contrôle de nombreuses fonctions comme les mouvements volontaires, la cognition, la motivation et les affects.
Ces parkinsoniens ont une espérance de vie d'un peu plus d'une dizaine d'années (13 à 14 ans). Le traitement à la dopamine permet d'obtenir un résultat plus que satisfaisant dans le prolongement de l'espérance de vie des patients. Certains ont atteint une durée de vie supérieure à la moyenne globale.
Le symptôme principal du tremblement essentiel est un tremblement d'attitude et d'action, à la différence du tremblement lié à la maladie de Parkinson, qui se manifeste au repos. Le tremblement est la résultante de mouvements oscillatoires rythmiques au niveau d'une articulation.
Une personne atteinte de démence peut faire preuve de comportements agressifs, comme pousser, frapper ou crier. Les comportements agressifs peuvent rendre la communication extrêmement difficile pour un soignant, mais il existe des stratégies pour faire face à ces situations.
Les sensations de vertige peuvent être symptomatiques du Parkinson et se traduire par des chutes. Pour améliorer la situation, il convient d'intensifier l'activité physique.
Les exercices en aérobie à haute intensité, comme par exemple 60 minutes de travail intense sur une bicyclette ou un tapis roulant, peuvent également avoir des effets importants sur le métabolisme, et favoriser les performances cognitives, ainsi que l'absorption et l'utilisation de médicaments comme la L-DOPA.
Il est fortement recommandé aux personnes souffrant de maladie de Parkinson de maintenir un bon niveau d'activité physique : marche, jardinage, natation, vélo, tai-chi, yoga, etc. L'activité physique permet de maintenir souplesse, musculature et densité des os.
Des chercheurs affirment qu'une alimentation riche en antioxydants, notamment en vitamines C et E, permettrait de réduire le risque de maladie de Parkinson grâce à leurs effets bénéfiques contre les dommages causés par cette pathologie sur le système nerveux.
En effet, « contrairement à la maladie d'Alzheimer, les troubles cognitifs s'accompagnent ici de problèmes moteurs. » Plus légers que dans la maladie de Parkinson, ils se manifestent souvent par une certaine raideur, un ralentissement moteur ou des chutes. Autres symptôme spécifique : des modifications cardiaques.
Avec la maladie de Parkinson, un changement mineur de l'horaire de médication peut toutefois avoir des répercussions énormes sur la gestion des symptômes et la récupération générale. La libération irrégulière de dopamine peut empêcher soudainement une personne de bouger, de sortir du lit ou de marcher dans un corridor.
Les réveils en milieu de nuit concernent la majorité des insomniaques. En cause, d'après les experts, des troubles comme l'apnée du sommeil, un reflux gastro-oesophagien, les bouffées de chaleur liées à la ménopause ou l'envie d'uriner chez les hommes âgés ayant des problèmes de prostate.
Stade 5 : le stade avancé de la maladie de Parkinson
Le stade final de la maladie de Parkinson se caractérise par une incapacité à se déplacer sans aide. La personne est alitée ou ne peut se déplacer qu'en fauteuil roulant. Le patient ne peut pas se lever d'une chaise ou sortir du lit sans aide.
Le syndrome parkinsonien fait référence à des symptômes de la maladie de Parkinson (par exemple, des tremblements et des mouvements lents) causés par une autre maladie. Le syndrome parkinsonien est dû à des affections cérébrales, des lésions cérébrales et à certains médicaments et toxines.
Première étude sur la maladie de Parkinson couvrant l'ensemble du territoire français (Outre-mer inclus). Fin 2015, 160 000 patients parkinsoniens traités, avec environ 25 000 nouveaux cas par an ; 17% des nouveaux cas étaient âgés de moins de 65 ans. Les hommes sont atteints 1,5 fois plus que les femmes.