Les femmes ménopausées souffrent ainsi plus souvent de raideurs, de gonflements et de douleurs articulaires en particulier au niveau des doigts et des poignets. Peuvent aussi être touchés dans une moindre mesure, les genoux, les lombaires, les épaules, et plus rarement les hanches, les pieds et les chevilles.
La ménopause, période vers les 50 ans où les ovaires arrêtent de produire l'œstrogène et la progestérone, ne provoque pas que bouffées de chaleur et fatigue. Elle peut également s'accompagner de douleurs articulaires et de douleurs musculaires.
Mal de dos à la ménopause
L'apparition de ces troubles et douleurs sont majoritairement dûs à la chute hormonale brutale que subit la femme ménopausée. L'arrêt de la production d'oestrogènes a un impact sur le remodelage osseux, le tissu osseux se régénère donc beaucoup moins vite et est fragilisé.
Le curcuma. Anti-inflammatoire et riche en anti-oxydant, le curcuma est une solution efficace pour maintenir une bonne santé osseuse et articulaire et retrouver une bonne mobilité à la ménopause.
D'abord très hauts (hyperoestrogénie), ils engendrent des effets désagréables tels que des maux de ventre, une tension dans les seins, des sautes d'humeur… Les règles peuvent se faire plus abondantes, plus fréquentes, avec l'apparition de métrorragies.
Ces douleurs sont causées par la contraction de l'utérus afin d'éliminer la muqueuse utérine. Ces maux dans le bas du ventre peuvent donc se présenter sous forme de crampes et être fréquemment accompagnées de maux de dos (lombalgie), de migraines, de fatigue ou encore de symptômes abdominaux comme des ballonnements.
A la ménopause, la chute soudaine des œstrogènes provoque généralement une baisse du tonus physique et mental, voire une fatigue intense, avec souvent des répercussions sur l'énergie. Mais elles se manifestent différemment chez chacune.
L'estradiol est l'estrogène le plus utilisé en France actuellement. Il est le plus souvent prescrit en association avec la progestérone ou un de ses dérivés (voir ci-dessous). L'estriol (PHYSIOGINE) est un estrogène également prescrit dans le traitement de la ménopause.
Qu'est-ce que la fibromyalgie ? La fibromyalgie est une maladie qui associe douleurs musculaires ou articulaires permanentes, fatigue chronique, troubles du sommeil, symptômes dépressifs et troubles anxieux. La personne qui en souffre se plaint d'avoir mal partout sans interruption pendant des mois.
La production de deux hormones s'en ressent: celle d'œstrogène chute et celle de progestérone cesse complètement. Cette évolution majeure pour la femme entraîne de profonds bouleversements physiologiques, dont l'un des plus fréquents est la dégradation du sommeil.
Dans la majorité des cas, les bouffées de chaleur persisteront pendant plus d'un an, mais elles peuvent durer jusqu'à 5 ou 10 ans. On peut également citer les sueurs nocturnes, les insomnies, les douleurs articulaires et les troubles génito-urinaires (incontinence, infections urinaires, troubles sexuels).
Où se situent les douleurs pelviennes ? Les douleurs pelviennes correspondent aux douleurs ressenties dans la région du pelvis, c'est-à-dire au niveau du bas du ventre et du haut des parties génitales. Elles peuvent être légères à très intenses. Elles sont chroniques chez 11 à 20% des femmes.
Le vieillissement touche de la même façon tous les types de fibres musculaires. Le nombre de fibres musculaires qui se contractent rapidement diminue bien plus que le nombre de fibres musculaires qui se contractent lentement. Ainsi, à un âge avancé, les muscles ne sont plus en mesure de se contracter aussi rapidement.
En plus d'un interrogatoire et d'un examen clinique, les femmes doivent bénéficier d'un bilan sanguin régulier avec dosage sanguin de la glycémie (taux de sucre), du cholestérol et des triglycérides (graisses) afin de dépister un diabète et une dyslipidémie, qui sont des facteurs de risques cardiovasculaires.
Les autres plantes proposées contre les troubles de la ménopause sont le ginseng, l'igname sauvage ou yam (Dioscorea villosa), le trèfle rouge (Trifolium pratense), l'achillée millefeuille (Achillea millefolium) ou le gattilier.
Les symptômes de la ménopause sont liés à la baisse des œstrogènes. L'obésité et le tabagisme accroissent les symptômes de la ménopause. Le sport et certains aliments peuvent réduire certains symptômes.
De manière générale, l'approche de la ménopause est un motif de consultation chez son gynécologue particulièrement important. Dans cette nouvelle étape de vie, on parle de prévention des cancers féminins, mais aussi de sexualité et de la manière dont la patiente vit ce changement hormonal.
À la ménopause
Préférez donc des eaux riches en calcium : Hépar, Cont- rex, Courmayeur, Vittel, Rozana, Badoit, San Pellegrino. Si l'on fait de l'hypertension Les eaux pauvres en sodium sont recommandées : Hépar, Vittel, Contrex, Courmayeur, Thonon, Évian, Volvic, Salvetat, Perrier.
Passée la ménopause: un petit déjeuner riche en calcium et digeste. Une formule de petit déjeuner pour les femmes ménopausées: - Bol de lait (ordinaire ou à teneur réduite en lactose) au café ou au chocolat- Pain de campagne grillé, beurre ou margarine aux oméga 3- Fruit de saison ou compote maison.
Les meilleures activités sportives pour maigrir du ventre à la ménopause : la natation et l'aquagym qui, en plus de travailler votre ceinture abdominale, vont consommer davantage d'énergie grâce au contact du froid. Résultats : un massage drainant minceur et des graisses brûlées.
Comment reconnaître une douleur aux ovaires ? Une douleur aux ovaires est une douleur pelvienne. Autrement dit, elle se situe au niveau du petit bassin, à l'arrière de l'utérus. Typiquement, elle se manifeste par une sensation de brûlure ou de pincement au niveau du bas-ventre.
Il existe de nombreuses autres causes à une douleur localisée dans le bas ventre, telles que : l'endométriose, une infection urinaire, génitale ou digestive, un kyste ovarien…
Une douleur du bas-ventre peut avoir de très nombreuses causes. Les plus fréquentes sont des infections digestives, urinaires et génitales. Une inflammation déclenche aussi des douleurs pelviennes : appendicite, péritonite, colite… Un problème rénal peut causer une colique néphrétique.