Les moyens de lutte mécaniques sont nombreux. Citons simplement la fauche, l'arrachage, le pâturage (bien réalisé et dans de bonnes conditions), le roulage, le hersage, l'eau chaude... sans oublier les techniques de travail du sol au cours de la rotation.
On distingue trois stratégies de lutte biologique : la lutte classique (acclimatation d'agents auxiliaires introduits), augmentative (traitements répétitifs par des agents auxiliaires) et de conservation (promotion des agents auxiliaires existants).
La lutte mécanique désigne l'enlèvement physique des mauvaises herbes ou l'installation de barrières qui les empêchent de pousser.
Binage et hersage
Les socs sont utilisés pour former des billons et recouvrir de terre les adventices indésirables dans les rangs afin d'empêcher leur croissance. Cette méthode est fréquente pour la culture du maïs. Les bineuses à socs en revanche désherbent les inter-rangs.
La protection des plantes peut être assurée par une lutte chimique aveugle qui consiste à répandre des pesticides (insecticides, acaricides, fongicides, herbicides, etc.) souvent à forte dose et sans se soucier du niveau des populations des organismes nuisibles (ravageurs, pathogènes et les mauvaises herbes).
La lutte mécanique
Les moyens de lutte mécaniques sont nombreux. Citons simplement la fauche, l'arrachage, le pâturage (bien réalisé et dans de bonnes conditions), le roulage, le hersage, l'eau chaude... sans oublier les techniques de travail du sol au cours de la rotation.
La lutte biologique met en jeu l'élevage en masse et le lâcher d'ennemis naturels tels que des parasitoïdes ou des prédateurs afin de lutter contre les insectes nuisibles d'une manière respectueuse de l'environnement.
De nouvelles lignes directrices publiées par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) recommandent la vermifugation périodique par l'administration d'un comprimé afin de réduire la souffrance des personnes infectées par des vers parasites intestinaux et de protéger les 1,5 milliard de personnes qui, selon les ...
Méthode de lutte visant à soigner une plante déjà malade ou attaquée par un ravageur.
Quelques moyens de lutte contre les moustiques : - utilisation de moustiquaires imprégnées ; - suppression des gîtes larvaires ; - épandage de couche de pétrole ou d'huile de vidange { la surface des eaux stagnantes ; - lutte chimique ; - lutte biologique.
Elle consiste en l'élevage de masse d'insectes – modifiés génétiquement ou non −, dont les mâles sont ensuite relâchés afin, soit qu'ils stéri- lisent les femelles, soit qu'ils leur transfèrent des mutations létales ou qui altéreront leur capacité à transmettre une maladie.
Méthode de lutte qui consiste à anticiper pour limiter les risques de maladie ou de ravageur.
Une autre exigence de la lutte chimique contre Coelaenomenodera est d'obtenir une mortalité très élevée, cela en raison surtout de sa fécondité généralement très forte. Pour de nombreuses espèces d'insectes phyllophages, notamment parmi les lépidoptères, une mortalité après traitement située entre 80 et 90 p.
Favoriser les ennemis naturels par exemple grâce à la climatisation, aux plantes refuges, aux endroits de nidification ou aux abris. 2/3.1. Disposer de l'information relative aux principales maladies, mauvaises herbes et organismes nuisibles et utiles pour ses cultures.
La lutte biologique classique consiste en l'introduction d'espèces exotiques capable de réguler à long terme les populations d'un ravageur. La population d'un ravageur peut augmenter à la suite de la disparition de ses ennemis après utilisation massive de pesticides.
Conclusion. La lutte biologique est la solution aux déséquilibres qui se multiplient du fait de l'utilisation des produits chimiques. Ces déséquilibres provoquent une multiplication anormale des ravageurs les plus résistants.
Sont qualifiés « d'ennemis des plantes » ou de « ravageurs » l'ensemble des animaux : insectes, acariens, gastéropodes, oiseaux ou rongeurs qui se nourrissent de plantes cultivées. Dans la maison, leur nombre est limité, mais leurs actions rapides et violentes les font redouter à juste titre.
Ce sont actuellement les insecticides les plus utilisés contre les acridiens; il s'agit par exemple du fénitrothion, du malathion, du chlorpyrifos et de bendiocarb. Ces insecticides ont une action relativement rapide (2 à 8 heures), sont relativement peu rémanents mais sont des composés à spectre très large.
Voici quelques moyens de luttes contre les insectes nuisibles : -utilisation d'insecticides. -assèchement de marais. -épandage d'une mince couche d'huile de moteur à la surface des eaux stagnantes.
(iv) La lutte chimique : larvicides (par exemple : pulvérisation larvicide avec du téméphos) et adulticides (fumigation, pulvérisation intradomiciliaire à effet rémanent, moustiquaires imprégnées d'insecticides, etc.)
Les fongicides sont des solutions mises au point pour maîtriser le développement ou la présence des champignons parasites des végétaux. Il existe aujourd'hui sur le marché deux principaux types de fongicides : les fongicides préventifs et les fongicides curatifs.
Pour limiter leur utilisation, plusieurs alternatives existent, comme le choix des semences, le recours à des produits de biocontrôle ou encore le développement de l'agriculture digitale, qui permet d'agir avec précision sur l'ensemble des paramètres des cultures, dont leur traitement.
Heureusement, il existe aujourd'hui de nombreuses solutions naturelles pour lutter contre ces parasites issus de la nature. Depuis plus de trente ans, Biobest, pionnier mondial de la production de bourdons, est l'une des principales entreprises dans le domaine de la protection naturelle et intégrée des cultures.