Les monnaies alternatives sont des dispositifs monétaires mis au service d'une transformation socioéconomique. Depuis le début des années 1980, elles se sont multipliées et se sont diversifiées dans un grand nombre de pays, selon une ampleur inédite à l'échelle des sociétés industrielles.
Dans le système de la monnaie libre, la monnaie est créée à parts égales pour tous les membres, sans dette et sans intérêts à rembourser. Chaque membre créant sa propre portion de monnaie, c'est en quelque sorte un revenu de base, ce n'est pas un revenu de suffisance.
Une monnaie locale est un instrument de paiement qui ne peut être utilisé que sur un territoire restreint, une commune ou une communauté de communes. Elle est mise en place par une association qui en assure la gestion avec l'aide d'un établissement financier.
L'euro en tant que monnaie officielle
L'euro est la monnaie officielle de 19 pays de l'Union européenne, qui forment ensemble la zone euro.
La Ğ1 (prononcée en français « June », /ʒyn/) est une cryptomonnaie P2P basée sur le logiciel Duniter. Son mécanisme de création monétaire est différent des autres cryptomonnaies.
L'étude géotechnique préalable (G1) ne comprend pas d'ébauche dimensionnelle et est insuffisante pour qualifier un projet. Elle nécessite d'être approfondie par une étude géotechnique de conception (G2) pour assurer la définition d'un projet et en maîtriser tous les risques.
Comment fonctionne Ğ1 (June) ? Comme indiqué plus haut la monnaie libre est générée sous forme de Dividende Universel (l'équivalent d'une sorte de revenu universel). Cette part de monnaie, la même pour tous, est versée tous les jours vers midi sur les comptes des membres vérifiés.
Méthode n°1 : en échanger
Que vous soyez un individu, une association, entreprise ou un robot, vous pouvez tout à fait vous procurer des unités de monnaie Ğ1. Au moment de l'écriture de ces lignes, le 2 janvier 2020, il existe plus de 12 millions de Ğ1 en circulation (soit environ 5 000 Ğ1 par membre certifié).
Le coût de l'étude de sol dite « préalable » à fournir lors de la vente d'un terrain constructible est d'environ 500 €. L'étude de sol dite « de conception » à fournir au constructeur est d'un coût d'environ 1.000 €.
Lors de la vente d'un terrain, l'étude de sol est à réaliser par le vendeur et à fournir à l'acheteur dès lors que le bien vendu est un terrain constructible situé dans une zone considérée comme exposée au risque de retrait-gonflement des sols argileux et dont le risque est identifié comme moyen ou fort.
Le coût de l'étude de sol G2 doit être supporté par le maître de l'ouvrage. Qui se charge de l'étude ? L'étude G2 ne peut être réalisée par un particulier ou un artisan terrassier.
La mission G5 permet de contrôler si les fondations existantes d'une construction sont adaptées au sol et au projet ou d'étudier un élément géotechnique spécifique (risque de liquéfaction, essais laboratoires...).
Est-il obligatoire de réaliser une étude de sol avant de vendre un terrain à bâtir ? Vous êtes propriétaire d'un terrain constructible que vous souhaitez mettre en vente. Depuis le 1er janvier 2020, avant la vente d'un terrain, la loi ELAN impose au vendeur de fournir une étude géotechnique préalable.
Le Contrat de construction de maison individuelle n'impose pas l'étude de sol. Cependant de nombreux constructeurs l'intègrent dans leurs prestations. Certains départements affectés par des risques particuliers (séismes, glissements de terrain, argiles gonflantes, présence de vides…) l'imposent.
Les bons sols sont rocheux ou constitués de sable et de graviers. Avant de signer, renseignez-vous sur le coût du raccordement aux équipements publics si le terrain n'est pas viabilisé. Il peut être beaucoup plus élevé que vous ne pensez (plusieurs milliers d'euros).
La durée de validité de l'étude de sol est de 30 ans. Oui, l'analyse géotechnique possède une durée de validité longue (en comparaison avec d'autres études ou diagnostics). Il faut toutefois qu'aucun remaniement du sol n'ait été effectué.
Qui règle la note ? C'est au propriétaire du terrain, qu'il s'agisse d'un particulier, d'un lotisseur ou d'un promoteur immobilier, d'entreprendre les démarches de viabilisation. Il doit aussi prendre en charge le coût des travaux et coordonner la réalisation de ceux-ci lorsqu'ils font intervenir plusieurs entreprises.
Depuis le 1er octobre 2020, la loi ELAN prévoit l'obligation de fournir une étude géotechnique des sols en cas de vente d'un terrain non bâti constructible et en cas de contrat ayant pour objet des travaux de construction d'une maison.
L'étude de sol G2 est obligatoire dans le cas où vous prévoyez de construire sur une zone sismique, ou si vous envisagez une zone réputée pour être argileuse.
Le prix moyen d'une mission G1 oscille entre 500 et 2 500 €.
Ainsi, en contexte humide, un sol argileux se présente comme souple et malléable, tandis que ce même sol desséché sera dur et cassant. Des variations de volume plus ou moins conséquentes en fonction de la structure du sol et des minéraux en présence, accompagnent ces modifications de consistance.
Qu'est-ce qu'une étude béton ? Aussi appelée étude de structure, l'étude Béton permet de calculer précisément la structure porteuse et les matériaux de votre future maison.
Le terrain que vous vendez doit être constructible, viabilisé, délimité. Un terrain constructible est apte à recevoir et à supporter une construction. Son sous-sol doit être en capacité de supporter le poids et les charges de la future construction.