Les principales contreparties concernent donc respectivement la création monétaire d'origine externe, les créances nettes sur l'extérieur, et celle qui est d'origine interne, le crédit interne, subdivisé en créances nettes sur l'État et créances sur l'économie.
Cette création de monnaie scripturale qui se déroule selon trois modalités (crédit à l'économie, acquisition de titres publics et sur l'étranger) se traduit par une augmentation des agrégats monétaires.
La monnaie scripturale est créée par les banques commerciales, lorsque des agents économiques (ménages, entreprises, etc.) empruntent pour financer leurs activités.
Les banques commerciales ne peuvent octroyer autant de crédits, ni créer autant de monnaie qu'elles le veulent. En effet, il existe deux limites à leur activité de prêts aux agents économiques : la réglementation prudentielle et la politique monétaire de la Banque centrale.
La création de monnaie dépend : Des demandes de crédits provenant des entreprises ou des ménages, Des réserves de monnaie dont disposent les banques commerciales auprès de la Banque de France (la monnaie centrale ou base monétaire) et qui conditionnent la possibilité qu'ont les banques d'octroyer des crédits.
Les principales contreparties concernent donc respectivement la création monétaire d'origine externe, les créances nettes sur l'extérieur, et celle qui est d'origine interne, le crédit interne, subdivisé en créances nettes sur l'État et créances sur l'économie.
Il existe trois formes de monnaie aujourd'hui : la monnaie métallique (les pièces), la monnaie papier (les billets), la monnaie scripturale.
Les paiements entre banques se font exclusivement par l'intermédiaire des comptes qu'elles détiennent à la banque centrale. C'est pourquoi on parle de « monnaie banque centrale ». Cette monnaie n'est utilisée par les banques que sur le marché interbancaire et ne circule donc pas dans l'économie.
La compensation bancaire est une technique mise en œuvre par les banques afin de compenser les créances et dettes qu'elles détiennent les unes envers les autres. Elle permet aux banques de connaître en détail (et en valeur) les ordres passés par leurs clients et de régulariser les transactions correspondantes.
des billets ou monnaie fiduciaire, fabriqués par la Banque de France ; d'écritures sur les comptes bancaires : la monnaie est, en grande majorité, scripturale. La monnaie est pour la plus grande part créée sur une initiative des agents économiques, lorsqu'ils recourent à l'emprunt pour financer leurs activités.
(/1) La monnaie fiduciaire correspond à la monnaie manuelle que sont les pièces et les billets. La monnaie scripturale est une monnaie immatérielle correspondant aux écritures sur les comptes en banque.
L'autre inconvénient de la monnaie créée par le crédit est qu'elle est fugace : la monnaie disparaît lorsque le crédit est remboursé. Alors que l'émission de billets par les banques centrales est aujourd'hui permanente. La disparition de la monnaie de crédit suit donc celle du crédit.
Ce sont les banques centrales qui disposent du monopole de l'émission de cette monnaie “physique”. La monnaie scripturale (écrite), représente les avoirs au crédit des comptes bancaires détenus par les agents économiques et créés par les banques commerciales.
– les titres longs (obligations émises par les IFM) ; – les dépôts à plus de deux ans ; – le capital et les réserves. Une augmentation de ce type de ressources non monétaires au passif des IFM signifie que leurs créances sont, en proportion, moins adossées à de la monnaie.
Un risque bancaire est un risque auquel s'expose un établissement bancaire lors d'une activité bancaire. L'activité bancaire, par son rôle d'intermédiation financière et ses services connexes, expose les établissements bancaires à de nombreux risques.
Les banques centrales émettent les billets ; en France, il s'agit de la Banque de France, de l'IEDOM et de l'IEOM. Depuis l'introduction de l'euro en 2002, près de 19 milliards de billets ont été...
La "compensation" est un mécanisme juridique qui consiste à remettre à quelqu'un une valeur ou un bien en réparation d'une prestation voire, en réparation d'un dommage. C'est dans ce sens que le même mot est utilisé en anglais où il signifie aussi "honoraires".
Avantage qui compense un inconvénient. Synonyme : consolation, contrepartie, dédommagement, indemnisation, indemnité, réparation.
Une fois un chèque déposé auprès de sa banque, l'établissement bancaire démarre une vérification de la validité et de la véracité du chèque. Cette démarche vise à interroger la banque de l'émetteur du chèque. Cela permet ainsi de s'assurer que les fonds sont bels et bien présents pour effectuer l'action souhaitée.
La banque reçoit les dépôts du public, collecte l'épargne, fournit et gère les moyens de paiement et accorde des prêts. Le banquier est un intermédiaire entre vous et vos créanciers. Vous êtes le gérant de votre compte bancaire et vous donnez les ordres nécessaires à votre banquier pour son fonctionnement.
La liquidité bancaire est généralement considérée comme étant « la capacité à faire face à ses obligations de trésorerie suivant leur échéance » et est définie de deux façons 1. La littérature bancaire a tout d'abord retenu une définition étroite de la liquidité, également appelée « liquidité de financement ».
Du point de vue comptable, un actif monétaire est celui qui peut être mesuré dans une monnaie (nationale ou étrangère) et qui possède également de la liquidité. Plus précisément, deux comptes comptables sont considérés dans cette catégorie : Encaisse et comptes débiteurs.
Le dinar koweïtien ou dinar du Koweït (ISO 4217 code KWD) est la monnaie nationale du Koweït depuis 1961. Le dinar est subdivisé en 1 000 fils .
Le dinar koweïtien
Connu comme la monnaie la plus puissante du monde, le dinar koweïtien ou KWD a été introduit en 1960 et était initialement équivalent à une livre sterling.
La monnaie à valeur intrinsèque est remplacée par la monnaie divisionnaire, constituée de pièces dont la valeur n'est plus fixée par la quantité de métal qu'elles contiennent mais par la confiance que l'usager donne à la valeur inscrite sur la pièce.