Quels sont les différents styles de direction dans l'entreprise ? L'analyse de Rensis Likert (1903 – 1981) permet de distinguer quatre styles de commandement : autoritaire, paternaliste, consultatif et participatif.
Directif, participatif, autoritaire, démocratique, consultatif, les styles de leadership sont nombreux en entreprise, et il n'existe pas de recette miracle qui aiderait les dirigeants et managers à accompagner parfaitement leurs équipes.
Styles de management : directif, participatif, persuasif, délégatif.
Le management directif ou autoritaire s'avère être une stratégie efficace pour l'entreprise pour se sortir des situations d'urgence, car il assure une productivité optimale. Le souci avec cette mode de gérance, c'est que les employés ont tendance à développer une certaine hostilité envers les dirigeants.
Les différents styles de management. Le psychologue américain Rensis Likert a défini 4 grands styles de management au début des années 60. Nos comportements, nos pensées et nos actions correspondent à des catégories de management : le style directif, persuasif, participatif et délégatif.
Le rôle du manager consiste donc à respecter 4 points clés : Impulser la cohésion d'équipe. Maintenir la motivation. Déléguer les tâches et l'organisation.
Le management est posé comme l'art de diriger une organisation et de prendre les décisions nécessaires à la réalisation de ses objectifs. Il s'agit d'une démarche globale qui repose sur quatre grandes fonctions génériques : piloter (fixer des objectifs et contrôler), organiser, animer et diriger.
Leadership autocratique
Un autocrate est un souverain absolu. Dans ce style de leadership, le chef prend les décisions sans demander l'avis de ses collègues ou de ses employés. On attend de ces derniers qu'ils exécutent simplement toutes les instructions et tâches.
Le leadership, un terme emprunté à l'anglais, définit la capacité d'un individu à mener ou conduire d'autres individus ou organisations dans le but d'atteindre certains objectifs. On dira alors qu'un leader est quelqu'un qui est capable de guider, d'influencer et d'inspirer.
Les quatre niveaux du management des compétences : individuel, collectif, stratégique et environnemental.
Le style autoritaire exploiteur
Il prend des décisions et les annonce ensuite aux collaborateurs de l'entreprise. Il ne laisse aucune initiative à ses subordonnés. Le dirigeant utilise également les menaces et les sanctions à l'encontre des salariés pour affirmer son autorité et prendre des mesures décisionnelles.
Apparu dans les années 90 en Amérique du Nord, le management horizontal, aussi appelé management collaboratif ou encore « holacratie », est une approche selon laquelle chaque collaborateur, manager et dirigeant est placé sur le même pied d'égalité.
Le management paternaliste se définit comme un style de management reposant sur l'autorité incontestée du dirigeant, qui entretient des relations privilégiées avec ses subordonnés.
Une vision claire, la capacité d'influencer et de motiver, et de bonnes compétences en matière d'écoute et de communication sont les trois qualités essentielles des grands leaders, selon notre dernière étude Executive Horizons.
Le style directif correspond à un management plutôt entreprenant et engagé. Le manager directif sait structurer une activité, donner des instructions. Le manager sait ce qu'il fait, où il va, et conduit son équipe en décidant et en assumant seul ses décisions.
La principale différence entre le manager et le leader dépend surtout de l'origine de son statut. Le manager le doit à la décision de sa hiérarchie, qui l'a désigné pour coacher et encadrer son équipe. Quant au leader, il prend naturellement cette place et est reconnu comme tel par les membres de son équipe.
Il est tout à fait possible d'être à la fois un manager et un leader au sein de son équipe. Cependant, on peut aussi être un manager sans être un leader, et un leader sans être un manager. L'un n'est pas meilleur que l'autre, et les deux sont indispensables au bon fonctionnement d'une entreprise.
Le style « participatif » correspond à un management plutôt « collaboratif » : le manager participatif est focalisé sur les relations humaines conviviales et veut développer une bonne ambiance de communication. Sa « croyance » : une équipe qui s'entend bien est une équipe qui réussit.
En d'autres termes, le leadership collaboratif est un processus dans lequel les individus utilisent leurs compétences et leur expertise au sein d'un réseau pour contribuer à la fonction leadership global et travailler vers des objectifs communs.
Le leader participatif encourage ses employés et valorise leur travail et leurs accomplissements. Il fournit des directives et des recommandations pour atteindre les objectifs fixés de concert, mais laisse un certain pouvoir de décision aux employés.
La fonction Direction et Administration générale consiste à définir les objectifs, prévoir et choisir les actions à accomplir, contrôler leur réalisation, prendre d'éventuelles mesures correctives. Il faut pour cela avoir une vision à long terme et surtout une capacité à mobiliser l'ensemble de l'entreprise.
Il existe huit rôles de management différents : le pilotage, l'organisation, le développement des collaborateurs, l'animation d'équipe, la négociation avec les parties prenantes, le reporting, le réseautage et la représentation de l'unité à l'extérieur.
Le management se préoccupe de la clarification des rôles, de l'animation (au sens de donner vie) et de la logique de coordination des actions. La gestion, quant à elle, se préoccupe de la clarification des activités, de l'optimisation des ressources et de la logique de différenciation des fonctions.