les cinq signes dont le nom commence par la lettre K et qui rappellent leur loyauté envers la religion et la communauté sikh : les cheveux non coupés (
Les hommes ainsi initiés sont appelés « Singhs » (lions) et, au fil du temps, sont tenus, en tant que membres du Khalsa, de rester fidèles aux cinq kakas (les cinq K) : de ne jamais se couper ni les cheveux ni la barbe (kesh) et de porter un peigne (kangha) symbolisant la propreté, un bracelet de métal (kara), une ...
Les Sikhs croient en un seul Dieu éternel et créateur selon le principe "Ik-On-Kar" - que l'on peut traduire par "une seule conscience créatrice manifestée". La religion renonce aux jeux de hasard et à la consommation de viande, d'alcool et de tabac afin de parvenir à la "mukti", c'est-à-dire la "libération".
Un Sikh est ainsi censé prier trois fois par jour : tôt le matin, le soir et avant de se coucher. Les textes de ces prières sont tirés du Gurū Granth Sāhib et du Dasam Granth. Un Sikh doit également se rendre aussi souvent que possible au gurdvārā et y participer aux prières collectives.
Le kirpan (API : /kɪrˈpɑn/) (pendjabi : ਕਿਰਪਾਨ) est une arme symbolique s'apparentant à un poignard, portée par les sikhs orthodoxes pour rappeler le besoin de lutter contre l'oppression et l'injustice. Le kirpan est porté sur une ceinture de toile appelée gatra.
Le Dastar est le turban porté par les hommes de confession sikh qui suivent la règle des Cinq K. Ces sikhs ont reçu l'Amrit Sanskar, le baptême sikh qui intronise tout croyant dans l'ordre du khalsa.
Issu du mot sanskrit sinha, Singh signifie « lion ». On retrouve ce terme dans le nom de la cité-État de Singapour, qui est « la ville du lion ». En Inde et partout dans le monde, tous les Sikhs hommes s'appellent Singh tandis que les femmes se nomment Kaur (« princesse »).
Tout sikh est libre de le devenir, ou, de lire le Guru Granth Sahib. Manger de la viande tuée de manière rituelle: les sikhs ne doivent pas manger la viande halal ou casher. La plupart des courants sikhs interdisent de manger de la viande.
Le kesh ou kes est la pratique du sikhisme qui consiste à ne pas couper ses cheveux (ni aucun poil du corps), à les laisser croître naturellement comme symbole de respect pour la perfection de la création de Dieu.
La religion Sikh a vu le jour au XV e siècle dans la région du Pendjab et le pendjabi est la langue principale parlée par les Sikhs. La plupart des portions du Guru Granth Sahib utilise le pendjabi écrit en gurmukhi, bien que le pendjabi ne soit pas la seule langue utilisée dans l'écriture Sikh.
Lieux de culte
Le temple sikh s'appelle Gurdwara (littéralement : « la porte du Guru »). Pour y entrer, il faut se déchausser et se couvrir la tête. Le temple est un lieu ouvert à tous, croyant ou non, ils se doivent de vous accueillir dans le respect tant que vous faites de même.
Depuis quelque temps, une association organise un concours intitulé “Mister Singh International”, qui est réservé aux sikhs enturbannés. Les candidats doivent participer entre autres à une épreuve intitulée “Mon turban, ma fierté, mon identité”, où ils sont jugés sur leur façon de nouer le tissu sur leur tête.
"Ils veulent du travail et non des armes". Le mouvement séparatiste continue d'avoir des soutiens à l'étranger au sein de la diaspora sikh de Grande-Bretagne, du Canada ou des Etats-Unis.
En Inde du Nord le bindi est généralement porté par les femmes mariées, au sud par contre tout le monde le met, même les petits enfants.
Encore une fois, tout le monde peut porter un turban. Il n'appartient pas à une culture en particulier.
n'est pas un signe ostentatoire religieux au sens de la loi précitée. 5. La Cour administrative d'appel de PARIS estime que le port du keshi manifeste ostensiblement une appartenance religieuse et qu'il peut justifier une sanction s'il est porté par un élève dans l'enceinte d'un établissement scolaire.
Les dix gurus de la religion Sikhe vont rédiger, codifier, fixer le livre sacré, l'Adi Granth, ou Granth Sahib dont le sous-titre est Le livre des commencements.
Le rituel de la cérémonie du mariage punjabi se déroule dans un Gurdwara où le prêtre lit le livre sacré pour compléter la cérémonie et les jeunes mariés prennent les Phers (anneaux) autour du Guru Granth sahib (Livre sacré des sikhs).
Le turban noir est un couvre-chef, accessoire traditionnel dans les pays chiites. C'est une partie de l'habit de tout théologien chiite descendant du prophète de l'islam Mahomet par l'un de ses deux petits-fils, Al-Hassan ibn Ali ou Al-Hussein ibn Ali, fils de Fatima Zahra.
Vous ne vous êtes jamais demandé pourquoi la plupart des hindous ne mangent pas de boeuf ? C'est parce que les vaches sont vénérées en Inde, elles sont choyées et peuvent errer librement. Dans certains endroits, est considéré comme chanceux, celui qui donne a manger à une vache.
Comme toutes les religions, la religion Tamoule connait des interdits alimentaires. Qu'ils soient en Inde ou à la Réunion, les tamouls ne mangent pas de boeuf. Les vaches en Inde sont une incarnation de la Mère Divine, Dévi. Elles sont donc protégées.
L'augmentation, ces dernières décennies, de la consommation d'œufs en Inde indique néanmoins, au-delà de la simple croissance démographique, la part grandissante de ce produit dans le régime des Indiens, spécialement parmi la population urbaine.
Le « point rouge » qu'on appelle « pottu » ou « bindi » est un point coloré que les femmes indiennes portent sur le front, entre les sourcils. Le pottu symbolise le troisième œil, l'œil de la connaissance selon les hindous. De nos jours, le pottu est devenu un accessoire de beauté.
L'une des quatre grandes religions de l'Inde fondée, à la fin du xve s., au Pendjab par Guru Nanak. Le canon du sikhisme, l'Adi Granth, repose sur le principe de l'existence d'un seul Dieu créateur, sans forme et au-delà de la compréhension humaine.
Le mouvement de tête, te déconcertera.
Il ne s'agit à la fois ni d'une réponse affirmative, ni négative, mais plutôt un signe qui signifie :« Tout va bien » « Je comprend », « Surement », ou encore « Peut-être ». Il n'est pas dans la culture indienne de provoquer un échange tendu ou une dispute.