Le courage (dérivé de cœur) est une vertu qui permet d'entreprendre des choses difficiles en surmontant la peur, et en affrontant le danger, la souffrance, la fatigue. Depuis l'antiquité et dans la plupart des civilisations, le courage est considéré comme l'une des principales vertus, indispensable aux héros.
Être courageux a des avantages: d'une part, il empêche un pessimisme injustifié, car les personnes courageuses croient en elles-mêmes et donc en leur propre efficacité. Les personnes courageuses surmontent aussi plus facilement les difficultés et ne sont pas découragées par l'adversité.
1. Fermeté, force de caractère qui permet d'affronter le danger, la souffrance, les revers, les circonstances difficiles : Avoir du courage. 2. Ardeur mise à entreprendre une tâche : Travailler avec courage.
C'est une valeur qui permet d'appréhender les difficultés de la vie, privées comme professionnelles. Travailler sur son courage, c'est développer ses capacités d'analyse, de sang-froid et de décision face à des situations rencontrées, potentiellement anxiogènes.
1. Qui a du courage, de la fermeté, de l'ardeur, de l'énergie au travail ; brave : Une femme courageuse devant l'adversité. 2. Qui manifeste ce sentiment : Une courageuse intervention.
On reconnaît généralement dans le courage une disposition à affronter ses peurs, à faire face au danger de manière résolue et volontaire. C'est l'élan qui pousse à s'engager dans l'action malgré le risque.
Le courageux prend un risque en connaissance de cause, sans se laisser paralyser par les peurs irrationnelles qui envahissent la plupart des gens. Par la peur de la mort, en particulier : contrairement à la plupart des hommes, il sait que la mort du corps n'est rien, ou presque, puisque l'âme est immortelle.
Courageux, courageux à/pour + subst. Qui a ou qui manifeste du courage, qui exprime le courage. A. − [En parlant d'êtres humains] Qui a ou qui manifeste de la volonté et de l'énergie devant un travail plus ou moins pénible.
Définition "courageux"
adj. Qui a du courage ; qui ne craint ni les difficultés, ni le danger.
Quand on dit “bon courage”, ou quand on se l'entend dire, on se dit que c'est la sympathie incarnée, que notre interlocuteur semble de tout cœur avec nous. C'est si bon de l'entendre et de se dire qu'on est soutenu. Sauf qu'en fait, l'interlocuteur, eh bien il n'est plus là au moment de l'action.
La témérité est définie comme la disposition à oser, à entreprendre sans réflexion ou sans prudence ; alors que le courage est défini comme la prise de conscience de risques dans la réalisation d'une action.
Le mot courage se définit comme « la force mentale ou morale de… persévérer et de résister au danger, à la peur ou à la difficulté » (Merriam-Webster's Collegiate Dictionary, 11e éd., 2003, « courage », italiques ajoutées).
Pour Platon, le courage est « une fermeté réfléchie », c'est-à-dire « une fermeté secondée par la réflexion » (Lachès, 190d-193d).
La valeur d'un homme tient dans sa capacité à donner et non dans sa capacité à recevoir. La valeur d'un homme ne se mesure pas à son argent, son statut ou ses possessions. La valeur d'un homme réside dans sa personnalité, sa sagesse, sa créativité, son courage, son indépendance et sa maturité.
Le courage ce n'est pas : « ne pas avoir peur ». Le courage, c'est prendre conscience de sa peur et y faire face. L'occulter ou la contourner c'est de la lâcheté. L'ausculter pour comprendre tout ce qu'elle a à nous dire et la dépasser, voilà qui nous rend plus fort.
Le courage ressemble à l'audace mais avec quelque chose en plus : une durée et une dimension morale. Avoir du courage, c'est exprimer une combativité qui s'inscrit dans la durée et porte en elle des valeurs. Le courage est une persévérance et, de façon implicite au moins, une éthique.
Fermeté, force morale face aux épreuves, au danger et à la souffrance. Ardeur, énergie, zèle.
Voici les 3 raisons qui sont à l'origine de ce comportement : La peur de soi : de se laisser submerger par l'émotion, de perdre le contrôle qui serait alors considéré comme un manque de professionnalisme ou de compétence. La peur du conflit : la crainte de blesser son interlocuteur indispose beaucoup de personnes.
Quelle différence ? Pour faire simple, disons que le courage, c'est faire malgré la peur. Ainsi, le contraire du courage est l'évitement : je trouve une excuse pour ne pas faire ce qui me fait peur. Alors que recourir à la volonté, c'est faire malgré le manque d'envie (ou de ne pas faire malgré l'envie).
Le verbe courage n'existe pas. Il s'agit peut-être d'une faute d'orthographe. Voici une liste des verbes se rapprochant le plus : courber.
C'est la fermeté du cœur et la force d'âme en face d'un danger, d'une souffrance ou d'un revers. En fait, c'est une qualité intérieure à l'être humain qui est essentielle à la réussite.