En consommant un verre de vin rouge par jour, on peut considérer qu'il n'y a pas de danger pour la santé, car peu d'alcool consommé et qu'une telle consommation (sans la dépasser) peut être bénéfique pour le cœur.
Le vin rouge a des vertus santé que le blanc ou le rosé n'ont pas. On parle souvent des antioxydants qui contribuent à la prévention de certaines maladies cardio-vasculaires.
Riche en polyphénols, le vin rouge pourrait bien contribuer à repousser les maladies cardiaques. Leur rôle d'antioxydants naturels permet notamment de prévenir des maladies inflammatoires et cardiovasculaires. Le vin rouge contient également de la vitamine E protectrice des tissus des vaisseaux sanguins.
La surconsommation de vin, au delà des 1 à 2 verres de vin rouge par jour est responsable d'atteinte du foie, plus ou moins réversible, et pouvant aboutir au décès quand les lésions hépatiques ont fait place au cancer. Les enfants, les femmes et les asiatiques sont plus sensibles aux effets néfastes du vin.
Pourquoi le vin rouge a-t-il cet effet somnifère ? Les chercheurs pensent que c'est dû aux antioxydants contenus dans le vin. Ces antioxydants peuvent aider à détendre le corps et l'esprit, facilitant ainsi l'endormissement.
Actuellement, il est conseillé de ne pas dépasser 2 à 3 verres par jour pour les hommes, 1 à 2 verres pour les femmes, et de pratiquer deux jours d'abstinence complète par semaine pour tous.
Comment l'alcool agit-il ? Une consommation modérée d'alcool, (soit 2 à 3 verres par jour au maximum) peut faire diminuer la tension artérielle, en particulier chez les personnes âgées. Par contre, à partir de 4 verres ou plus, la tension augmente.
Le vin protégerait ainsi le mauvais cholestérol de l'oxydation, le rendant ainsi moins toxique. Par ailleurs, il pourrait diminuer la formation des caillots sanguins et fluidifier le sang, à la manière de l'aspirine.
Cependant, si tous les alcools protègent le cœur à faible dose, c'est bien le vin rouge qui concentre les vertus, car il est riche en polyphénols, des molécules antioxydantes, anti-inflammatoires et antiagrégantes (qui réduisent le risque de formation de caillots sanguins).
51,1 % des femmes interrogées préfèrent le vin rouge au vin blanc (26,4 %), tandis que 15,7 % (plus particulièrement les 18-30 ans) déclarent boire essentiellement du vin rosé contre 6 % il y a deux ans.
"Le vin blanc peut effectivement engendrer certains calculs rénaux. La bière également car elle est très riche en purines, donc en acide urique. On déconseille aussi le champagne.
Mélangé avec de l'eau, le vin se dénature complètement, perd de ses arômes et de sa générosité.
Attention au risque de dépendance
Si un verre de vin par jour n'est donc pas, en soit, mauvais pour la santé, il peut créer une dépendance qui, elle, peut devenir dangereuse. Boire un verre de vin tous les jours c'est prendre le risque de ne plus pouvoir s'en passer.
La consommation d'un verre de vin quotidien serait non seulement sans danger pour le foie mais en plus pourrait lui être bénéfique en diminuant la prévalence de certaines maladies non alcooliques hépatiques (non-alcoholic fatty liver disease, NAFLD).
Le vin s'est avéré moins délétère pour le foie que la bière et les alcools forts. Ainsi, chez les hommes qui buvaient principalement du vin, le risque de cirrhose était 1,2 fois supérieur pour une consommation de 14 à 28 boissons par semaine par rapport à une consommation de moins de 14 boissons par semaine.
Est ce que l'alcool est riche en fer ? Non l'alcool n'est pas riche en fer, donc il va falloir trouver une autre excuse pour en boire ! Plus serieusement, le vin contient 0,61 mgr pour 100 gr, et la bière aux alentours de 0.02 mgr pour 100 gr.
Les vins rouges renferment donc plus de molécules colorantes que les vins blancs et avec elles, plus de polyphénols. Or, les polyphénols présentent des propriétés antioxydantes reconnues. Ils permettraient de protéger l'organisme des maladies cardiovasculaires notamment.
Le vin rouge permettrait donc un plus grand flux dans les artères et les vaisseaux sanguins sans en modifier les capacités coagulantes. Ces bienfaits ont aussi été observés chez les buveurs de bière et de vin blanc, mais dans une moindre mesure. Le whisky et l'eau n'ont provoqué aucune modification.
Une consommation excessive d'alcool restreint l'oxygène dans les globules rouges, ce qui provoque la dilatation de minuscules vaisseaux sanguins à la surface de votre œil (la sclère). Ceci entraîne ensuite un plus grand flot de sang dans ces vaisseaux, ce qui donne à vos yeux cette apparence rouge et enflammée.
D'autres études ont montré que le vin rouge aide à prévenir les dépôts dans la paroi artérielle, et des chercheurs de Johns Hopkins University aux États-Unis ont récemment découvert que le vin «protège le cerveau des lésions à la suite d'une attaque».
On le répète : boire de l'eau régulièrement entre deux verres d'alcool ne fait aucunement baisser l'alcoolémie. En revanche, cela peut aider à éviter les effets désagréables de la fameuse « gueule de bois » du lendemain, confirme la diététicienne nutritionniste Ysabelle Levasseur.
Certaines études démontrent que la consommation de vin peut avoir des vertus pour notre santé. Les effets vasodilatateurs, antiagrégants et antioxydants du vin en sont pour beaucoup. Ces bienfaits se révèlent à condition d'en consommer raisonnablement car le vin reste de l'alcool donc peut potentiellement être nocif.
Ce qu'on appelle le french paradox a pour fondement le fait de prendre le vin en même temps qu'un repas car le fait qu'il y ait de l'alcool dans le vin permet une meilleure diffusion, une meilleure absorption des polyphénols et en même temps une synergie de l'absorption des polyphénols contenus dans les fruits et ...