afin que, pour que, de crainte que, de peur que sont suivies du subjonctif. Conjonctions de subordination qui marquent la cause: parce que, puisque, comme, vu que, attendu que, du moment que, sous prétexte que sont suivies de l'indicatif.
La subordonnée de cause, appelée aussi causale, est une proposition qui assume la fonction de complément circonstanciel de cause du verbe principal dont elle dépend et avec lequel elle établit un rapport logique. Elle indique l'origine, la raison, la cause du fait principal.
La conjonction de subordination est un mot invariable qui sert à introduire une proposition subordonnée. Ses parents sont très fiers qu'il ait réussi le concours (La conjonction qu' introduit la proposition il ait réussi). Les conjonctions à proprement parler sont : que, comme, lorsque, puisque, quand, quoique et si.
Une proposition subordonnée conjonctive circonstancielle de cause est introduite par une conjonction de subordination exprimant la cause et est complément circonstanciel de cause de la proposition principale. Les feuilles tombent parce que l'automne arrive.
La subordonnée conjonctive circonstancielle de conséquence peut être… introduite par les conjonctions : au point que, de sorte que, de façon que, si bien que ; Exemple : Bob est très intelligent [si bien qu'il réussit sans peine].
Conjonction de subordination = mot invariable qui sert à relier deux éléments d'une phrase dont l'un est subordonné de l'autre. Je viendrai quand tu m'appelleras. => L'action de "venir" est dépendante du fait que tu m'appelles. => "quand tu m'appelleras" est la subordonnée de temps.
Les compléments circonstanciels de cause répondent aux questions : pourquoi ?, à cause de quoi ? Ils indiquent donc la raison pour laquelle se déroule l'action : À cause de toi, j'ai tout perdu ! Il a agi par dépit.
Une cause présente la raison de quelque chose, c'est un élément qui en produit un autre, c'est un fait qui en entraîne un autre, etc. Une conséquence explique ce qui arrive (l'effet), c'est le résultat de quelque chose (les répercussions).
La proposition subordonnée conjonctive circonstancielle de but est introduite par pour que, afin que, de peur que. Ex. : Il s'adresse à un ami pour qu'il l'aide à trouver du travail. Il lui rappelle sa promesse de peur qu'il ne l'oublie.
Mais, ou, et, donc, or, ni, car. Retenez bien cette phrase, et plus jamais vous n'oublierez les sept conjonctions de coordination. Une petite phrase toute simple permet de les retenir : "Mais où est donc Ornicar ?".
Les conjonctions de coordination (mais, ou, et, donc, or, ni, car) relient deux mots ou deux propositions de même nature ; Les conjonctions de subordination (que, parce que, quand, si...) relient une proposition subordonnée à la proposition principale dont elle dépend.
La principale différence entre la conjonction de subordination que et le pronom relatif que est qu'une conjonction de subordination n'a aucune fonction syntaxique et ne reprend rien dans la phrase, alors qu'un pronom relatif reprend un autre mot que l'on appelle antécédent et occupe une fonction syntaxique.
Les termes et structures qui expriment la cause sont : parce que, puisque, comme, car, en effet, étant donné (que), vu (que), du fait de, en raison de, faute de, sous prétexte que, suite à, à cause de, grâce à, pour et par.
2) Dans une phrase complexe,
parce que, comme (obligatoirement placé en tête de phrase), parce que, puisque (suppose que la cause est déjà connue), étant donné que, sous prétexte que, d'autant que. Puisque vous le voyez souvent, assurez-le que je l'aime beaucoup.
Conjonction « quand »
La conjonction de subordination quand introduit le plus souvent une subordonnée conjonctive circonstancielle de temps : La pluie commença à tomber quand j'arrivai à la gare.
Une proposition est dite conjonctive quand elle commence par une conjonction de subordination (en français : que, dès que, pendant que, quand, parce que, puisque, bien que, quoique, si, même si, etc).
La proposition subordonnée conjonctive est introduite par une conjonction de subordination (que, lorsque, puisque, quoique, comme, si, quand) ou par une locution conjonctive (parce que, bien que…). Ils donneront une réponse quand ils auront étudié la question.
La subordonnée complétive est une phrase enchâssée qui est généralement introduite par la conjonction que. Elle est appelée complétive, car elle remplit très souvent la fonction de complément.
A cause de : On utilise 'à cause de' lorsqu'une embûche se met sur notre chemin. Je suis tombé malade à cause de la pluie.
cause n.f. Ce qui produit quelque chose ; raison ou origine de quelque chose.
MAIS, OU, ET, DONC, OR, NI, CAR sont des conjonctions de coordination. Elles coordonnent ou lient deux mots ou deux propositions de nature ou de fonction identiques.
Il existe différents compléments circonstanciels. Le CC de cause répond à la question pour quelle raison ? Le CC de but répond à la question pour quoi faire ? Le CC de lieu répond à la question où ?
Ex : Jean est absent aujourd'hui parce qu'il est malade. 2) Les compléments circonstanciels de conséquence. Un complément circonstanciel de conséquence indique le résultat, l'effet d'une action. Ex : Jean est tellement malade qu'il est absent.
Les compléments circonstanciels indiquent dans quelle circonstance se déroule l'action: à quel moment, en quel lieu, de quelle manière, dans quel but, pour quelle cause, avec quoi ou au moyen de quoi.