Selon l'Inserm, en France, un à deux élèves par classe a des difficultés d'apprentissage qui ont été définies : Les troubles DYS : dyslexie, dysorthographie, dyscalculie, associés à la dysphasie. Les troubles de l'attention avec ou sans hyperactivité (TDA/TDAH).
Un élève en difficulté(s) d'apprentissage est un élève qui n'est pas en mesure (n'arrive pas, ne s'approprie pas, est empêché), sur un laps de temps plus ou moins long, d'entrer pleinement dans un apprentissage au regard des attendus visés.
L'aimable : qui a besoin de reconnaissance et d'attention. Le perfectionniste : cherche toujours à bien faire et est assez sévère avec lui-même. L'émotionnel : a du mal à gérer ses émotions, est très créatif. L'enthousiaste : positif dans toutes les situations, a du mal à être discipliné
On peut dire que cela signifie qu'un ou plusieurs domaines sont en panne chez l'enfant : la lecture, les mathématiques, les repères dans le temps et l'espace…
Il présente des troubles de la concentration, mémorise difficilement et ses résultats scolaires baissent. Dans de rares cas, l'enfant surinvestit l'école parce que c'est la seule chose qu'il a le sentiment de pouvoir maîtriser. Ses résultats scolaires sont donc stables.
Le trouble n'arrive pas ''tout à coup''. Des difficultés à se situer dans le temps, dans l'espace, à acquérir certains automatismes, à comprendre les séquences, à généraliser un apprentissage dans plusieurs contextes, sont souvent observées bien avant l'entrée à l'école.
Vous pouvez essayer de hiérarchiser les solutions au problème, d'y aller petit à petit et de bien expliquer toutes les étapes à votre enfant. Par exemple, vous pouvez commencer par du soutien scolaire, puis un suivi psychologique, ou l'inverse.
On peut définir 7 profils d'identités différents : le perfectionniste, l'intellectuel, le rebelle, le dynamique, l'aimable, l'émotionnel, l'enthousiaste.
Formules possibles pour faire l'éloge de l'implication d'un élève : actif, combatif, constant, courageux, décidé, dynamique, énergique, entreprenant, intéressé, motivé, opiniâtre, persévérant, spontané, volontaire. Les noms: ardeur, assurance, conviction, fermeté, vitalité, vivacité, etc.
Le bon élève est attentif et concentré. Il en donne les signes : les mains sur la table, le regard fixe tourné vers le professeur, il ne crayonne pas sur une feuille de papier et ne joue pas avec son stylo. Le bon élève est toujours souriant, de bonne humeur ; mais pas trop, s'il rit, il devient un élève perturbateur.
Difficulté d'attention, de concentration ou de mémoire. Donne des excuses pour éviter les tâches inhabituelles. Facilement déstabilisé (si changement à la routine ou à l'horaire). Hésite à sortir des routines établies.
Difficultés durables, troubles des apprentissages, estime de soi et confiance en soi fragile, défaut de motivation, difficultés familiales. Autant de facteurs qui jettent parfois un peu d'ombre au tableau des résultats des élèves et peuvent rendre le parcours scolaire chaotique.
3.3 L'apprentissage scolaire et l'éducation familiale sont tous deux des causes face aux difficultés scolaires. 3.4 L'illettrisme, la dyslexie et l'origine sociale sont des causes des difficultés d'apprentissage. 3.5 La précarité liée à l'emploi est vue comme une conséquence des difficultés scolaires.
Le CLAS, qu'est-ce que c'est ? Le CLAS (Contrat local d'accompagnement à la scolarité) est un ensemble d'actions destinées à offrir l'appui et les ressources dont votre enfant a besoin pour réussir à l'école. Il favorise l'épanouissement de votre enfant et la réussite dans sa scolarité.
L'AESH s'occupe d'enfants étant reconnus avec un handicap par la Maison départementale du handicap (MDPH). Ces handicaps sont différents, et appelés aussi troubles.
Les accompagnants d'élèves en situation de handicap (AESH) sont des personnels chargés de l'aide humaine. Ils ont pour mission de favoriser l'autonomie de l'élève en situation de handicap, qu'ils interviennent au titre de l'aide humaine individuelle, de l'aide humaine mutualisée ou de l'accompagnement collectif.
S'il faut aider les élèves en difficulté scolaire, il faut aussi les écouter, et comprendre pourquoi ils sont en échec. Gardons toujours à l'esprit qu'un élève en difficulté se sent mal, et qu'avant les parents, c'est la première personne à en souffrir.
La dyspraxie est une perturbation de la capacité à effectuer certains gestes et activités volontaires (nommé praxie). Ce trouble des apprentissages résulte d'un dysfonctionnement de la zone cérébrale qui commande la motricité. La dyspraxie est fréquente et touche 5 à 7 % des enfants de 5-11 ans.
La quatrième et troisième technologique. Le plus souvent localisées dans des lycées professionnels, les 4e et 3e technologiques permettaient aux élèves en grandes difficultés en cinquième de se diriger vers un projet professionnel, en suivant une scolarité en alternance.