Quelles conséquences ? Les conséquences de la cystocèle sont essentiellement de l'ordre de la gêne et de l'inconfort : la sensation de boule dans le vagin peut gêner la marche, la station debout et les rapports sexuels. Aller à la selle ou uriner peuvent également devenir pénible.
Même si elle peut paraître impressionnante, la descente d'organes n'est pas dangereuse pour la santé de la femme. Cependant, il est évident que cette problématique peut avoir un impact important sur la qualité de vie. En effet, les symptômes du prolapsus (incontinence, constipation, sensation de lourdeur, etc.)
La rééducation périnéale, par un kinésithérapeute rééducateur, après un accouchement est une règle de base pour éviter une descente de vessie. En effet, cela permet de renforcer, grâce à des exercices, les muscles du plancher pelvien qui soutiennent la vessie et les autres organes.
En effet, cette intervention est réservée aux personnes chez qui le prolapsus entraîne des désagréments d'ordre fonctionnel, à savoir : - Des problèmes lors de l'activité sexuelle, - Des troubles urinaires, - Des difficultés à aller convenablement à la selle (sans douleur et sans besoin impérieux irrépressible).
L'intervention a lieu sous anesthésie générale ou sous rachianesthésie. Cette chirurgie consiste à renforcer le plancher pelvien et à fixer le fond du vagin sur les ligaments pelviens. "On ne peut désormais plus utiliser de prothèses par les voies naturelles en France.
Une sensation de lourdeur ou de douleur dans le bas ventre ; Une boule au niveau de la vulve, en position debout, à l'effort ou accroupie ; Une gêne ou une douleur pendant les rapports sexuels, des saignements après les rapports ; Des troubles de la défécation ou une incontinence anale.
La durée de vie de la bandelette est en effet illimitée mais il peut survenir dans de rares cas des récidives à distance. Cette réponse ne remplace pas le diagnostic de votre médecin.
Heureusement, le port du pessaire et la rééducation permettent d'atténuer ou de faire disparaître les symptômes liés au prolapsus qui affectent la vie intime.
Suivant son importance, le prolapsus peut entrainer une pression pelvienne génante, des douleurs et très souvent des troubles urinaires et rectaux.
Les urologues, les gynécologues et les colo-proctologues sont tous amené à prendre en charge des femmes qui ont des problème de prolapsus génital. La chirurgie est le mode de traitement le plus courant des prolapsus génitaux.
La survenue de complications liées au prolapsus : les complications de prolapsus sont directement liées à une extériorisation, qui expose à des infections, des hémorragies et des ulcérations des organes visibles.
Le chirurgien-urologue ou gynécologue va remettre et maintenir en place l'organe descendu. Une hystérectomie (ablation de l'utérus) peut aussi être envisagée après ménopause et parfois, une ablation du col de l'utérus associée à un cloisonnement du vagin quand il n'y a plus de relations sexuelles.
"En général le prolapsus est gênant quand la femme est debout. Or la plupart du temps les couples ont des rapports couchés. Et quand on est couché les organes se remettent en place donc il n'y a pas de danger à avoir des rapports sexuels quand on a une descente utérine."
Allongés sur le dos, les mains le long du corps et les jambes fléchies, prenez une grande inspiration. À l'expiration, soulevez le bassin et positionnez-vous en demi-pont, en contractant votre périnée. Maintenez la contraction pendant 10 secondes, puis relâchez à fond. Répétez l'opération 10 fois.
L'eau minérale de la marque Hépar
Il est primordial de boire au minimum 1,5 litre d'eau par jour, surtout si vous êtes particulièrement sensible aux cystites. L'Hépar est généralement recommandée car il s'agit d'une eau composée de minéraux qui réduit les risques de constipation.
Un traitement chirurgical est proposé en cas de prolapsus sévère et/ou gêne fonctionnelle importante. Le geste chirurgical consiste grosso-modo à : Fixer les organes dans le bassin pour renforcer leur maintien en place. Traiter l'incontinence urinaire associée.
► En cas de cystocèle (descente de vessie) :
gêne ou sensation de lourdeur du périnée, difficulté à uriner avec jet faible et sensations de mal vider la vessie, envies fréquentes et/ou impérieuses d'uriner, infections urinaires à répétition (causées par une mauvaise vidange de la vessie).
Il s'agit d'une descente de la vessie dans le vagin, la paroi du vagin s'étire pour laisser la place à la vessie. Les principaux symptômes sont : impression de masse ou de pression dans le vagin, sensation d'irritation dans le vagin, impression de ne pas bien vider sa vessie.
le surpoids et l'obésité ; la constipation chronique ; la toux chronique ; la prise de certains médicaments, surtout si la personne en prend plusieurs (par exemple des diurétiques , des sédatifs ...)
Cette intervention est pratiquée pour le traitement de certains cancers, ou chez certains patients atteints d'une maladie neurologique ou subissant des traitements lourds qui altèrent le fonctionnement de la vessie. Après une cystectomie, les fonctions urinaires, la sexualité et la fertilité sont altérées.
Progressivement vos sphincters vont d'affaiblir et vos réflexes diminuer. Porter des couches tend à créer une addiction dans le cerveau. Tous les incontinents savent que porter des couches accentue la pertes de réflexes, donc l'incontinence. Ça part sans prévenir en marchant, en dormant. ..
Ces douleurs sont causées par la contraction de l'utérus afin d'éliminer la muqueuse utérine. Ces maux dans le bas du ventre peuvent donc se présenter sous forme de crampes et être fréquemment accompagnées de maux de dos (lombalgie), de migraines, de fatigue ou encore de symptômes abdominaux comme des ballonnements.
Cette sensation de poids dans le bas du ventre peut correspondre à toute masse pelvienne (gros fibrome, kyste ovarien volumineux) mais aussi à un prolapsus. Un avis spécialisé est nécessaire.