1 g d'alcool apporte 7 kcal, contre seulement 4 pour le sucre. Mais ce n'est pas tout ! "Outre le fort apport calorique, le rosé est aussi suspecté de contenir beaucoup d'additifs, notamment le fameux soufre tant décrié", met en garde Christophe Lavelle, biophysicien et chercheur au CNRS.
Il peut réduire le taux de mauvais cholestérol
Le vin rosé contient de nombreux composés utiles aux propriétés anti-inflammatoires et antioxydantes potentielles. Par exemple, les polyphénols présents dans le vin rosé peuvent contribuer à réduire le taux de LDL ou mauvais cholestérol.
Avec modération… Pour les cardiologues, le vin est l'ami de nos artères… à condition d'être consommé avec modération. En effet, n'oublions pas qu'un verre de vin apporte 100 kcal et 10 g d'alcool en moyenne et une alimentation trop riche en vin avec des excès chroniques favorise au contraire l'hypertension artérielle.
Le vin rosé contient un certain nombre de composés bénéfiques avec des propriétés antioxydantes et anti-inflammatoires potentielles. Les polyphénols contenus dans le vin rosé peuvent aider à abaisser le LDL, ou mauvais cholestérol, tandis que le potassium peut abaisser la tension artérielle.
Le vin rouge a des vertus santé que le blanc ou le rosé n'ont pas. On parle souvent des antioxydants qui contribuent à la prévention de certaines maladies cardio-vasculaires.
En raison du contact minimal entre le jus et la peau, inhérent à la méthode typique de pressage direct du rosé, ce vin, contrairement aux vins rouges, ne bénéficie pas des avantages des polyphénols concentrés principalement dans la peau et les pépins.
En consommant un verre de vin rouge par jour, on peut considérer qu'il n'y a pas de danger pour la santé, car peu d'alcool consommé et qu'une telle consommation (sans la dépasser) peut être bénéfique pour le cœur.
La consommation d'un verre de vin quotidien serait non seulement sans danger pour le foie mais en plus pourrait lui être bénéfique en diminuant la prévalence de certaines maladies non alcooliques hépatiques (non-alcoholic fatty liver disease, NAFLD).
La bonne température de consommation
La bonne température pour déguster un vin rosé se situe entre 8°C et 10°C pour les rosés ordinaires, et entre 12°C et 14°C pour les plus pointus. Le rosé se débouche au dernier moment. Placez le au réfrigérateur avant de le servir.
Crue ou cuite ? "Les pétales de roses se consomment aussi bien crus que cuits", indique le chroniqueur. Un autre argument qui fait de la rose une fleur facile à cuisiner : "On peut les consommer crus sur une tarte ou dans une salade. Vous pouvez également réaliser des infusions avec.
Le vin rouge permettrait donc un plus grand flux dans les artères et les vaisseaux sanguins sans en modifier les capacités coagulantes. Ces bienfaits ont aussi été observés chez les buveurs de bière et de vin blanc, mais dans une moindre mesure. Le whisky et l'eau n'ont provoqué aucune modification.
Vous êtes hypertendu ? Buvez du vin, rouge de préférence et à dose modérée ! Pour la première fois, une équipe française a montré que le vin diminuait sensiblement le risque de mortalité chez les patients hypertendus.
1 g d'alcool apporte 7 kcal, contre seulement 4 pour le sucre. Mais ce n'est pas tout ! "Outre le fort apport calorique, le rosé est aussi suspecté de contenir beaucoup d'additifs, notamment le fameux soufre tant décrié", met en garde Christophe Lavelle, biophysicien et chercheur au CNRS.
Les vrais coupables du mal de tête sont les sulfites, des composés chimiques provenant du souffre utilisés par certains vignerons pour compenser le manque de tanins, des anti-oxydants présents dans le vin rouge, afin de stabiliser le vin et améliorer sa conservation.
L'une des eaux minérales que produisent ces inépuisables monts, l'hydroxydase, semble éliminer le cholestérol et les triglycérides en excès. Des patients soumis pendant vingt et un jours à cette diète hydrique peuvent en témoigner.
Préférez un vin rosé à la couleur vive et éclatante, ce sera un gage de qualité. Enfin, un bon rosé n'est pas forcément un rosé cher ! Il est possible de trouver de très bonnes bouteilles entre 4 et 8€. Un petit coup de pouce, si vous préférez les vins doux, optez pour un Cabernet d'Anjou par exemple.
Le rosé se consomme idéalement pendant la période des beaux jours et accompagne à merveille un assortiment de bouchées salées et de charcuteries. Véritable boisson des barbecues, le rosé se marie très bien avec de la grillade de viande, de volaille et de poissons.
Pour profiter pleinement des arômes et des saveurs d'un rosé de Provence, nous vous recommandons d'opter pour un verre haut et plutôt étroit. Une telle forme permettra de concentrer les arômes du vin au sommet du verre et laissera votre breuvage vous dévoiler toutes ses subtilités.
Parmi les alcools les plus forts du monde vous trouverez l'Everclear, fabriqué aux Etats-Unis. Comme le Balkan, il est incolore, inodore, et n'as pas de goût ! C'est de l'alcool quasiment pur qui pourrait même être classé dangereux à s'en trouer l'estomac.
Des études montrent que la consommation de vin rouge, de chocolat noir et de baies réduit l'inflammation chez certaines personnes et ont des effets protecteurs pour le coeur.
Une érythrose faciale (gonflement et rougeur du visage), parfois de la couperose témoignent d'une consommation d'alcool excessive. Si c'est une personne plus proche de vous, comme votre conjoint, observez-le intimement.
Les critères de diagnostic d'alcoolodépendance
Apparition de symptômes de manque (anxiété, agitation, irritabilité, insomnie, sueurs, cauchemars, tremblements, palpitations, nausées, etc.) lorsque la personne diminue ou cesse de consommer des boissons alcoolisées.
A terme, certaines cellules du cerveau vont aussi disparaître, c'est ce qu'on appelle la "perte de tissu cérébral". Elle s'observe clairement à partir d'une consommation journalière de 6 verres d'alcool et est due à la toxicité de l'alcool qui vient détruire les cellules cérébrales.
L'alcool est un cancérogène avéré pour l'homme (groupe 1 du CIRC). Les cancers dont le lien avec la consommation d'alcool est avéré sont les cancers des voies aérodigestives supérieures (VADS) , de l'œsophage, du foie, du sein chez la femme, et le cancer colorectal (WCRF/AICR, 2018).