Ces derniers, parfois appelés «
Si la prescription d'un AVK est envisagée, un AVK de la famille des coumariniques (warfarine ou acénocoumarol) doit être privilégiée, en notant que la warfarine est l'AVK le mieux évalué.
Chez les patients traités au long cours (plus de 6 mois) et bien équilibrés, les renouvellements de traitement par PREVISCAN sont autorisés : la poursuite de la fluindione sera privilégiée au regard des risques hémorragiques ou thrombo-emboliques potentiellement graves liés au changement de ce type de traitement.
Il existe deux familles d'anticoagulants : les anticoagulants injectables et les anticoagulants par voie orale (sous forme de comprimés ou de gélules à avaler).
Elle est indiquée pour soulager la douleur et baisser la fièvre. C'est aussi médicament dit « bon pour le cœur » grâce à ses propriétés anticoagulantes. Ces dernières permettent d'éviter l'agrégation plaquettaire ainsi que la formation de caillots dans le sang.
AVK et automédication
Les médicaments contenant du millepertuis (Arkogélules Millepertuis, Elusanes Millepertuis, MILDAC, PROSOFT) sont également contre-indiqués car ils diminuent l'effet anticoagulant et exposent à un risque de thrombose.
La caféine, du thé et du café, peut également s'ajouter aux effets anticoagulants des médicaments. Il est donc recommandé de consommer trois tasses maximum de thé ou de café par jour.
La myrtille, le cassis et la framboise
On les trouve dans les baies rouges (myrtille, mûres, cassis, framboises), dans le thé vert (catéchines), dans les agrumes (citroflavonoïdes), dans le raisin et dans la pomme (rutine).
Il n'y aucun aliment anticoagulant à proprement parlé. Les aliments qui peuvent influencer la coagulation sont les aliments riches en vitamine K lorsque la personne prend une médication appelée Coumadin. Sinon les suppléments de vitamine C sont également déconseillés durant la prise de médication anticoagulante.
Les aliments riches en vitamine C (fruits et légumes crus), vitamine E (huiles végétales et avocat), sélénium (poissons gras, noix, huîtres, viandes) et zinc (huîtres, jaune d'œuf, foie) protègent les cellules endothéliales qui tapissent la paroi veineuse des radicaux libres.
Le brocoli, le chou, les épinards, la laitue, l'avocat ne s'accordent absolument pas avec les traitements anticoagulants oraux. La richesse en vitamine K (la vitamine de la coagulation) de ces végétaux réduit l'efficacité de ces médicaments, au point de pouvoir favoriser des caillots.
Manger beaucoup de légumes verts et d'autres aliments nutritifs riches en vitamine K, comme les huiles d'olive, de soya et de canola, peut aider à stabiliser le traitement anticoagulant, en plus d'offrir de nombreux autres bienfaits pour la santé.
Le traitement de référence actuel, la fibrinolyse, consiste à injecter au patient un médicament (un activateur tissulaire du plasminogène) qui va dissoudre ce caillot. Les médecins ont maximum 4,5 heures pour intervenir. Au-delà, le risque de saignement est trop important.
Par ailleurs les kiwis, les myrtilles, les prunes et les pommes contiennent également des polyphénols non-flavonoïdes ceux-là mais qui peuvent également être bénéfiques pour la circulation sanguine.
Le vin rouge permettrait donc un plus grand flux dans les artères et les vaisseaux sanguins sans en modifier les capacités coagulantes. Ces bienfaits ont aussi été observés chez les buveurs de bière et de vin blanc, mais dans une moindre mesure. Le whisky et l'eau n'ont provoqué aucune modification.
Des vaisseaux sanguins plus souples
C'est le cas de la tomate : 125 ml de purée contiennent 27 mg de lycopène, 125 ml de sauce tomate 17. Les effets bénéfiques de l'antioxydant ont déjà été suggérés, notamment dans le régime méditerranéen.
La passiflore. La passiflore peut décupler les effets des médicaments censés fluidifier le sang : les anticoagulants oraux.
Il faut également consommer le vin et tout autre boisson alcoolisée avec modération car l'alcool est métabolisé par le foie comme les anticoagulants oraux et pourrait alors provoquer des effets indésirables.
Par ailleurs, le paracétamol étant anticoagulant, il ne faut pas combiner la prise de Doliprane® avec un traitement anticoagulant sans avis médical.
Oui vous pouvez mais il faut prendre des précautions (anticoagulant, bas de contention, marche précoce).
Le principal risque associé à la prise d'un médicament anticoagulant est le risque hémorragique. Un accident hémorragique peut survenir avec tous les anticoagulants et à tout moment, mais il est plus fréquent et plus grave en cas de surdosage médicamenteux.