Difficultés durables, troubles des apprentissages, estime de soi et confiance en soi fragile, défaut de motivation, difficultés familiales. Autant de facteurs qui jettent parfois un peu d'ombre au tableau des résultats des élèves et peuvent rendre le parcours scolaire chaotique.
Pathologies médicales, psychopathologies ou troubles du développement. Les troubles spécifiques des apprentissages peuvent être une des diverses causes de l'échec scolaire puisque cela amène l'enfant à subir des échecs répétitifs. Ces difficultés peuvent être persistantes ou ponctuelles, momentanées ou passagères.
En ce qui concerne le rendement scolaire, ils arrivent à la conclusion que le climat social de l'école et les caractéristiques socio-économiques des étudiants sont les facteurs qui influencent le plus leur réussite.
Trop faibles, elles entraînent une inclination de l'enfant au manque d'assiduité. Le statut socio-économique faible de la famille provoque également des difficultés. Des logements précaires ou trop peu spacieux impliquent que le jeune ne dispose pas d'un espace où faire ses devoirs.
Les modélisations révèlent ainsi que les filles évoquent plus souvent la difficulté du travail scolaire et les problèmes personnels ou de santé 5, alors que les garçons avancent plus volon- tiers la quête de l'argent, une mésentente avec les enseignants ou l'exclusion de la formation.
Difficultés durables, troubles des apprentissages, estime de soi et confiance en soi fragile, défaut de motivation, difficultés familiales. Autant de facteurs qui jettent parfois un peu d'ombre au tableau des résultats des élèves et peuvent rendre le parcours scolaire chaotique.
Cette fois, nous nous intéressons, plus particulièrement, à l'influence exercée par trois facteurs sur la performance individuelle des élèves : l'état d'esprit et les attitudes des élèves par rapport à l'école, les pratiques pédagogiques et le recours aux technologies de l'information.
Les conséquences d'une telle dévalorisation sont nettes au niveau affectif : cela provoque des sentiments de menace et d'insécurité. L'échec est également source de comportements significatifs. Il favorise les comportements de tricherie, ou antisocial.
Les difficultés scolaires peuvent avoir de nombreuses causes : une intelligence trop limitée, un trouble d'apprentissage, un manque de confiance en soi, une indisponibilité d'origine psychologique, un manque de motivation.
Parmi les causes d'ordre scolaire de l'échec de l'enfant, on cite : la surcharge des classes, une orientation inexistante ou inadéquate, l'obligation faite aux élèves de travailler au même rythme, l'insuffisante formation psycho-pédagogique des enseignants, les méthodes didactiques et les programmes encyclopédiques, ...
les difficultés dans les apprentissages scolaires qui peuvent être signalées par la famille ou l'école et/ ou des signes d'appel très variés : troubles fonctionnels, fatigue, troubles de l'humeur, troubles du comportement, somatisation (céphalées, douleurs abdominales…).
Elle est liée à des facteurs multiples et aggravée par les inégalités socio-économiques et territoriales, alors même que le nombre d'heures d'enseignement du français n'a cessé de se réduire ces dernières décennies.
Le stress que l'on va mesurer chez les élèves au lycée est principalement lié à la performance scolaire, à la nécessité d'avoir des bonnes notes. C'est notamment dû au fait qu'en France, et dans la plupart des pays, les opportunités d'orientation sont conditionnées à la performance scolaire.
Beaucoup d'élèves congolais présentent des lacunes en écritures, lectures et mathématiques. Selon nos sources, ce sont des enseignants qui sont en grande partie responsables de cette situation.
Les facteurs d'influence peuvent être classés en trois grandes catégories : les stimuli marketing, les facteurs personnels ou individuels, les facteurs psychologiques et les facteurs sociologiques et culturels.
Juridiquement, les parents sont les premiers responsables du jeune jusqu'à sa majorité. Panni les facteurs familiaux susceptibles de compromettre ou d'influencer la réussite scolaire, l'intérêt s'est porté davantage sur le statut socioéconomique et l'appartenance à une minorité ethnique.
Le « mauvais stress » rend malade, mène à l'échec et reste un signe de mal-être important à prendre en compte. En laissant la situation dégénérer, l'enfant ne voudra même plus aller à l'école quand il aura un contrôle. L'appréhension pourra le pousser jusqu'à la phobie scolaire et la dépression.
-L'échec scolaire est une des préoccupations essentielles du ministère de l'éducation nationale car il a des conséquences économiques et sociales. La lutte contre l'échec scolaire ne saurait être qu'une action de longue haleine, et en profondeur dont les résultats ne peuvent être immédiatement appréciés.
Il est vrai que l'échec scolaire entraine des conséquences à différents niveaux. Cela se ressent d'abord sur le plan académique mais aussi sur le plan social puis, plus tard, sur l'avenir des enfants. Il est donc essentiel de prévenir l'échec scolaire.