L'utilisation abusive des identifiants des employés et les contrôles d'accès inappropriés font de la détection des accès non autorisés l'un des plus gros problèmes de sécurité du cloud aujourd'hui (même si le fournisseur de cloud dispose d'outils de base vous indiquant quelle personne a accédé à quels fichiers).
De manière générale, la CNIL a constaté que les utilisateurs de cloud souffrent d'une insuffisance de transparence de la part des prestataires (conditions de réalisation des prestations, sécurité, éventuel transfert à l'étranger des données, etc.)
Risques sociaux liés à la délocalisation d'emplois. Risques d'assurances : pertes, contamination des données, piratage. Risques liés à la propriété intellectuelle des logiciels et des brevets. Risques de gouvernance et déconnexion par rapport aux habitudes de l'entreprise.
Les problèmes courants liés à la protection des données dans les environnements cloud ou hybrides sont les suivants: Manque de visibilité. Les entreprises ne savent pas où se trouvent toutes leurs données et applications, ni quels éléments figurent dans leur inventaire.
On examinera ici les catégories suivantes de risques: diffusion non autorisée d'informations, erreurs, fraudes, interruption de l'activité par suite d'une défaillance du matériel ou du logiciel, planification inefficace et risques liés aux opérations d'informatique individuelle.
En effet, avec plus de 1500 TWH par an, le numérique consomme 10 à 15 % de l'électricité mondiale, soit l'équivalent de 100 réacteurs nucléaires. Concernant la pollution « invisible », le secteur informatique produit autant de gaz à effet de serre que le secteur aéronautique !
Les solutions d'affaires sur le cloud sont jusqu'à 93 % plus efficaces sur le plan énergétique et peuvent entraîner 98 % d'émissions de carbone en moins que les centres de données d'entreprise traditionnels (d'après une étude de WSP sur Microsoft Cloud).
Les 3 piliers du cloud : applications, données, infrastructure.
Il existe quatre principaux types de cloud computing : cloud public, cloud privé, cloud hybride et multicloud. Il existe aussi trois principaux types de services de cloud computing : IaaS (Infrastructure-as-a-Service), PaaS (Platform-as-a-Service) et SaaS (Software-as-a-Service).
Or, le fait d'utiliser un serveur à distance, tel que le cloud, permet aux utilisateurs d'accéder à tous leurs documents, photos, vidéos, etc. n'importe quand, de n'importe où, pourvu qu'il y ait une connexion internet. De ce point de vue, le cloud est plus fiable que le disque dur.
Il vous est toujours possible de désactiver ce service depuis l'icône Cloud ou depuis les paramètres. Cette fenêtre vous permet d'activer ou de désactiver le Cloud facilement et vous indique les éléments récemment synchronisés ou en cours de synchronisation.
Les data centers consomment 2% de l'électricité mondiale. Comme expliqué précédemment, les data centers émettent beaucoup de chaleur. Dans la majorité des cas, cette chaleur se gaspille et se rejette dans l'environnement. C'est de là que vient la pollution des data centers.
Opter pour des centres de données alimentés par l'énergie solaire, éolienne ou hydroélectrique réduit considérablement les émissions de carbone associées aux services cloud. En migrant vers ces options respectueuses de l'environnement, les entreprises peuvent efficacement diminuer leur empreinte carbone liée au cloud.
Si le cloud pollue autant, c'est pour plusieurs raisons : Les datacenters nécessaires pour le stockage sont de plus en plus nombreux, et ces infrastructures ont un important impact environnemental.
Les problèmes environnementaux tels que les changements climatiques, la pollution de l'eau et de l'air entrainent des conséquences sur les milieux naturels. Ces problèmes ont également de grandes conséquences sur les populations vivant dans des milieux à risque et sur les populations vulnérables.
Le Cloud a une excellente efficacité énergétique (PUE, Power Usage Effectiveness). En effet, les majors du Cloud gèrent des millions de serveurs et ont tout intérêt à réduire leur facture électrique. De fait, le Cloud plus est sobre qu'un ordinateur personnel ou un petit datacenter.
En effet, les conséquences de la dégradation de l'environnement sur notre santé ne sont pas anodines : perturbation de la croissance, maladies respiratoires et cardio-vasculaires, baisse de la qualité de vie, stress, allergies…
Tu peux aussi attraper des virus, des programmes informatiques qui s'installent en cachette sur ton ordinateur. Ou tomber sur des images ou des vidéos qui te mettent mal à l'aise. Sur les réseaux sociaux, des personnes malintentionnées peuvent chercher à te contacter en se faisant passer pour tes amis.
Les internautes sont friands du partage en ligne, ils peuvent échanger, communiquer, s'informer. Mais une cyber-exposition mal maîtrisée comporte des risques : harcèlement, usurpation d'identité, piratage de compte, escroqueries et revenge porn... La prudence s'impose donc.
L'analyse des risques de sécurité passe par un état des lieux du système. Celui-ci s'appuie sur le type de vulnérabilité, sur les motivations des pirates et autres menaces, et sur l'efficacité des contrôles. En général, la probabilité est évaluée par des catégories : élevée, moyenne et faible.