Lors de la prise de morphine ou dérivés ont été signalés : - Dès le début du traitement : une constipation, des nausées qu'il faut prévenir systématiquement. - Plus rarement : des vomissements, une dépression respiratoire, de la confusion mentale, une bradycardie, une hypotension orthostatique...
Malgré ses effets bénéfiques contre la douleur, la prise de morphine s'accompagne d'effets indésirables divers tels que la constipation, la nausée, des vomissements, la dépression respiratoire et la dépendance potentielle à la molécule.
La morphine provoque une somnolence au début du traitement, ou lorsque les dosages augmentent. Cette somnolence est généralement passagère et s'atténue progressivement : il faut que votre corps ait le temps de s'adapter…
La personne peut donner l'impression de faire beaucoup d'efforts pour respirer, mais il s'agit là d'une réponse naturelle et normale. Lorsqu'on s'inquiète de voir que la personne respire plus rapidement et péniblement, et qu'elle est en détresse, on sait que la morphine n'y est pour rien dans le processus de mort.
La morphine et la codéine, les substances actives de l'opium (Papaver somniferum), agissent dans le cerveau et la moelle épinière et ont des effets anti-douleurs, sédatifs et euphorisants. Elles miment les opiacés naturellement produits dans le cerveau, les endorphines.
Chez l'adulte : 2 à 6 mg toutes les 12 à 24 heures. Population pédiatrique : 0,03 à 0,05 mg/kg, à renouveler si besoin en fonction de la surveillance clinique après 12 à 24 heures. Chez l'adulte : 0,1 à 0,2 mg toutes les 12 à 24 heures. Rapportées au poids, les doses chez l'enfant et chez l'adulte sont équivalentes.
La morphine peut être considérée comme une drogue avec un potentiel addictif important si elle n'est pas utilisée correctement, sur prescription médicale.
C'est bien sûr le cas de l'hypersensibilité à la morphine, mais il faut faire attention en cas d'insuffisance hépatique (diminution de l'élimination), d'insuffisance rénale (risque d'accumulation des dérivés actifs glucuronoconjugués), d'insuffisances respiratoires (risque majoré de dépression respiratoire).
Nous n'avons trouvé aucune preuve directe que les opioïdes impactaient la conscience, l'appétit ou la soif du patient lorsqu'ils étaient utilisés pour traiter la douleur du cancer.
Dans quel cas le médicament MORPHINE LAVOISIER est-il prescrit ? La morphine est un antalgique puissant qui combat la douleur en agissant directement sur le cerveau. Elle est utilisée dans le traitement des douleurs rebelles.
La consommation de drogues telle que celle des opiacés est l'une des causes de xérostomie et peut, par conséquent, provoquer des caries.
Les molécules utilisables en remplacement de la morphine avec une efficacité équivalente sont l'oxycodone et peut-être le tapentadol. Le tramadol, la codéine ou la buprénorphine sont des analgésiques moins puissants qui ne peuvent réellement remplacer la morphine.
Clairement, le paracétamol en association seul avec la morphine n'apporte pas de bénéfice pour le patient et ne doit plus être prescrit dans les chirurgies à douleur modérée à sévère.
Nausées, maux de tête, démangeaisons, diarrhées, éruption cutanée… Les effets secondaires d'un médicament sont les réactions non voulues, susceptibles de se produire à la suite de la prise d'un traitement.
La nalbuphine est deux fois plus puissante que la morphine. Elle est administrée en injections dans les douleurs aiguës et agit pendant deux à quatre heures. La péthidine (Péthidine Renaudin) est un dérivé de la morphine qui a un effet antispasmodique.
La morphine est extraite de l'opium, obtenu à partir des fleurs de pavot. Elle est l'un des médicaments les plus uti- lisés et les mieux connus pour le traitement de la douleur. Elle fait partie de la liste des médicaments reconnus comme essentiels par l'Organisation mondiale de la santé.
Le tramadol n'est pas un dérivé de la morphine mais une molécule originale qui agit sur les récepteurs du cerveau sensibles à la morphine, ainsi que sur les récepteurs d'autres messagers chimiques du cerveau (sérotonine et noradrénaline).
Evitez les mucilages et les fibres (Plantin psyllium, son, graines de lin) car ils peuvent aggraver la constipation due à la morphine. Gardez si possible une activité physique et buvez suffisamment de liquide (1,5 – 2 litres par jour).
Le médecin peut aussi prescrire la morphine à effet immédiat, dont l'action est limitée à 4 heures. C'est le malade qui décide d'en prendre si besoin.
L'ibuprofène ou le kétoprofène sont des exemples typiques. Ces médicaments possèdent un effet antalgique et analgésique efficace. Ils peuvent être prescrits pour soulager l'arthrose ou, dans le cas présent, une douleur du dos. L'effet de l'ibuprofène est optimal si les prises sont espacées de 6 heures au minimum.
Dans la mesure du possible, la morphine se prend par la bouche (voie orale). Elle se présente sous différentes formes: comprimés, capsules, gouttes, sirop, suspension. La morphine peut également être administrée, si nécessaire, sous la peau (voie sous-cutanée) ou dans une veine (voie intraveineuse).
Le chlorhydrate de morphine est utilisé pour les solutions injectables. Cette forme est principalement utilisée dans les services hospitaliers pour lutter contre la douleur, notamment au bloc opératoire ou dans le traitement des cancers.
Présentations du médicament MORPHINE AGUETTANT
Sur ordonnance (Stupéfiant) - Remboursable à 65 % - Prix : 15,59 €. Sur ordonnance (Stupéfiant) - Remboursable à 65 % - Prix : 46,96 €. Les prix mentionnés ne tiennent pas compte des « honoraires de dispensation » du pharmacien.
Les morphiniques purs sont les analgésiques les plus puissants. La morphine est le produit de référence. Ils sont indiqués dans des douleurs intenses et/ou rebelles (niveau III OMS) aux antalgiques de niveau plus faible.
C'est souvent, après de longs détours, qu'une allusion à la fin de vie va être évoquée par le patient, de manière non explicite ou sous forme d'une interrogation, en montrant le corps touché par la maladie, soit en demandant jusqu'où cela peut aller, soit en reparlant de l'inefficacité du dernier traitement, soit, tout ...