Des symptômes comme des
Source de plaisir, la musique agit sur le système de récompense du cerveau et stimule la libération de dopamine qui, à son tour, active la sécrétion d'endorphines procurant une sensation de bien-être. Ce faisant, elle réduit aussi le stress et l'anxiété.
La dopamine produite par le cerveau diffuse un bien-être chez une personne écoutant la musique au moment opportun, source de bienfaits physique et mental. La musique adoucit les mœurs en influençant le comportement et les émotions. La musique soigne aussi.
Si l'on écoute ce qu'en dit la science, elle joue peut-être un rôle essentiel. La musique libère des molécules de plaisir, atténue la douleur et réduit le stress et l'anxiété.
Effectivement, des régions cérébrales « s'allument » à l'écoute d'une chanson ou d'un morceau. Mais la neuro-imagerie nous a clairement révélé que tout comme les zones de la mémoire, celles liées à la régulation des émotions, au circuit de la récompense ou les aires motrices entrent en jeu.
Il nous semble que la musique peut avoir 4 principales fonctions : accompagner, évoquer, provoquer, structurer le temps/orienter dans le temps. L'utilisation d'une même musique peut cumuler plusieurs de ces fonctions.
Cela facilite les apprentissages et la mémorisation. Et comment la musique agit-elle sur notre mémoire ? Elle active toutes les mémoires. À commencer par la mémoire à court terme qui nous permet d'intégrer ce que l'on vient d'entendre pour mieux anticiper la suite et y prendre du plaisir.
Par exemple, l'écoute d'une musique stimulante peut engendrer une activité des muscles zygomatiques (pour le sourire) alors qu'une musique à valence négative et calme entraîne l'activation du muscle sourcilier (pour le plissement frontal). De manière générale, la musique nous permet de réguler notre état émotionnel.
La musique pour s'endormir et se relaxer
Des études montrent que la musique calme et relaxante peut réduire le rythme cardiaque et diminuer la pression artérielle. Ces effets sont liés à la manière dont la musique interagit avec notre système nerveux autonome et agissant ainsi sur la circulation sanguine.
Des bienfaits enchanteurs
Jouer d'un instrument de musique aide à améliorer les performances mentales, la concentration, la capacité de traitement de l'information et affine la coordination et la motricité. La musique aide à comprendre certains sentiments difficiles à communiquer.
Elle aide à calmer et à gérer les émotions.
Chanter ainsi que faire de la musique et en écouter favorisent la production d'hormones associées au plaisir, au bien-être et à la confiance. La musique a un effet calmant qui aiderait les tout-petits à gérer leurs émotions.
Selon le résultats de l'équipe de chercheurs, écouter de la musique augmente de 6 à 9% le niveau de dopamine dans le cerveau. « Une personne est même montée à 21 %.
De manière générale, il semblerait que les musicien·ne·s semblent mieux équipé·e·s pour affronter les défis professionnels. Résolution de problèmes complexes, pensée critique, prise de décision, flexibilité cognitive… En apprenant la musique, on acquiert aussi des compétences pour la vie professionnelle.
La musique a cet effet déclencheur sur le cerveau, et tout le travail scientifique actuel consiste à isoler les paramètres dans la musique entraînant la génération de l'adrénaline, mais aussi la dopamine (lié à la satisfaction) et l'endorphine (lié au soulagement).
En effet, des résultats antérieurs ont révélé que la musique provoque la libération de dopamine dans les structures cérébrales du circuit de la récompense, impliqué notamment dans l'analyse des émotions, le plaisir et la motivation, et que le récepteur D2 participe à la régulation des émotions.
Dans ce sens, il est assez courant de dire que la musique exprime les sentiments humains, comme le désir et la volonté, et qu'elle en est une représentation.
Idem pour la musique omniprésente dans les magasins", poursuit le spécialiste. Mais comme tous les excitants, il peut induire fatigue et stress, notamment parce que le fait de communiquer dans le bruit demande une charge cognitive plus élevée, et avoir des effets peuvent être plus délétères encore.
Si elle provoque du plaisir, la musique atténue aussi la perception de la douleur en la détournant de notre conscience, et en libérant dopamine et endorphine. Son effet est tel qu'elle est utilisée pour les douleurs chroniques et les soins douloureux, dans les services d'urgence, de chirurgie, de réanimation.
L'univers sonore est en effet d'emblée émotionnel, parce que la fonction naturelle des sons, pour l'être vivant, est une fonction d'alerte. Les sons l'informent sur ce qu'il se passe, ils éveillent à chaque instant son système d'alarme biologique.
Lorsque vous écoutez vos chansons préférées, votre cerveau libère un niveau élevé de dopamine, un neurotransmetteur qui améliore votre sentiment de bien-être. Dans le même temps, votre taux de cortisol diminue (le cortisol étant l'hormone du stress) et votre taux d'ocytocine (l'hormone du bonheur) augmente.
La musique favorise des niveaux plus élevés de dopamine dans le cerveau, d'où une sensation de plaisir. Elle améliore la motivation et l'endurance lors de la pratique d'un sport. Elle est utile à l'hôpital pour diminuer le stress et la douleur de patients en chirurgie.
Elle est à la fois forme d'expression individuelle (notamment l'expression des sentiments), source de rassemblement collectif et de plaisir (fête, chant, danse) et symbole d'une communauté culturelle, nationale (hymne national, musique traditionnelle, musique folklorique, musique militaire) ou spirituelle (musique ...
La musique a des effets sur le cerveau, par exemple, elle réduit les hormones du stress, en particulier la musique jazz avec un tempo lent. Elle stimule également la sécrétion de dopamine, une hormone qui est bonne pour le bien-être en général.
De nombreux travaux indiquent que, en cas de lésions cérébrales, la sollicitation des aires cérébrales impliquées dans le traitement de la musique avait un effet positif sur les aptitudes cognitives (attention, mémoire, traitement du langage) et contribuait à favoriser la plasticité cérébrale.