Trois grands types d'aléas naturels menacent le littoral: l'érosion, la submersion marine lors de tempêtes (souvent associée aux phénomènes d'inondation par débordement de cours d'eau côtiers) et le risque sismique (pouvant entraîner des avalanches sous marines et donc des tsunamis).
Le risque peut être latent (il n'est pas encore manifeste), apparent (il se manifeste) ou disparu (il ne peut plus se manifester).
Deux critères caractérisent le risque majeur
Le risque majeur est donc la confrontation d'un aléa avec des enjeux. Les risques majeurs sont de trois ordres : les risques naturels : feu de forêt, inondation, mouvement de terrain. les risques technologiques : risques industriels, ruptures de barrage.
DÉFINITION GÉNÉRALE DU RISQUE MAJEUR. Les différents types de risques auxquels chacun de nous peut être exposé sont regroupés en 5 grandes familles : naturels, technologiques, transports collectifs, vie quotidienne et liés aux conflits.
Le risque majeur est la conséquence d'un aléa d'origine naturelle ou humaine, dont les effets peuvent mettre en jeu un grand nombre de personnes, occasionnent des dégâts importants et dépassent les capacités de réaction des instances directement concernées.
Le risque majeur est la possibilité d'un événement d'origine naturelle ou anthropique, dont les effets peuvent mettre en jeu un grand nombre de personnes, occasionner des dommages importants et dépasser les capacités de réaction de la société.
Inondations, mouvements de terrains, incendies de forêt, avalanches, tempêtes, submersions marines, gonflements ou retraits des sols argileux, séismes, éruptions volcaniques, à des fréquences et à des degrés divers sont des évènements à l'origine de dommages plus ou moins importants, voire de catastrophes.
Le risque peut être qualifié par son niveau (faible, moyen ou élevé) qui traduit son importance. Ce niveau est estimé en combinant les estimés qualitatifs ou quantitatifs respectifs des deux dimensions suivantes : l'importance des conséquences; la probabilité d'observer ces conséquences.
Pollution de l'air, difficile accès à l'eau potable, destruction des écosystèmes, hausse des canicules et des catastrophes naturelles, augmentation des zoonoses…. Les risques liés à l'environnement sont nombreux et l'ampleur de leur impact sur la santé des hommes reste encore à déterminer.
Le risque anthropique se caractérise par un accident lié à une activité humaine (exemples : site industriel, canalisations de transport de matières dangereuses…) et pouvant entraîner des conséquences graves pour le personnel, les populations, les biens, l'environnement ou le milieu naturel.
Une catastrophe naturelle est un phénomène naturel qui entraîne des conséquences dramatiques (victimes humaines ou animales, dégâts matériels). Ces phénomènes sont nombreux et difficiles à classer. On distingue toutefois habituellement les catastrophes géologiques, climatiques, biologiques ou écologiques.
intrépide adj. et n. Qui ne craint pas le danger et affronte les obstacles...
Le phénomène naturel devient un risque lorsqu'il entraîne des dommages pour la société, l'environnement ou qu'il provoque des pertes en vie humaine. Un risque naturel est donc la confrontation entre un aléa d'origine naturelle et des enjeux humains, économiques ou environnementaux.
Le préfet du département
Le préfet de département élabore le dossier départemental des risques majeurs (DDRM) pour sensibiliser les élus et les citoyens.
Un risque naturel implique l'exposition des populations et de leurs infrastructures à un événement catastrophique d'origine naturelle. Le risque naturel une rencontre entre un aléa d'origine naturelle et des enjeux humains, économiques ou environnementaux.
Un mineur est considéré comme étant en danger s'il a moins de 18 ans et que sa santé, sa sécurité et/ou sa moralité sont menacées ou que les conditions de son développement physique, affectif, intellectuel et social sont gravement compromises.
Aléa [naturel] = évènement / phénomène [naturel] plus ou moins prévisible, hors de contrôle. On décrit un aléa par sa nature, sa localisation, sa fréquence (probabilité et/ou date d'occurrence) et son intensité.
heures, parfois en jours ou en semaines). Enfin, rappelons qu'en fonction de la vitesse de montée des eaux, les inondations peuvent être clas- sées en deux catégories : > inondations à cinétique rapide ; > inondations à cinétique lente.
Les chiffres-clés du risque inondation en France
1,4 million d'habitants exposés au risque de submersion marine. Plus de 9 millions d'emplois exposés aux débordements de cours d'eau et plus de 850 000 emplois exposés aux submersions marines. 20% des habitations exposées aux submersions marines sont de plain-pied.
Pour le savoir, il vous pouvez vous renseigner directement auprès de votre préfecture ou votre mairie. En effet, celles-ci possèdent les documents où sont notifiées les différentes zones inondables.