L'éthique fait référence aux valeurs (intégrité, impartialité, respect, compétence et loyauté) permettant de veiller à l'intérêt public.
Le statut de la fonction publique rappelle les valeurs de dignité, d'impartialité, d'intégrité, de probité, de neutralité et de laïcité, de secret et discrétion professionnels, de devoir de réserve, de non cumul d'activités, de devoir d'obéissance, de prévention des conflits d'intérêts, … qui prévalent à l'exercice des ...
Les quatre principes de l'éthique sont l'autonomie, la bienfaisance, la non-malfaisance et la justice. Ils offrent un cadre méthodologique qui permet de structurer la discussion du staff.
L'éthique donne des principes directeurs : la règle déontologique leur donne un contenu concret. ». La déontologie vise à réguler les situations couramment rencontrées par un corps de personnes exerçant un métier identifié.
L'éthique professionnelle repose sur des principes universels de respect, de justice, de loyauté, de compétence professionnelle et de confidentialité. Elle implique de : Traiter les clients avec respect et bienveillance. Fournir un service ou un produit de qualité et conforme.
L'éthique est une réflexion sur les valeurs qui orientent et motivent nos actions. Cette réflexion s'intéresse à nos rapports avec autrui et peut être menée à deux niveaux. Au niveau le plus général, la réflexion éthique porte sur les conceptions du bien, du juste et de l'accomplissement humain.
L'éthique de travail désigne tout simplement le comportement des individus au sein de leur entreprise, c'est-à-dire leur manière d'interagir avec autrui, leur réaction face à l'imprévu ou à l'apparition de perturbations dans leurs tâches, et ce au quotidien.
Une dimension cognitive, où sont en jeu un savoir, des opinions, des croyances, des certitudes. Une dimension existentielle, où entrent en jeu des désirs, des besoins, des intérêts, des attentes, des souffrances. Une dimension expérientielle, où est mise à contribution une sagesse pratique tirée de l'expérience.
L'éthique professionnelle est une garantie de qualité et transparence. À l'égard du grand public et de la communauté, une entreprise ou branche d'activité agissant selon des principes d'éthique professionnelle clairs et conséquents incarne la qualité ainsi que la transparence.
Elle aide à résoudre les situations où les obligations du professionnel envers son client et envers le public sont difficilement conciliables, de même que les situations où les valeurs du groupe professionnel entrent en conflit avec d'autres valeurs ou intérêts dignes de considération.
L'éthique fait l'examen de la justification rationnelle de nos jugements moraux, elle étudie ce qui est moralement bien ou mal, juste ou injuste.
Le code éthique, aussi appelé code de conduite ou charte de bonne conduite, est une déclaration officielle des valeurs et des pratiques commerciales, parfois élargie aux fournisseurs de l'entreprise.
Agir de façon éthique pour un professionnel c'est « réfléchir aux effets possibles de sa décision » et donc « être capable d'identifier les risques et conséquences potentiels pour lui-même et pour les autres des différentes options qui s'offrent à lui » (Bégin, 2011).
La déontologie recouvre les bonnes pratiques obligatoires par toutes les personnes qui y sont soumises. L'éthique invite le professionnel à se questionner sur les valeurs véhiculées par ses actes.
La déontologie se pose à la charnière du professionnel et du moral. Elle formalise les règles devant présider à la réalisation de certaines tâches en fonction de principes éthiques tout en tenant compte des exigences sociales et morales du lieu et du moment.
Ensemble des règles et des devoirs qui régissent une profession, la conduite de ceux qui l'exercent, les rapports entre ceux-ci et leurs clients et le public.
Une personne non éthique est une personne qui agit contrairement aux principes de la cartel – ou de l'environnement – dans lequel elle est insérée. De la même manière, son attitude qui va à l'encontre du code morale en question est également considérée comme contraire à l'éthique.
Les défis éthiques sont des situations dans lesquelles un individu doit choisir entre plusieurs solutions dont aucune n'est satisfaisante. Elles violent toutes, une ou plusieurs valeurs éthiques qui fondent cet individu. Le dilemme éthique (« moral dilemmas ») naît du conflit de choix et de la nécessité d'une décision.
L'institution de l'Ordre des médecins, confirmée par l'ordonnance du 26 septembre 1945, a conduit à la rédaction du premier code de déontologie médicale, publié le 28 juin 1947. Celui-ci n'a que peu innové, reprenant des principes traditionnels régissant la pratique médicale.
Depuis le sociologue allemand Max Weber, on peut distinguer deux types d'éthique : l'éthique de la conviction et l'éthique de la responsabilité.
Art de diriger la conduite humaine en tenant compte, en conscience, des valeurs en jeu. Elle se réfère aussi au produit d'une réflexion portant sur les valeurs afin de les critiquer, de les renouveler, et ce à la mesure des changements que la vie quotidienne fait émerger.
L'éthique des affaires consiste ainsi, pour une entreprise, à intégrer ces principes moralement responsables dans l'ensemble de ses actions et prises de décisions, à travers des pratiques sociales, environnementales et économiques et ce, parallèlement à la recherche de performances.
Une posture « éthique » qui impose un esprit critique et réflexif. Cela veut dire s'interroger sur le bien-fondé de notre posture d'accompagnement, les limites, le cadre de bienveillance, de non-prise de pouvoir et de respect de l'autre.
Cependant les comportements non éthiques se manifestent quotidiennement au sein des lieux de travail, il s'agit par exemple l'harcèlement, pressions hiérarchiques, mépris, représailles, de discriminations,…..etc, qui sont autant d'attitudes qui affectent l'environnement physique des salariés (Van Aswegen, A S,.