Ex : car, puisque, parce que, si bien que, par conséquent, donc, aussi, en résumé etc. Les mots de liaison ou connecteurs sont des mots ou des expressions qui permettent de relier entre elles les différentes parties d'une phrase ou d'un texte.
Addition ou gradation : et, de plus, en outre, par ailleurs, surtout, puis, d'abord, ensuite, enfin, d'une part, d'autre part, non seulement … mais encore, voire, de surcroît, d'ailleurs, avec, en plus de, outre, quant à, ou, outre que, sans compter que…
alternative : d'une part (…) d'autre part, soit (…) soit, de même ; conséquence : alors, ainsi, c'est pourquoi, d'où, dans ces conditions, de sorte que, donc, en conséquence, par conséquent, aussi, de ce fait ; conclusion/synthèse : ainsi, étant donné, puisque, en fin de compte.
Pour comparer ou opposer deux idées
Aussi, comme, de même, parmi, or, non seulement... mais encore, tantôt, plutôt que, d'une part... d'autre part, au contraire, en revanche, soit... soit.
Donc, la liaison elle est interdite en général (c'est trois cas généraux, il y en a d'autres) quand tu as un nom + un adjectif, quand tu as “et” et quand tu as un H aspiré.
Il y a trois types de fausses liaisons : le pataquès, le cuir et le velours.
Les connecteurs logiques servent à établir des relations entre deux idées, deux faits et expriment la cause, la conséquence, l'opposition, etc. Connecteurs exprimant la cause : car, en effet, parce que, puisque, comme,... Connecteurs exprimant la conséquence : donc, ainsi, c'est pourquoi, si bien que, de sorte que,...
Adverbes de liaison
Certains adverbes permettent de relier des phrases. Ils ont ainsi le rôle de conjonctions de coordination et modifient toute une proposition ou toute une phrase. Les adverbes de liaison sont : ainsi, alors, certes, donc, en effet, ensuite, enfin, néanmoins, par contre, pourtant, puis, etc.
La liaison est l'action de prononcer la consonne finale d'un mot placé devant un mot qui commence par une voyelle ou un h muet. (Voir la liste des mots à la page suivante.) Les lettres s et x se prononcent z. Les (z) enfants.
Ainsi, une liaison peut être directe ou indirecte, démontable ou indémontable, rigide ou élastique, complète ou partielle.
Lorsqu'un mot se termine par une consonne muette, il arrive, quand on parle, que cette consonne soit liée à la voyelle ou à l'h muet qui débute le mot suivant. On dit que l'on fait une liaison.
« Mais où est donc Ornicar ? », ou « Mais où est donc Carnior ? » en Belgique, en France, au Maroc, au Liban et au Québec, est une phrase mnémotechnique permettant de retenir les conjonctions de coordination en français (à savoir : mais, ou, et, donc, or, ni, car).
C'est ce qu'on appelle faire un pataquès ! En effet, l'expression désigne à l'origine ces liaisons inadaptées qui se glissent dans nos conversations du quotidien.
On appelle coordination le fait de relier des mots ou des groupes de mots souvent de même nature. Les conjonctions de coordination sont au nombre de sept: mais, ou, et, donc, or, ni, car. La coordination se fait aussi par des adverbes de liaison: alors, ensuite, puis, aussi, pourtant...etc.
Les principales prépositions sont : à, de, pour, par, dans, chez, sur, sous, en, dès, depuis, devant, avec, entre, comme, etc. Quand une préposition est formée de plusieurs mots, c'est une locution prépositive. Exemple : près de, à côté de, jusqu'à, afin de, loin de, quant à, etc.
la cause : car, en effet, parce que… ; la conséquence : donc, c'est pourquoi, aussi (+ sujet inversé), si bien que… ; l'opposition : mais, or, pourtant, toutefois, en revanche, bien que… ; l'addition : et, de plus, d'abord, puis, ensuite…
On emploie parfois des termes ou des expressions pour signaler l'introduction d'un exemple : par exemple, ainsi, c'est notamment le cas de, on peut illustrer ce propos par, on peut mentionner, on peut citer I'exemple de, comme en temoigne, comme on peut le voir dans, on peut signaler, comme le signale, comme l'indique…
Les connecteurs de temps situent les actions les unes par rapport aux autres. Ils donnent des informations sur : la succession : d'abord, puis, ensuite, enfin… Ces mots s'utilisent pour ordonner les phrases dans un texte ou leur donner une suite logique.
La liaison covalente est la plus forte ; c'est une liaison assurée par un partage d'électrons. Grossièrement, elle se forme lorsque chacun des atomes fournit un électron « célibataire » de sa couche externe. Les deux électrons s'apparient alors pour former la liaison.
Aujourd'hui, l'absence de liaison est devenue monnaie courante. "On ne fait plus de liaisons car on n'apprend plus la règle des adjectifs numéraux", précise Jean-Joseph Julaud, un ancien professeur de français qui organise la dictée du Salon du livre de Paris samedi 19 mars.
Le d prononcé [t] suffit ! On retrouve aussi ce d de liaison à la fin de quelques adjectifs, et notamment grand, lorsqu'il précède une voyelle : un grand homme, son grand ami, au grand air ou dans les mots composés comme un grand-oncle.
On dit j'ai mangé "trois haricots", sans faire la liaison.