Du latin “humanitas”, le terme se traduit par nature humaine, culture générale de l'esprit. L'Humanitas est le caractère de ce qui est humain. Elle désigne aussi « les hommes » en général, le genre humain considéré dans son unité. La plupart des philosophes définissent comme humain tout être doué de raison.
Les hommes ont en moyenne une taille, une masse et une puissance musculaire supérieures à celle des femmes. Leur système pileux est en général plus développé : leur caractère sexuel secondaire le plus visible est d'ailleurs souvent la barbe.
L'homme est appréhendé comme subjectivité pensante, il a la capacité de se saisir réflexivement, de s'écarter de lui-même pour s'appréhender comme un de ses objets, introduisant ainsi en philosophie, le thème de la conscience.
Scientifiquement, l'homme est un mammifère de la race des homo-sapiens. Il est bipède car il se déplace sur deux membres, il appartient à la famille des hominidés et est capable de communiquer par le langage. Il est cependant difficile de définir l'homme par ses seules caractéristiques physiques.
Chaque communauté humaine a la force intérieure d'envisager son propre avenir, d'agir pour le réaliser, de partager ses apprentissages et de cultiver sa solidarité.
Qu'il se questionne ou non, l'homme cherche à procréer, travaille à la protection et l'éducation de sa descendance, veut se sentir utile, cherche à repousser la souffrance et la mort, et à accéder à une existence supérieure (sociale ou religieuse).
Puisque le mot « homme » désigne le mâle, dit-elle, les adjectifs « humain » et « humaine », qui en dérivent, ont subi le même détournement, de sorte que les sciences humaines, par exemple, sont des sciences du mâle.
La conscience est la présence constante et immédiate de soi à soi. C'est la faculté réflexive de l'esprit humain, c'est-à-dire sa capacité à faire retour sur soi-même. C'est la conscience qui permet à l'homme de se prendre lui-même comme objet de pensée, au même titre que les objets extérieurs.
La conscience, une notion propre à l'homme. La conscience est une notion propre à l'homme. En effet, la conscience permet de se rendre compte de tout, de nous, de ce qui nous entoure, permettant ainsi de mieux comprendre et de mieux se comprendre, de se définir. Cette capacité est inhérente à l'espèce humaine.
Essence et existence
Chez Heidegger, l'essence de l'homme consiste à se comprendre en tant qu'être-là, i.e. en tant qu'existence. Dans le premier cas, dont Descartes est un représentant, l'abstraction essentielle de l'existence donne l'essence, et inversement dans le second, comme chez Sartre.
Il y a donc 4 dimensions de l'individu : Physique - Emotionnelle - Intellectuelle - Spirituelle.
"La nature de l'homme est la somme de ses facultés naturelles, telles que la nutrition, le mouvement, la génération, la sensibilité, la raison, etc. Nous nous accordons tous à nommer ces facultés naturelles ; elles sont renfermées dans la notion de l'homme que l'on définit un animal raisonnable."
Le premier devoir de l'homme est de protéger ses enfants innocents. Lorsque la prétendue Cour européenne «des droits de l'homme» met en danger nos propres enfants en oubliant jusqu'au principe de réalité, elle bafoue ceux-ci plutôt que de les honorer.
La valeur d'un homme tient dans sa capacité à donner et non dans sa capacité à recevoir. La valeur d'un homme ne se mesure pas à son argent, son statut ou ses possessions. La valeur d'un homme réside dans sa personnalité, sa sagesse, sa créativité, son courage, son indépendance et sa maturité.
À la différence de la femme, l'homme a toujours travaillé. Il est toujours apparut comme un pilier économique. De ce fait, l'homme est une image forte dans le développement de la société. Ainsi, l'homme par sa force de travail va être adulé dans tout le monde entier.
L'homme, à la différence du vivant, possède une dignité. La dignité définit la valeur intrinsèque d'une personne. Au sens juridique, reconnaître la dignité d'une personne, c'est admettre sa valeur absolue afin de lui accorder des droits.
La conscience immédiate et la conscience réfléchie, la connaissance du monde, la connaissance de soi.
Du latin “humanitas”, le terme se traduit par nature humaine, culture générale de l'esprit. L'Humanitas est le caractère de ce qui est humain. Elle désigne aussi « les hommes » en général, le genre humain considéré dans son unité. La plupart des philosophes définissent comme humain tout être doué de raison.
La connaissance humaine se situe sur deux plans ; le premier plan comprend celle qui est basée sur l'activité sensorielle et qui a son principe d'activité propre : l'esprit - « spiritus » ; le second plan comprend la connaissance intellectuelle à laquelle les sens ne participent plus directement et dont le principe est ...
Kant, lui, distingue l'homme de l'animal par la morale. L'homme est un être moral par essence en tant qu'il est doué de conscience, de raison et d'une volonté autonome qui lui permet d'exercer une liberté. L'homme agit en déterminant lui-même la loi de son action. La moralité suppose la liberté.
L'utilisation délibérée d'outils et le fait qu'ils puissent servir à l'avenir sont en effet deux caractéristiques qui distinguent la cognition humaine de celle des animaux. Voilà en partie pourquoi l'homme domine les grands singes dans notre monde.
L'homme, entendu au sens de l'humanité, est lui-même l'absolu si bien que la science de l'humain, l'anthropologie est la discipline qui doit prendre la place de la métaphysique.
Il sait tenir ses promesses et il s'attend à ce que les autres fassent de même. Un homme ne ment jamais, que ce soit à lui-même ou aux autres. Il développe une conscience qui lui donne un bon jugement de lui-même et qui lui permet d'être plus à l'aise avec la vérité, même lorsque celle-ci fait mal.
Selon cette approche, la vie est susceptible d'être significative : nous pouvons lui conférer un sens grâce à notre sensibilité. Jean Grondin parle d'une « saveur de la vie » et le sens de la vie est pour ainsi dire une capacité de « sentir » et de jouir de la vie.