Le mémoire de master
Un mémoire de master est rédigé à la fin d'un cursus universitaire de niveau master (Bac +5). Il s'apparente à un mémoire de recherche. On évalue la capacité d'analyse et l'esprit critique.
Au cas où faire rédiger son mémoire est la seule option envisageable, il vaut mieux bien choisir son rédacteur. En effet, privilégiez un rédacteur qui a fait preuve de capacité et de sérieux, en se renseignant sur ses expériences et en tenant compte de l'appréciation ses clients précédents.
Mémoire sémantique, mémoire procédurale et mémoire perceptive.
Outre le fait de te permettre de décrocher ton diplôme, un mémoire sert à valider plusieurs compétences. Certains cursus universitaires demandent à leurs étudiants d'en écrire un à la fin du M1. Puis un autre, plus long, à la fin du M2 (on passe souvent de 30 à 50 pages et plus).
Un sujet de mémoire doit remplir plusieurs critères : Il doit vous intéresser. Il doit confirmer ou infirmer des hypothèses à travers une vraie recherche. Il doit pouvoir vous être utile personnellement (et peut-être professionnellement).
Les malades d'Alzheimer conservent la mémoire implicite, mais leur mémoire explicite est touchée. La mémoire explicite est directement impliquée dans la mise en place d'associations et de souvenirs lointains (c'est celle qui nous permet de conserver nos souvenirs).
L'hypermnésie est un syndrome caractérisé par une mémoire exceptionnelle. L'hypermnésie autobiographique ou hyperthymésie, rare, engendre la capacité de se souvenir très précisément et sans effort de chaque jour de sa vie à partir d'un moment spécifique de son enfance.
Mémoire procédurale (ou motrice)
Très résistante dans le temps, la mémoire procédurale (une mémoire implicite) est la seconde partie de la mémoire à long terme. Elle correspond à la mémoire des automatismes, des habiletés et des savoir-faire.
Les lieux de la mémoire
Mémoire sensorielle ou perceptive : elle implique différentes régions à proximité des aires sensorielles et le cortex préfrontal. Mémoire sémantique : elle fait intervenir des régions étendues comme les lobes pariétaux et temporaux mais aussi le néocortex, l'hippocampe et l'amygdale.
L'hippocampe est une petite région du cerveau ancien (limbique), ayant la forme d'un cheval de mer. L'étude de patients devenus amnésiques après une opération chirurgicale du cerveau a montré que l'hippocampe joue un rôle fondamental dans la formation de nos souvenirs.
Les médicaments qui agissent sur le cerveau, comme les anxiolytiques, les antidépresseurs, mais aussi les somnifères. En modifiant la manière dont les neurones communiquent, ils perturbent la mémoire et la concentration. Le stress.
La logique et l'intelligence reposent en partie sur la mémoire, car il faut avoir acquis des connaissances pour résoudre des problèmes ou créer. Comme le disait Picasso, la peinture c'est comme le chinois, ça s'apprend.
C'est un phénomène connu : la fatigue, les apnées du sommeil ou le manque chronique de sommeil peuvent entraîner une baisse de la concentration et des pertes de mémoire. le stress et la dépression, les événements traumatisants. certaines carences alimentaires, notamment en vitamine B1 ou B12.
On distingue souvent trois stades de démence : déclin cognitif léger, déclin modéré, déclin sévère.
Une problématique, c'est « l'art de poser des problèmes pertinents ». La problématique décrit un problème qu'il faut résoudre dans le développement de votre mémoire (ou autre). La problématique est nécessaire, car : Elle mène à votre question centrale de recherche.
Internet et les ordinateurs sont-ils les clés du progrès au 21eme siècle ? Dans quelle mesure les nouvelles technologies isolent-elles les gens ? Les sites de réseaux sociaux sont-ils une menace pour notre vie privée ? Comment Internet a-t-il modifié notre comportement social et modifié notre façon de communiquer ?