Pour le philosophe anglais du 17e siècle Thomas Hobbes, l'homme est un loup pour l'homme et naît mauvais.
Rousseau avait tort : les hommes sont naturellement violents. Mais contrairement aux apparences, ils sont aussi de plus en plus civilisés ! Rousseau avait tort, l'homme est naturellement méchant. C'est ainsi que s'ouvre un article récent de Nature (1) portant sur l'étude des comportements violents chez l'homme.
- Jean-Jacques Rousseau. L'homme est naturellement bon et c'est la société qui le déprave. Cette phrase de Jean-Jacques Rousseau contient 13 mots. Il s'agit d'une citation courte.
Jean-Jacques Rousseau avait lui-même écrit: «L'homme est naturellement bon, c'est la société qui le corrompt.
Hobbes s'attache à la nature humaine et décrit l'homme comme un être doué de parole, cette dernière étant norme et règle du vrai et du faux. – Là où il n'est pas de parole, il n'y a ni vérité ni fausseté, nous dit Hobbes dans le Léviathan.
Ce philosophe s'appelle Thomas Hobbes, il est surtout connu pour avoir écrit un ouvrage philosophie politique magistrale : Léviathan, paru en 1651.
est un philosophe et polymathe grec de l'Antiquité. Il est avec Platon, dont il a été le disciple à l'Académie, l'un des penseurs les plus influents que le monde occidental ait connu.
Jean-Jacques Rousseau (1712-1778)
Il accède à la célébrité en 1750 en obtenant le prix de l'académie de Dijon pour son premier Discours. Dans le second Discours (1755), il affirme l'égalité naturelle des hommes tout en décrivant les mécanismes de l'inégalité.
C'est un état «qui n'existe plus, qui n'a peut-être point existé, qui probablement n'existera jamais» (id.).
Dans Du contrat social, Rousseau établit qu'une bonne organisation sociale repose sur un pacte garantissant l'égalité et la liberté entre les citoyens. Ce pacte est contracté entre tous les participants, c'est-à-dire l'ensemble exhaustif des citoyens.
Pour Rousseau, le cœur de la spécificité humaine est la liberté. Cependant, c'est là une thèse d'ordre métaphysique, énoncée d'emblée comme une évidence, mais qui s'avère indémontrable. C'est une intuition, une saisie de soi comme étant irréductible à un mécanisme ou déterminisme quelconques.
« L'homme est un loup pour l'homme. » Chaque homme représenterait potentiellement un danger mortel pour les autres. Cet état permanent de menace découle du fait que tous les hommes sont égaux et que chacun peut désirer ce que l'autre a.
Selon le philosophe genevois Jean-Jacques Rousseau : « l'homme naît bon, la société le corrompt ». Par cette assertion, le penseur affirme que, par essence, l'homme naît avec des qualités morales supérieures et que celles-ci se dégradent au contact des lois, institutions et coutumes de la société civilisée.
L'agressivité, dit-il, est une conduite naturelle indispensable à la survie de l'individu comme de l'espèce. Il n'y a pas selon Lorenz deux pulsions, l'une de mort, l'autre de vie. Sur ce point, l'éthologiste diverge de Freud et l'écrit dans sa préface. C'est l'instinct de vie qui pousse à l'agression.
223) De nature égoïste, l'être humain pense à satisfaire ses besoins en premier et en plus il est méchant, car il cherche à maintenir l'égalité face à ses semblables. Voilà pourquoi Hobbes croit qu'il n'y a pas de sécurité dans l'état de nature et qu'il n'y a pas possibilité de développement.
L'homme est bon de nature; c'est la société qui le corrompt. L'homme est bon de nature; c'est la société qui le corrompt, soutient Rousseau. Expliquez cette thèse en montrant les causes principales de la corruption de l'être humain. L'homme possède l'amour de soi, la notion de pitié et il est capable d'empathie.
Il peut sembler évident d'affirmer que l'homme est un être naturel puisqu'il vit par et dans la nature, il a un corps, il se développe, il meurt comme tout élément et comme tous les animaux. Mais cela concerne essentiellement son existence physique.
Rousseau y défend la thèse selon laquelle l'homme est naturellement bon et dénonce l'injustice de la société. L'œuvre suscite, comme le Premier Discours, une vive polémique de la part notamment de Voltaire, Charles Bonnet, Castel et Fréron.
“Qui rougit est déjà coupable, la vraie innocence n'a honte de rien.” “Les lois sont toujours utiles à ceux qui possèdent et nuisibles à ceux qui n'ont rien.” “J'aime mieux être homme à paradoxes qu'homme à préjugés.” “La jeunesse est le temps d'étudier la sagesse, la vieillesse est le temps de la pratiquer.”
Il soutenait que les inégalités naissent artificiellement des systèmes sociaux et qu'elles sont fondées sur la propriété privée et le travail organisé - des systèmes ayant permis la domination et l'exploitation de certaines personnes par d'autres.
Socrate cherche donc à montrer que les vertus morales particulières (par exemple : la justice, le courage, la tempérance, la piété, la sagesse) convergent toutes dans la vertu qui est une (en général), et, au-delà d'elle, en ce pour quoi la vertu est vertueuse ou l'excellence excellente, en vue de faire le bien.
- Blaise Pascal. Le plus grand philosophe du monde, sur une planche plus large qu'il ne faut, s'il y a au-dessous un précipice, quoique sa raison le convainque de sa sûreté, son imagination prévaudra. Plusieurs n'en sauraient soutenir la pensée sans pâlir et suer. Cette phrase de Blaise Pascal contient 46 mots.
Montesquieu distingue trois pouvoirs : la « puissance législative », la « puissance judiciaire des choses qui dépendent du droit des gens », chargée particulièrement des affaires étrangères et de la défense, et la « puissance exécutrice de celles qui dépendent du droit civil », qui correspondent respectivement à ce que ...
La thèse de Hobbes
La thèse défendue par Hobbes est que l'antagonisme des désirs trouve sa solution dans le recours à un arbitre qui sera juge de ce qui est désirable et de ce qui ne l'est pas.
Hobbes souligne en effet qu'il n'y a aucune convention entre les sujets et le souverain, mais seulement des contrats entre les individus qui tous abandonnent leur pouvoir à un tiers à condition que les autres le fassent, instituant ainsi un souverain qui les protège tous mais qui n'a rien signé.