C'est un souffleur de verre de Goetzenbruck en Moselle, qui a trouvé cette solution. Il est à l'origine de cette tradition qui perdure encore aujourd'hui.
Le roi Willem-Alexander a respecté la tradition d'allumer lui-même les bougies de son sapin de Noël. Dans l'entrée du palais Huis ten Bosch, c'est un énorme sapin très simplement décoré qui accueille le roi, la reine et leurs trois filles. Ce sapin a la particularité d'être décoré de véritables bougies.
Ce sont les protestants en 1560 qui développèrent la tradition du sapin de noël pour se démarquer des catholiques. Au XVIIème et XVIIIème siècle apparaissent les premiers sapins illuminés.
Le petit oiseau blessé, perdu au cœur de l'hiver, est chassé par tous les arbres de la forêt. Seul le sapin l'accueille. C'est pourquoi, d'après cette légende d'Alsace, il est aujourd'hui l'arbre de Noël.
Ensuite, c'est en Allemagne que la coutume a véritablement pris naissance. Vers 1520, on décorait les arbres avec des confiseries, des pommes et même des petits gâteaux et on plaçait déjà, à cette époque, une étoile au sommet pour rappeler celle de Bethléem.
Explications. Non, ce n'est pas la marque de boisson Coca-Cola qui a donné naissance à la couleur écarlate des habits du père Noël. L'idée selon laquelle les vêtements qui enveloppent la silhouette enrobée du Santa Claus sont passés au rouge après une campagne de publicité pour le fameux soda, n'est pas exacte.
Le sapin, c'est une tradition païenne, ça remonte aux celtes et c'est directement lié aux fêtes du solstice d'hiver. Le passage de l'automne à l'hiver. Les Romains aussi mettaient des branchages pour décorer leurs maisons. Bref, rien à voir au départ avec la religion chrétienne.
Une fête aux origines païennes
Pour la religion chrétienne, la fête de Noël n'existait pas. Ce n'est qu'à partir du IIe siècle, que l'Eglise recherche la date précise de la naissance du Christ. La date du 25 décembre fut fixée vers l'année 300 par Rome, afin de christianiser les rites issus de la culture populaire.
Symbole du renouveau de la vie, il est un thème traditionnel païen que l'on retrouve dans de nombreuses religions archaïques. Il rappelle également l'arbre de vie de la Genèse. Le sapin et l'épicéa étant des conifères à feuilles persistantes, ils sont symbole de renaissance lors du solstice d'hiver.
Avant d'être une fête chrétienne, Noël était un rite païen qui célébrait le solstice d'hiver, son nom : Yule, en langage viking. C'était l'une des huit dates importantes ponctuant l'année dans les cultures nordiques. Chacune correspondait à un moment important du cycle des saisons et donnait lieu à des célébrations.
Quelle est l'origine du Père Noël ? Le Père Noël serait né il y a environ 1700 ans. Il s'appelait alors Nicolas de Myre, un riche évêque turc qui avait l'habitude, pendant la nuit, d'aller distribuer des cadeaux et de la nourriture aux plus pauvres.
Dans l'empire romain, le 25 décembre était considéré comme le jour de la renaissance du soleil. À cette occasion, les Romains s'offraient des cadeaux et décoraient leurs maisons avec des branches de conifères, un arbre vert donc. Plus tard, en Europe du Nord, les Celtes associaient chaque mois lunaire à un arbre.
Du latin sappīnus (« sorte de sapin »), issu du croisement du gaulois * sappos (« sapin ») (cf. ancien français sap, breton sap, cornique sab), et du latin pinus (« pin »).
Justification des cadeaux
L'échange des cadeaux reproduit la présentation des offrandes des bergers et des mages à l'enfant Jésus. Selon une lecture plus théologique, ils rappellent aux chrétiens qu'à Noël, « Dieu s'est donné lui-même à nous ».
Un sapin de Noël est un arbre décoré pour Noël. Héritier des célébrations païennes de Yule, la fête du solstice d'hiver, et de plusieurs croyances de la mythologie nordique, ce sapin est associé par les chrétiens à la Nativité du Christ depuis le Moyen Âge.
En Europe, les premières traces écrites, d'une décoration d'arbres de Noël, remonte à 1510 en Lettonie, où une guilde de marchands a décoré un arbre de fleurs séchées, de rubans ...
Le Cyprès. Cet arbre sacré chez de nombreux peuples, grâce à sa longévité et à sa verdure persistante, est également nommé "Arbre de vie", à l'instar du Thuya. Chez les Grecs et les Romains, le Cyprès est en rapport avec les divinités de l'enfer.
Le symbole de l'arbre de vie représente également le lien d'une personne avec sa famille et ses ancêtres. L'arbre de vie possède un réseau complexe de branches qui représentent la façon dont une famille grandit et s'étend au fil des générations.
Le bouleau
Symbole de pureté, de douceur et de délicatesse. Le bouleau était l'un des sept arbres sacrés du bosquet des druides, parfois appelé « Arbre de la sagesse ».
En France, certains fêtent Noël pour les enfants ou pour accepter l'invitation d'amis chrétiens. Mais, en principe, un musulman ne participe pas à des fêtes autres que celles fixées par sa religion. Quant aux juifs, la fête de Noël ne veut rien dire, car Jésus n'est pas une personne reconnue dans leur religion.
La naissance de Jésus de Nazareth est fêtée par les chrétiens le jour de Noël, qui tombe le 25 décembre. Pour l'Église russe et les anciennes Églises d'Orient qui utilisent toujours le calendrier julien, le 25 décembre julien correspond au 7 janvier du calendrier grégorien.
Mais l'origine établie par les linguistes est celle du latin "natalis dies" (jour de naissance). La formule "al Naël Deu" aurait d'abord été employée chez les ecclésiastique pour désigner la Nativité du Christ. Le mot “Noël” serait apparu bien plus tard, au XIVe siècle.
Parce que les anges sont apparus haut dans le ciel le premier Noël, les gens ont commencé à placer des anges au sommet de leurs arbres pour célébrer la naissance de Jésus.
The Twelve Days of Christmas (Les Douze Jours de Noël) est un chant de Noël très connu dans les pays anglophones. Il s'agit d'une comptine à récapitulation où sont énumérés douze cadeaux qu'une personne dit avoir reçus de son amoureux/se durant les douze jours consécutifs du temps de Noël.
Fixation du jour de Noël
Avant la christianisation de l'Occident, une fête appelée Dies Natalis Solis Invicti, « jour de la naissance du soleil invaincu » avait été fixée au 25 décembre par l'empereur romain Aurélien en 274, comme grande fête du culte de Sol Invictus (le soleil invaincu).