Le zéro a été inventé aux alentours du Ve siècle en Inde. Le mathématicien et astronome Brahmagupta dessine le vide, le néant, le rien. Il invente un signe pour l'absence et ouvre le chemin de la représentation de ce qui n'était pas représentable jusque-là.
On les croyait créés par les grands mathématiciens arabes, en réalité les chiffres sont d'origine indienne. C'est en effet l'Extrême-Orient qui invente l'écriture décimale positionnelle au IIIe siècle avant J. -C.
Le chiffre zéro a été utilisé pour la première fois par les babyloniens au cours du deuxième millénaire avant J.C., avant d'être réinventé par les Mayas puis par les Hindous. Mais ce sont les arabes qui l'intégreront à leur système de numération, pour le diffuser dans toute l'Europe au cours du X° siècle.
De l'italien zero , altération de zefiro , issu du latin médiéval zephirum , lui-même de l'arabe صفر , ṣifr (« vide »), lui-même calque du sanskrit शून्य , śūnya.
Par exemple, le 0 maya était représenté par une coquille. Le tout premier zéro proviendrait néanmoins des babyloniens en l'an 3 av. J-C. Le mathématicien perse Al Khawarizmi l'a introduit au VIIIe siècle.
Les chiffres (0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9) et le système décimal (selon leur place dans un nombre, ces chiffres sont des unités, des dizaines, des centaines…) ont été inventés par les Indiens. Au 9e siècle, les Arabes trouvent que ces chiffres facilitent beaucoup les calculs et ils les diffusent dans le monde entier.
Le symbole de l'infini a été utilisé pour la première fois par le mathématicien John Wallis, en 1655.
Les chiffres de zéro à neuf sont rendus par des mots spécifiques : sifr (صِفْرٌ) [0], wahid (وَاحِدٌ) [1], ithnan (اِثْنَانِ) [2], thalatha (ثَلَاثَةٌ) [3], arba'a (أَرْبَعٌ) [4], khamsa (خَمْسَةٌ) [5], sitta (سِتَّةٌ) [6], sab'a (سَبْعَةٌ) [7], thamaniya (ثَمَانِيَةٌ) [8] et tis'a (تِسْعَةٌ) [9].
Le zéro a été inventé vers le V e siècle en Inde. L'astronome et mathématicien Brahmagupta dessine le vide, le néant, le rien et il invente alors un signe pour l'absence, donc ouvrant le chemin de la représentation à ce qui n'était pas représentable et quantifié jusque-là.
0! = 1. puisque par convention, le produit vide est égal à l'élément neutre de la multiplication. Cette convention est pratique ici car elle permet à des formules de dénombrement obtenues en analyse combinatoire d'être encore valides pour des tailles nulles.
La graphie du zéro, d'abord un cercle, est inspirée de la représentation de la voûte céleste. Comme l'indique l'étymologie, son introduction en Occident est consécutive à la traduction de mathématiques arabes, notamment les travaux d'al-Khwārizmī, vers le VIII e siècle.
C'est la vision qu'Aristote a largement contribué à étendre jusqu'au Moyen Âge. Est 1 ce qui existe et 0 ce qui est absent. Ce sont les Babyloniens qui vont, les premiers, utiliser le zéro, non pas comme un nombre ni même un chiffre, mais comme marqueur signifiant l'absence ».
En arithmétique ordinaire, le nombre 0 n'a pas de signe, de sorte que −0, +0 et 0 sont identiques.
Le plus petit nombre entier n'existe pas. En effet, les nombres entiers sont les nombres entiers relatifs, qui incluent les nombres entiers négatifs, jusqu'à la limite de l'infini négatif. En revanche, le plus petit des nombres entiers naturels est 0, et le plus petit nombre entier naturel non nul est 1.
Il faut savoir que des mathématiciens sont allés encore plus loin. Ils ont nommé un nombre encore plus grand : le "Googolplex", c'est un 1 suivi d'un googol de zéros, un nombre si immense qu'il y a davantage de zéros dans l'écriture de ce nombre que d'atomes dans l'univers.
Dans le langage courant, les chiffres arabes désignent les 10 chiffres {1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9 et 0} selon leur écriture occidentale, et le système décimal qui les accompagne. On les retrouve absolument partout, et notamment sur les cadrans de montres.
Il pense également que la forme a été fixée par des vers mnémotechniques, attestés dans plusieurs manuscrits, qui font un lien avec des lettres de l'alphabet arabe. Au X e siècle, les chiffres arabes de l'époque gagnent la péninsule Ibérique, alors sous domination omeyyade.
Le chiffre zéro (de l'italien zero, dérivé de l'arabe sifr, d'abord transcrit zefiro en italien) est un symbole marquant une position vide dans l'écriture des nombres en notation positionnelle. Le nombre zéro (Le chiffre zéro (de l'italien zero, dérivé de l'arabe sifr,...) est un objet. mathématique.
Les chiffres «arabes» actuels sont nés d'une transformation au Moyen-Orient de la notation née en Inde il y a seize ou dix-sept siècles. D'ailleurs, en langue arabe, les chiffres sont dits «indiens» quand, en langue française, on les dit «arabes».
Le zéro a été inventé aux alentours du Ve siècle en Inde. Le mathématicien et astronome Brahmagupta dessine le vide, le néant, le rien. Il invente un signe pour l'absence et ouvre le chemin de la représentation de ce qui n'était pas représentable jusque-là.
ع appelé "ayn". Il s'écrit avec un "3". Ce son ressemble à un "a" prolongé mais qui se forme dans la gorge. C'est le son produit quand vous retirez l'arrière de votre langue vers votre gorge.
1 – один [odin] 2 – две [dve] 3 – три [tri] 4 – четыре [četyre]
Le chiffre huit 8 et un des nombres les plus sacrés, il réunit les deux mondes, le physique et le spirituel dans une circulation spiralée. Couché, il devient lemniscate, symbole de l'infini. Présent au cœur de nos cellules, et dans la structure de la molécule d'ADN il représente deux hélices entrelacées.
Le signe infini se représente comme un 8 couché, il a une signification bien particulière dans chaque culture et religion: En Inde, par exemple, il ferait référence au dieu Shiva de par ses 8 bras, aux 8 règlements de conduites, aux 8 voeux prononcés par les moines bouddhistes.
Mystère infini… Finalement, pour répondre à cette épineuse question « qu'est-ce qui est plus grand que l'infini ? », je ne vois qu'une seule réponse : l'esprit humain.