Fa-Si-liter l'apprentissage C'est le moine bénédictin italien Guido d'Arezzo, qui, au XIe siècle, en est à l'origine. En cherchant à faciliter l'apprentissage du chant pour les jeunes moines qu'il formait, il invente la «solmisation», ancêtre du solfège moderne.
La gamme do, ré, mi, fa, sol, la et si, bien connue des amateurs de solfège, remonte au XIe siècle. A l'époque, le moine italien Guido d'Arezzo, qui réfléchissait à une méthode pour classer la hauteur des notes, avait eu l'idée de choisir le début de chaque vers d'un chant religieux, l'Hymne à Saint Jean-Baptiste.
Les noms des notes de musique dans la musique occidentale suivent deux grands systèmes selon les pays. La notation est basée soit sur les sept premières lettres d'un alphabet, soit sur les notes « do ré mi fa sol la si » inventées par Guido d'Arezzo.
Ut, ré, mi, fa, sol, la et si
Au XI e siècle, le moine Guido d'Arezzo a l'idée, pour nommer les notes de la gamme, d'utiliser des syllabes d'une hymne de la liturgie des vêpres de la fête de la Naissance de saint Jean-Baptiste : Ut queant laxis.
Pourquoi il n'existe que 7 notes de musiques et pas 5 ou 12 ? La question fait probablement allusion à la gamme diatonique, qui est la principale gamme utilisée dans la culture musicale occidentale moderne, et qui contient les sept notes que nous nommons en langue française do, ré, mi, fa, sol, la et si.
Les intervalles mi-fa et si-do forment un intervalle d'1/2 ton. Car il n'y a pas de touches noires entre elles.
Au XIX e siècle, Franz Liszt a découvert, par hasard, l'élan chromatique. En effet, en rendant hommage à Jean Sébastien Bach, il a composé un motif B-A-C-H-B-A-C-H en notes allemandes (en notes françaises, si bémol - la - do - si - si bémol - la - do - si).
C'est possible, car dans nos pays latins, les noms des notes – Do Ré Mi Fa Sol La Si – ne sont pas l'héritage des musiciens de l'Antiquité et de Boèce : ils ont été façonnés à partir de la musique vocale.
Ce système de notation, utilisé en France et en Italie, a été créé à partir d'un chant religieux, au XIe siècle. La gamme, c'est même la première notion vue en cours de solfège lorsqu'on se décide (enfin) à arrêter de chanter faux : do ré mi fa sol la si do.
C'est finalement le mathématicien flamand Simon Stevin (1548-1620) qui posera les bases de notre système tonal en proposant la division de la gamme musicale en douze demi-tons (le demi-ton étant le plus petit espace entre deux notes) tempérés de manière égale en faussant systématiquement les rapports naturels des ...
L'analyse d'un chant religieux au 11e siècle
Au 17e siècle, le 'Ut' est remplacé par le 'Do', en référence à la première syllabe du mot 'Domine', qui signifie 'Seigneur' en latin. Ce n'est pas pareil dans tous les pays : en Allemagne, les notes sont ainsi écrites par des lettres de l'alphabet : C-D-E-F-G-A-H-C."
On attribue généralement l'origine du solfège à Guido d'Arezzo, moine italien du XI e siècle, qui aurait inventé ce procédé dans le but de faciliter l'enseignement du chant aux autres moines de son monastère.
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« Ut » a été remplacé par « do » en Italie. Il faut dire que c'est plus agréable à l'oreille. Cette syllabe est issue du mot Domine, qui signifie Dieu en latin.
Étymologie. ( c. 1150) Du latin musica (sens identique) issu du grec ancien μουσική , moûsikế (« musique »), dérivé féminin de μουσικός (« ce qui concerne les Muses ; qui cultive la musique ») de Μοῦσα , Moûsa (« Muse »).
L'ut a été changé en do au XVIe siècle, certainement car il était plus facile à énoncer en solfiant*.
C'est le moine bénédictin italien Guido d'Arezzo, qui, au XIe siècle, en est à l'origine. En cherchant à faciliter l'apprentissage du chant pour les jeunes moines qu'il formait, il invente la «solmisation», ancêtre du solfège moderne.
Douze notes. Sept pour les touches blanches: Do, Ré, Mi, Fa, Sol, La, Si, et cinq pour les touches noires: Do#, Ré#, Fa#, Sol#, La#. Pourquoi douze notes et pas quinze, ou neuf? La guitare, la flûte, et le saxophone se jouent aussi sur ces douze notes, qui forment l'alphabet de la musique occidentale.
Le "si" n'est nommé qu'à la fin du 16ème siècle grâce au moine français Anselme de Flandres. Le "ut" deviendra "do" au 17ème siècle, pour la première fois par G.M. Bononcini dans Musico prattico en 1673, sans doute pour une plus grande facilité de prononciation dans le chant.
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Pour nommer les six degrés de son hexacorde, Guido d'Arezzo a utilisé ut, re, mi, fa, sol, la, les premières syllabes de chaque demi-vers d'un chant religieux latin, l'Ut queant laxis (l'hymne à saint Jean-Baptiste), dont le texte est attribué au moine et érudit italien Paul Diacre (en latin Paulus Diaconus).
Les cycles de 5, 7 ou 12 quintes « rebouclent » presque. Le cycle des quintes est infini. La quinte du loup est une quinte d'intervalle 3/2.
Gamme composée de huit notes conjointes, donc de sept intervalles, dont cinq valent un ton et deux un demi-ton. Do-ré-mi-fa-sol-la-si-do est une gamme diatonique.
En théorie de la musique occidentale, l'accord pythagoricien est un accord construit exclusivement sur des intervalles de quintes pures. Il est caractérisé par sa tierce, dite pythagoricienne, de rapport 81/64. On l'appelle communément « gamme pythagoricienne ».