Yashodhara (glorieuse) est la cousine et l'épouse principale de Gautama, mère de son fils Rahula. Connue par les Jatakas (légendes de la vie du Bouddha), elle serait devenue du vivant de Gautama une ascète, une nonne prééminente et l'un des quatre arahants de son entourage possédant l'intuition absolue.
La vie des femmes dans l'ère culturelle bouddhiste traditionnelle est généralement divisée en trois temps : celui de l'enfance, celui de l'épouse, et celui de la mère de famille. Aux seuils de ces trois temps se trouvent la naissance, le mariage et la maternité.
Avant tout, Bouddha était un homme, une personne physique, vivant dans une communauté et ayant eu une famille. Ce n'est qu'après avoir été éveillé qu'il a perdu l'aspect ordinaire d'un être humain, c'est-à-dire qu'il était un homme éveillé et un homme qui avait reçu une divinité finale.
Siddharta Gautama, le Bouddha, est né en 623 av. J.
Dans la sphère culturelle indienne, des savants musulmans ont reconnu, dans la figure de Dhû l-kifl, le Bouddha Gautama. Celui-ci est ainsi intégré à la liste des prophètes de l'islam.
Il vécut il y a environ 2500 ans en Inde. Il naît à Lumbinî (Népal) où on le nomme «Siddhartha gautama», celui qui atteint son but. Plusieurs histoires existent sur sa vie, mais certains épisodes sont célèbres et relatent les mêmes faits.
Le Bouddha couché est un motif iconographique et statuaire important du Bouddhisme. Il représente le bouddha historique lors de sa dernière maladie, sur le point d'entrer dans le parinirvâna. Allongé sur le flanc droit, il a la tête posée sur un coussin ou s'appuie sur son coude droit, soutenant sa tête de la main.
Les vingt-huit bouddhas sont honorés lors des fêtes bouddhistes dans les pays où le theravada est prédominant, comme le Myanmar, le Laos ou la Thaïlande. Il s'agit de vingt-sept bouddhas du passé et du Bouddha Gautama qui vient à leur suite.
C'est un symbole de prospérité, de joie de vivre, de sagesse ainsi qu'un porte-bonheur : frotter son ventre apporterait richesse et chance, dans la croyance populaire.
Définitions : moniale - Dictionnaire de français Larousse.
Bouddhisme. Dans toutes les formes du bouddhisme, aussi bien Hinayana et Mahayana que Vajrayana, le moine fait vœu de célibat et de chasteté.
Tara est la divinité féminine la plus populaire au Tibet. De façon poétique, la légende la fait naître d'une larme de compassion d'Avalokiteshvara, ou encore d'un rayon sorti de ses yeux.
évitez de mettre la statue dans les pièces d'eau : salle de bain, w.c qui sont des lieux de nudité. évitez également les chambres à coucher, lieu de nudité. Selon la culture bouddhique et chinoise, dormir avec avec une statue telle qu'elle soit, tournée vers le lit est synonyme de malchance.
On ne pose jamais pour une photo devant une statue ou une peinture du Bouddha. Lui tourner le dos est est en effet considéré comme un manque de respect.
Quelles que soient les religions, les statues à l'effigie des divinités sont souvent réputées pour porter bonheur. Le bouddhisme ne déroge pas à cette règle. Pour les pratiquants de cette religion et de cette philosophie de vie, il est évident qu'une statue Bouddha délivre des ondes positives et apporte de la chance.
Le bouddhisme et l'islam la condamnent, parce que l'alcool fait perdre la maîtrise de soi. La tradition sunnite considère que « l'alcool est la mère de tous les vices et c'est le vice le plus honteux » (Sounan Ibn-Majah, Hadith 3371).
Dans la tradition bouddhiste, pas de viande ! C'est une conséquence du principe de non-violence des bouddhistes, le tout premier principe moral. Il s'agit de ne pas attenter à la vie d'un autre être vivant sensible.
L'éléphant, le tigre et le singe sont trois animaux vénérés par la culture bouddhiste majoritaire en Thaïlande, puisque 95% de la population y pratique cette religion.
Ayant atteint le nirvāna, le bouddha (comme l'arhat) vit sa dernière existence ; la mort signale l'extinction totale (parinirvana). Dès l'origine, le bouddhisme reconnaît, outre le Bouddha de notre ère, plusieurs bouddhas du passé qui l'ont précédé.
Il est important que la statue de Bouddha soit orientée vers l'intérieur de la pièce et qu'elle ne regarde jamais vers l'extérieur. Il en n'est pas de même pour le Bouddha Rieur. Il est très souvent placer à l'entrée de la maison et en direction de la porte pour éloigner l'ensemble des énergies négatives.
Dans le bouddhisme oriental et en Asie orientale, les grandes oreilles sont considérées comme de bons augures, car elles sont synonymes de sagesse et de compassion. C'est peut-être l'une des raisons pour lesquelles le Bouddha est représenté avec de longues oreilles, car il est l'illuminé, le compatissant.