L'originaire de Martinique le plus riche du monde n'est pas Bernard Hayot...mais Thierry Déau - Bondamanjak.
1 Bernard Hayot, l'empereur de la grande distribution.
Depuis, elle impose ses enseignes dans toutes les Antilles. En Martinique, le groupe détient les magasins Carrefour, Mr Bricolage et Renault, soit 1 600 salariés et 400 millions d'euros de chiffre d'affaires.
Fortune. Au classement de la revue Challenges de 2021, avec un patrimoine de 250 millions d'euros, la famille de Bernard Hayot (groupe GBH) est classé 13ème fortune automobile de France et 397ème fortune de France.
Le héros incontesté de ces classements, c'est Bernard Arnault. Le patron fondateur de LVMH est l'homme le plus riche de France, après avoir détrôné l'inoxydable famille Bettencourt, fondatrice de L'Oréal. Le succès mondial de Vuitton, Dior, Celine, Givenchy, Hennessy, Guerlain ou Tiffany, c'est avant tout le sien.
à 7 394 € par an pour la Martinique, 6 806 € pour la Guadeloupe et 5 952 € pour la Guyane.
La situation sur le marché de l'emploi en est la principale cause de pauvreté. En effet, le taux de chômage atteint 15 % de la population active, soit 25 500 personnes en 2019.
Les Blancs créoles sont les descendants des premiers colons. Ils sont couramment appelés « Békés ». Cette appellation peut être ressentie comme péjorative [10]. Cependant, mes informateurs blancs créoles se désignent eux-mêmes comme « Békés ».
Il y a d'abord le caractère insulaire, qui rend le coût d'acheminement des produits forcément plus important qu'en métropole. "Les aliments frais sont acheminés par bateaux dans des conteneurs réfrigérés, ce qui coûte cher, ou bien par avion.
La plupart des Békés vivent dans ce quartier du Cap-Est, au François, que la population a surnommé "Békéland". "Ce n'est pas une charge contre les Békés, tout le monde en prend pour son grade dans le roman ! Mais il ouvre une porte sur ce monde méconnu, sa culture, son mode de vie.
Aux Antilles françaises, un béké est un blanc créole descendant des premiers colons. Ce terme concerne principalement les descendants originaires de la Martinique mais aussi ceux de Guadeloupe. En Martinique, les békés constituent un peu moins d'un pour cent de la population, soit environ 3 000 personnes.
Les premiers habitants de la Martinique sont les Arawaks, venus d'Amazonie. Ils s'installèrent à la Martinique, et plus précisément aux alentours de la montagne Pelée, pour pratiquer la pêche, l'agriculture, la cueillette, et fabriquer de superbes céramiques colorées.
Seule la Martinique se distingue avec un revenu plus élevé : un peu plus de 10 000 euros par an et par unité de consommation. Les ménages d'outre-mer disposent ainsi d'un revenu par unité de consommation plus faible qu'en métropole et, en outre, les disparités y sont plus fortes.
1. Les Anses-d'Arlet. Concourante au titre du meilleur village français en 2020, la ville des Anses-d'Arlet est assurément un des plus beaux villages de Martinique. Nichée sur la côte Sud Caraïbe de l'île, sur la réputée « route des Anses », elle est un petit coin de paradis appelant à la farniente décomplexée.
Le sud de l'île, très apprécié des visiteurs, est la zone la plus touristique. Des communes comme Sainte-Luce, le Marin, les Trois-Îlets ou Le Diamant sont très agréables si vous souhaitez partir vivre en famille en Martinique dans un cadre idyllique.
Opter pour une voiture familiale de type Monospace ou un Kangoo sera le meilleur choix, pour être à l'aise pendant les trajets et disposer d'un coffre suffisamment grand pour y caler les valises et sacs de plage.
La Martinique est une destination accessible
Ainsi, vous n'aurez aucune difficulté avec les formalités pour vous y installer. Vous n'aurez pas non plus à faire une demande de visa pour vous y rendre. De plus, la monnaie utilisée sur place est l'euro. Vous pouvez donc effectuer des paiements sans convertir votre argent.
L'île possède des infrastructures (routes, établissement scolaires, hôpitaux…) qui sont modernes et accessibles. Le climat social y est paisible et au niveau sécuritaire, hormis la prudence habituelle dont on fait preuve en métropole, il n'y a pas d'inquiétude majeure à avoir.