Mammon, dans le Nouveau Testament de la Bible, est la richesse matérielle qui est personnifiée en divinité à laquelle les hommes sont susceptibles de vouer leur vie.
Mammon. Terme araméen signifiant richesse et souvent cité dans la littérature juive dans un sens péjoratif. (On le trouve dans les Évangiles dans le même sens, où il personnifie l'argent qui asservit le monde.)
Ploutos, dans la mythologie grecque, désignait le dieu de la richesse et de l'abondance. Zeus, pour éviter que Ploutos devienne le bienfaiteur des hommes et menace ainsi son pouvoir, a décidé de le rendre aveugle.
Fortuna ou Fortune (Fortuna, ae en latin), est une divinité italique allégorique de la chance. Son nom dérive du latin « fors » qui signifie « sort ». Elle est identifiée à la Tyché grecque et était peut-être à l'origine « porteuse de fertilité » (du latin « ferre », porter, apporter).
Midas souhaitait que tout ce qu'il touche se transforme en or. Et le dieu lui accorda cet étrange privilège. Dès lors, Midas fut entouré d'or : les vases, les tables et les chaises, mais aussi les arbres et les fruits… tout se transformait, tout avait la même couleur, le même toucher.
Et le « beaucoup de désirs » du verset 9 correspond à « tous les maux » du verset 10a. Paul relie ces « désirs nombreux » au fait que l'amour de l'argent soit la racine de « tous les maux ».
L'avarice, cela se soigne ? Une psychothérapie ou des thérapies cognitivo-comportementales peuvent aider les personnes avares à vaincre leur radinerie. Une psychothérapie permet de comprendre pourquoi la personne en est arrivée là.
Texte. « Et pourquoi vous inquiéter au sujet du vêtement ? Considérez comment croissent les lis des champs : ils ne travaillent ni ne filent ; cependant je vous dis que Salomon même, dans toute sa gloire, n'a pas été vêtu comme l'un d'eux.
Connaître le Lys
La majorité des espèces sauvages sont originaires des régions tempérées de l'hémisphère nord (Amérique du Nord, Europe, Asie du Sud-Est). Les fleurs, en trompettes ou en étoiles, sont généralement parfumées.
Les deux graphies, lis et lys, sont admises. Lis, avec un i, est aujourd'hui plus courant.
Intéressé, avide d'argent, vénal, qui ne pense qu'à des préoccupations financières. Exemple : C'est une personne cupide qui a pour habitude de sélectionner ses amis selon leurs finances. Étymologie : du latin cupidus (qui désire). Avide, gourmand, qui veut toujours plus.
"Cela peut s'expliquer par l'éducation, l'environnement, la peur du manque, mais aussi la représentation de l'argent pour eux. Souvent les gens radins ne comprennent pas que l'argent est seulement un véhicule qui permet d'avancer. Pour eux c'est une sécurité, garder leur argent les sécurise", précise Pascal Anger.
vénaux. Qui n'agit que pour l'argent, qui n'est intéressé que par le gain matériel et financier d'une action. Exemple : Un amour vénal, un homme vénal, etc. Étymologie : du latin venalis issu de vendere (vendre).
Aimer l'argent, c'est accepter et aimer qu'il soit la résultante de ce que vous avez de meilleur en vous, un moyen d'échanger votre travail contre celui des meilleurs d'entre vous[…] Ceux qui aiment l'argent sont prêts à travailler pour en gagner. Ils se savent capables de le mériter. »
L'imagination en berne
Car l'addiction à l'argent entraîne souvent une autre modification psychologique, visible chez Harpagon : une atrophie de l'imagination. L'avare, selon Rogues de Fursac, souffre d'un défaut d'imagination, dont il est la plupart du temps victime depuis son enfance.
Familier. Qui est d'une avarice mesquine.
Ils cherchent dans l'argent ce qu'ils ne trouvent pas dans leurs rapports sociaux", avec un sentiment de malaise parmi leurs semblables.
profiteur, profiteuse
Personne qui cherche à tirer profit de toute occasion, en général aux dépens des autres.
Définition de pléonexie
Le terme pléonexie désigne le désir de posséder toujours plus, d'avoir plus que les autres en toute chose, de prendre plus que ce qui nous revient ou, inversement moins de cette chose si elle est néfaste ou si elle présente un désagrément.
A la question "comment vivre avec un(e) radin(e)", les témoins que nous avons interrogés sont assez unanimes: "La solution? Fuir!", répond Stéphanie. "Franchement, rien ni personne ne peut changer un radin, j'ai vécu avec un tel spécimen pendant sept ans, c'est juste l'horreur.