Il protège les personnes qui ne participent pas ou plus aux combats et restreint les moyens et méthodes de guerre. Le DIH est également appelé « droit de la guerre » ou « droit des conflits armés ». Le DIH fait partie du droit international qui régit les relations entre États.
A qui s'appliquent-ils ? Le DIH lie toutes les parties à un conflit armé : dans un conflit international, il doit être respecté par les États belligérants, tandis que dans un conflit interne il lie l'État et les groupes qui le combattent, ou qui se combattent entre eux.
Les Conventions de Genève et leurs Protocoles additionnels protègent les malades, les blessés et les naufragés qui ne participent pas aux hostilités, les prisonniers de guerre et les autres personnes privées de liberté, ainsi que les civils et les biens de caractère civil.
Le DIH s'applique uniquement aux conflits armés et ne couvre pas les situations de tensions internes ou de troubles intérieurs, comme les actes de violence isolés. Il s'applique seulement lorsqu'un conflit a éclaté, et de la même manière pour toutes les parties, quelle que soit celle qui a déclenché les hostilités.
L'une des éventualités est de dire « On ne fait pas de prisonniers », ce qui est un crime de guerre, et l'autre est de devoir relâcher son ennemi, ce qui n'est pas très satisfaisant. Il faut bien que les groupes armés non étatiques aussi puissent en détenir, mais cela pose évidemment toute une série de problèmes.
Qui sont les précurseurs du droit humanitaire contemporain ? Deux hommes ont joué un rôle essentiel dans sa création : Henry Dunant et Guillaume-Henri Dufour. Dunant en a formulé l'idée dans Un Souvenir de Solférino, publié en 1862.
Humanité, impartialité, neutralité, indépendance, volontariat, unité et universalité : ces sept Principes fondamentaux résument l'éthique du Mouvement et guident l'action qu'il mène afin de venir en aide aux personnes qui en ont besoin pendant un conflit armé, une catastrophe naturelle ou d'autres situations d'urgence.
En cas de doute, tout bien normalement affecté à un usage civil est présumé ne pas être utilisé en vue d'apporter une contribution effective à l'action militaire. Il ne pourra donc pas faire l'objet d'attaques et sera protégé contre les effets des attaques.
Le droit international humanitaire (DIH) est un ensemble de règles qui visent à limiter les effets des conflits armés. Il énonce les responsabilités des États et des groupes armés non étatiques pendant un conflit armé.
Les principes humanitaires fondamentaux sont : le principe d'humanité, qui définit la motivation de l'action humanitaire, ainsi que la neutralité, l'impartialité et l'indépendance, qui décrivent la manière dont l'aide humanitaire doit être fournie.
1ère Convention : protection des malades et blessés des forces armées en campagne. 2ème Convention : protection des malades et blessés et naufragés dans les forces armées sur mer. 3ème Convention : traitement des prisonniers de guerre. 4ème Convention : protection des populations civiles.
Quelles sont les faiblesses du DIH ? Une des principales limites du DIH, si ce n'est la plus importante, est sa mauvaise application : « Le problème de ce droit, ce n'est pas qu'il a vieilli, c'est qu'il est mal appliqué.
Où trouve-t-on le droit international humanitaire ? Le DIH se trouve essentiellement dans les quatre conventions de Genève de 1949.
Le droit international humanitaire est un ensemble de règles qui visent à limiter les effets des conflits armés pour des raisons humanitaires. Il protège les personnes qui ne participent pas, ou plus, aux hostilités et restreint les moyens et méthodes de combat.
La Protection transversale est le processus d'incorporation des principes de protection pour la promotion d'un accès significatif, sécuritaire et digne des personnes affectées par les crises humanitaires aux activités de réponses humanitaires.
Les principes d'humanité, de neutralité, d'impartialité et d'indépendance sont fondamentaux pour l'action humanitaire.
Tous les États ont l'obligation claire d'adopter et d'appliquer des mesures de mise en œuvre du DIH. Celles-ci peuvent être prises par un ou plusieurs ministères, par le pouvoir législatif, les tribunaux, les forces armées ou d'autres instances étatiques.
Le droit international humanitaire (DIH) ou droit humanitaire international (DHI), appellation de ce qui est connu traditionnellement sous le nom droit de la guerre et des gens, est un ensemble de règles qui tend à limiter les effets des opérations de guerre, en particulier à l'égard des populations et des ...
La prévention est la meilleure protection des civils dans les conflits armés, mais qu'en l'absence de paix, a-t-il souligné, le système des Nations Unies, les parties prenantes au niveau international et les gouvernements doivent adopter une approche générale et coordonnée pour protéger les civils en temps de guerre.
Qu'est ce que le droit international ? Le droit international définit les responsabilités juridiques des États dans leurs relations les uns avec les autres et les rapports que peuvent avoir ces États avec les individus qui vivent sur leur territoire.
Cela signifie que le CICR n'est pas considéré comme un organisme privé ou une ONG, mais comme une organisation intergouvernementale pour l'action qu'il poursuit dans le cadre de son mandat international.
Le droit international humanitaire est codifié dans les Conventions de Genève du 12 août 1949 et les 2 protocoles additionnels du 8 juin 1977 qui ont renforcé la protection des victimes de conflits armés internationaux et celle des victimes de conflits armés non internationaux.
Il a pour emblème la croix rouge sur fond blanc. Sa devise est " Inter arma caritas " . Il fait également sienne la devise " Per humanitatem ad pacem " .