Selon les personnes en bonne santé, les problèmes de santé sont principalement dus à des comportements individuels, tandis que celles qui sont en mauvaise santé soulignent avant tout le rôle des conditions de travail.
Les maladies non transmissibles comme le diabète, le cancer et les cardiopathies, responsables de plus de 70% des décès dans le monde, sont en augmentation. Cette augmentation est due principalement au tabagisme, à l'inactivité physique et à la consommation excessive d'alcool et d'une mauvaise alimentation.
Ces quatre champs sont : les caractéristiques individuelles; • les milieux de vie; • les systèmes; • le contexte global. Tous les déterminants de la santé se retrouvent dans l'un ou l'autre de ces champs.
Stress, revenu, éducation, relations sociales, environnement, travail, bagage génétique… tout ceci – et bien d'autres choses – influence notre état de santé. On appelle ces facteurs « déterminants de la santé ».
Plus de la moitié des chefs d'entreprises (58%) estiment que le stress est à l'origine de leurs problèmes de santé. Alors qu'ils n'étaient que 38% à dresser ce constat en 2015.
Responsables de 16 % de tous les décès enregistrés dans le monde, les cardiopathies ischémiques sont la première cause de mortalité à l'échelle mondiale. Les décès dus à ces maladies sont ceux qui ont le plus augmenté depuis 2000, passant de 2 millions cette année-là à 8,9 millions en 2019.
Un problème de santé peut facilement se détecter par un changement de fréquence, de couleur ou d'odeur des urines. Contenant environ 70 % de marqueurs détecteurs d'une maladie, une modification anormale doit te questionner.
Un problème de santé est considéré comme un besoin non satisfait ; le Besoin étant un écart entre une situation souhaitée et celle qui prévaut et surtout exprimé par la communauté.
Mucoviscidose, myopathies, hémophilie, drépanocytose, maladie de Parkinson, maladie de Crohn, maladie de Paget, fibromyalgie, syndrome de Guillain Barré, lupus, maladie de Hodgkin…
Les inégalités territoriales se potentialisent ainsi au contact des inégalités sociales et contribuent au renoncement aux soins. L'accès économique stricto sensu se dégrade lui-même, en dépit d'efforts comme la couverture maladie universelle (C.M.U.) et les aides sociales.
Elles résultent d'une inégalité de distribution d'une multitude de déterminants sociaux tels que le genre, le pays de naissance, la composition familiale, le revenu, la scolarité, le métier, le soutien social mais aussi d'autres déterminants plus globaux, telles que les politiques sociales.
Se coucher de bonne heure, prendre, dans le calme, quatre repas par jour, se laver soigneusement, s'habiller en fonction du temps qu'il fait, se détendre et faire du sport sont de bonnes règles de vie qui permettent de préserver sa santé.
La pollution
Tous les types de pollution ont des impacts négatifs sur notre santé et sont à l'origine de nombreux décès prématurés. Allergies, maux de tête, cancers, troubles respiratoires, maladies cardiovasculaires font partie du cocktail de maladies et troubles apporté par la pollution de toute sorte.
Le revenu d'une personne constitue le déterminant de santé le plus important, puisqu'il exerce une influence sur l'ensemble des conditions et des habitudes de vie.
1 « Une meilleure santé est essentielle au bonheur et au bien être. Une meilleure santé contribue également de manière importante au progrès économique, puisque les populations en bonne santé vivent plus longtemps, sont plus productives et épargnent plus » (Organisation Mondiale de la santé 2009).
La santé est un état de complet bien-être physique, mental et social et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d'infirmité.
Le National Health Service, le système de santé publique britannique, a listé les pathologies les plus douloureuses pour le corps humain. La migraine, la sciatique, l'appendicite, la fracture osseuse ou encore l'attaque cardiaque: autant de pathologique provoquant des douleurs insupportables.