Abstème désigne, par extension, une personne qui ne boit pas de vin, pas d'alcool en général.
L'alcoolique abstinent, cet être socialement anormal
Dans les occasions de boire, si l'offre incluait dorénavant, systématiquement, des boissons non alcoolisées, l'alcoolique abstinent ne se singulariserait plus comme socialement anormal.
Impulsion morbide se traduisant par une tendance irrésistible à boire de grandes quantités d'un liquide toxique, en général alcoolisé, et survenant par crises périodiques souvent précédées d'une phase de tristesse. Synon. méthilepsie, méthomanie.
buveur n. Personne qui aime boire des boissons alcoolisées. buveuse n.f.
Abstème désigne, par extension, une personne qui ne boit pas de vin, pas d'alcool en général.
Par son effet sédatif, désinhibiteur et euphorisant, l'alcool permet à l'individu qui en consomme de panser temporairement ses plaies et de se sentir bien l'espace d'un moment.
- Pour en parler : faire preuve d'écoute, tenter de comprendre les raisons qui poussent l'autre à boire. Les reproches et le chantage peuvent se montrer néfastes. Restez ouvert au dialogue. - Pour l'aider à résoudre ses problèmes : orienter vers des professionnels, des numéros d'aide ou des associations locales.
La potomanie est une pathologie principalement psychiatrique qui se caractérise par un besoin irrépressible de boire de l'eau. Cette consommation excessive d'eau, jusqu'à 10 litres ou plus par jour, peut devenir mortelle, car l'organisme ne peut pas tout assimiler.
Quel traitement ? La dipsomanie nécessite, comme toutes autres addictions, une prise en charge psychiatrique et médicamenteuse. Le traitement de la dépendance est un traitement à long terme. Dans l'idéal, les objectifs de la prise en charge visent à une abstinence totale.
On estime que l'alcool est responsable de 11% des cancers chez les hommes et 4,5% des cancers chez les femmes. Il augmenterait plus particulièrement le risque de développer certains cancers : voies digestives, œsophage, foie, sein, cancer colorectal.
L'arrêt de l'alcool a plusieurs effets sur le corps, notamment au niveau du cerveau, mais aussi sur le poids, la peau et l'état psychologique de la personne qui reprend confiance en elle. Détails avec le Dr Dan Véléa, psychiatre addictologue et psychothérapeute à Paris.
pochtronne. Individu abusant des boissons alcoolisées. Ivrogne, alcoolique, buveur invétéré. Exemple : C'était l'un des plus fameux pochtrons du quartier.
s'il n'est accompagné d'aucun autre alcool. Il faut du reste discerner entre l'ivrogne et l'alcoolique, car ce sont deux faits très différents. Un ivrogne est celui qui se rend malade et perd le contrôle de sa raison, puis de ses actes, sous l'effet de la boisson.
La potomanie est un trouble de la soif engendrant une consommation excessive de liquide, notamment d'eau. Certains potomanes peuvent absorber jusqu'à 24 litres d'eau par jour quand la consommation moyenne normale est d'1,5 litre. Deux types de potomanies peuvent être distingués.
La raison est très simple : on retrouve du gaz carbonique dans la bière, car il s'agit d'une boisson gazeuse. Lorsque l'on boit une bière, on peut d'ailleurs constater que notre ventre a tendance à se gonfler, car ce gaz carbonique va distendre l'estomac et donc créer ce ventre à bière, mais d'abord temporairement.
Ainsi, une personne est considérée alcoolique lorsqu'elle consomme de façon régulière, voire journalière : plus de 3 verres par jour si c'est un homme ; plus de 2 verres par jour si c'est une femme.
L'alcoolorexie n'étant pas médicalement reconnue, les symptômes de cette pathologie ne sont pas clairement définis. Elle se manifeste donc par le fait de sauter des repas pour pouvoir boire de l'alcool et réduire ainsi le nombre de calories ingérées.
Cette affection est causée par une infiltration granulomateuse secondaire à une rosacée évoluée. Dans le passé, elle était à tort considérée comme étant la conséquence d'une consommation excessive d'alcool.
Etre «ivre d'amour» est une métaphore courante dans notre culture qui assimile souvent l'attirance sexuelle ou sentimentale à une perte momentanée de raison… L'alcool induit un état second à quoi on a souvent comparé le désir. Il rend fou.
L'alcool favorise la graisse du ventre
Beaucoup de personne ignorent cela, mais l'alcool est grand facteur de prise de graisse superflue au niveau du ventre. La consommation de l'alcool favorise grandement l'accumulation des graisses au niveau de l'abdomen surtout chez les grands consommateurs de bière.