Les gasps sont des mouvements respiratoires agoniques traduisant une souffrance cérébrale hypoxique (manque d'oxygène).
Le gasp est une suite de mouvements respiratoires agoniques. Ils sont inefficaces, lents, bruyants et anarchiques. Le gasp n'est pas rare et serait présent dans 40 % des cas d'arrêts cardio-respiratoires.
Les gasps sont des mouvements respiratoires agoniques parfois présents lors d'un arrêt cardiaque et qui peuvent persister quelques minutes. Il s'agit de reflexes naturels qui améliorent l'oxygénation et la circulation et qui découlent de l'activité du tronc cérébral.
L'arrêt cardiorespiratoire (ACR) est l'arrêt de la circulation du sang et de la respiration chez un individu.
Les signes avant-coureurs de l'arrêt cardiaque
Lorsque la cause est un infarctus du myocarde, le sujet peut présenter, dans les jours ou les heures qui précèdent, une douleur thoracique prolongée pouvant s'étendre jusqu'aux bras, une sensation d'oppression, de serrement voire d'écrasement.
Puis-je tuer la victime si je masse un cœur qui bat ? Il a été démontré que le risque de blessure grave du fait de compressions thoraciques aux victimes qui ne sont pas en arrêt cardiaque est négligeable.
Si la victime est inconsciente et qu'elle ne respire pas, commencez tout de suite la réanimation cardio-respiratoire ou réanimation cardio-pulmonaire, c'est-à-dire le massage cardiaque en alternance avec la respiration artificielle.
Lors d'un arrêt cardiaque, aucun sang n'arrive au cerveau. C'est un choc pour le cerveau. Si un arrêt cardiaque dure plus de 5-6 minutes sans aucune réanimation, le tissu cérébral s'abîme. C'est ainsi que des lésions cérébrales apparaissent.
Si l'on dort la bouche ouverte, c'est que notre corps préfère respirer par cette voie. Seulement, en respirant ainsi, la bouche est asséchée, et la salive manque. Et c'est cette dernière composante qui est primordiale… La salive joue un rôle protecteur important sur les dents.
Le terme hypoxie désigne une situation où la disponibilité en oxygène est réduite. Elle peut être rencontrée dans différentes situations pathologiques comme dans les maladies respiratoires ou cardiaques.
Un dysfonctionnement du système électrique du cœur peut provoquer une arythmie (battements de cœur irréguliers) fatale et une perte de la capacité de pompage du cœur. En conséquence, le cœur peut s'arrêter soudainement (mort subite d'origine cardiaque) et nécessiter une réanimation d'urgence immédiate.
QU'EST-CE QU'UNE RESPIRATION AGONALE? La respiration agonale est le signe tardif d'un manque grave d'oxygène (hypoxémie ou anoxie) viii et est généralement le dernier stade avant l'apnée complèteix.
La respiration agonale est un schéma anormal de respiration et de réflexe du tronc cérébral caractérisé par une respiration haletante et laborieuse, accompagnée de vocalisations étranges et de myoclonies.
une tension artérielle supérieure à 140 mm/Hg ; la présence d'un antécédent familial d'infarctus du myocarde ; un excès pondéral (IMC>25)
La crise cardiaque est un infarctus du myocarde. Il est dû à une oblitération d'un vaisseau qui alimente le cœur, provoqué par un caillot sanguin ou une athérosclérose. La crise cardiaque peut causer des lésions cardiaques irréversibles, notamment favoriser l'apparition d'une insuffisance cardiaque.
La mort subite cardiaque se définit comme une mort naturelle avec perte brutale de conscience dans l'heure qui suit le début des symptômes, chez un sujet ayant ou non une maladie cardiaque connue. Le moment et le mode de survenue sont inattendus.
Au départ, à 70 ans, 29% d'entre elles rapportaient de la fatigue; à 78 ans, cette proportion était passée à 53 %; et autour de 85 ans, c'était plus des deux tiers, à 68 % [http://bit.ly/328LxHo].
Respirer par la bouche expose à un plus grand nombre d'infections car l'air entrant est froid et encore chargé en bactéries. Une croissance de la face : Une des grandes conséquences néfastes de la respiration buccale est une croissance pathologique des mâchoires et du visage.
En s'approchant de la mort, une personne peut dormir davantage, être somnolente ou être difficile à réveiller. Elle peut tomber endormie même en parlant. Elle peut aussi perdre lentement conscience au cours des jours ou des heures qui précèdent sa mort.
Le stress est un facteur déclenchant de troubles du rythme cardiaque, d'accidents coronariens aigus, d'insuffisances cardiaques soudaines, de morts subites. Tous les cardiologues peuvent rapporter des observations de décès à l'occasion d'émotions fortes, d'événements tragiques.
Dès lors, si une personne est inconsciente, mais respire encore (après un choc ou un effondrement), une attitude simple est à adopter : placer la victime en position latérale de sécurité (PLS). Autrement dit, mettre la personne sur le côté, la tête reposant contre le bras et les jambes à angle droit.
Les bons gestes à retenir
Faire alerter les secours et réclamer un D.A.E. 4. Pratiquer immédiatement la réanimation cardio-pulmonaire en répétant des cycles de 30 compressions thoraciques / 2 insufflations.