Les maladies sexuellement transmissibles (MST) sont dues à différents micro-organismes (bactéries, virus, champignons ou parasites) et se transmettent lors des rapports sexuels. Certaines infections virales, comme l'herpès génital ou les verrues génitales sont endémiques dans la population.
Qu'est-ce qu'un trouble du comportement sexuel compulsif ? Selon l'Organisation Mondiale de la Santé, "le trouble du comportement sexuel compulsif est caractérisé par un échec persistant du contrôle des impulsions sexuelles intenses, répétitives ou des fortes envies aboutissant au comportement sexuel répétitif.
Les IST les plus connues sont le VIH/Sida, les hépatites B et C, l'herpès, la blennorragie gonococcique, les chlamydioses, la syphilis et les papillomavirus.
L'érotomanie, ou syndrome de Clérambault, est un trouble psychologique délirant qui se caractérise par la conviction chez un individu qu'il est aimé par un autre. Comment expliquer cette passion pathologique ?
"Lorsqu'une infection bactérienne est suffisamment importante elle se signale toujours par de la fièvre plus ou moins élevée et entraîne des douleurs et autres symptômes qui dépendent de l'organe en cause : il peut s'agir de douleur pharyngée, de toux, de gêne respiratoire, de douleurs abdominales, diarrhée ou ...
Sensation de brûlure en urinant. Rougeurs des muqueuses (organes génitaux, anus, gorge). Douleurs pendant ou après les rapports sexuels. Douleurs au vagin, au méat urinaire (orifice à l'extrémité du gland) et/ou au bas ventre, ganglions gonflés, fièvre.
Le traitement se fait par voie orale ou par injection intra-musculaire d'antibiotiques : la ceftriaxone par voie injectable est actuellement le traitement de première intention. Une consultation de contrôle doit être effectuée 7 jours après la prise du traitement.
Herpès génital : l'herpès se caractérise par des lésions muqueuses en vésicules au niveau des organes génitaux, de l'anus ou de la bouche. Ces lésions peuvent entrainer démangeaisons et parfois brulures urinaires. Chlamydiose : il s'agit de l'IST la plus fréquente. Cette dernière est souvent silencieuse.
Ce qu'on appelle l'hypersexualité se situe dans un continuum, qui va de personnes qui n'ont pas ou peu d'intérêt pour la sexualité à d'autres qui y pensent presque constamment. Pendant longtemps, on s'est surtout intéressé aux premières.
Entre 48h et une semaine après un rapport sexuel non protégé avec une personne atteinte, les symptômes apparaissent. La personne contaminée présente de la fièvre et des douleurs au bas ventre ainsi que des brûlures et/ou pertes et écoulements jaunes au niveau des organes génitaux et/ou de l'anus.
La chlamydia
Elle peut de temps en temps se manifester par des brûlures, des écoulements inhabituels, des douleurs lors des rapports sexuels, des maux de ventre ou de la fièvre. Les signes apparaissent généralement 1 à 2 semaines après la contamination.
Sur ces huit infections, quatre peuvent être guéries : la syphilis, la gonorrhée, la chlamydiose et la trichomonase. Les quatre autres sont des infections virales incurables : l'hépatite B, le virus de l'herpès (HSV), le VIH et le papillomavirus humain (PVH).
L'herpès génital entraîne une éruption de petits boutons, ressemblant à des bulles, sur les organes génitaux (pénis, vulve, peau autour des organes génitaux, vagin, anus...) Les démangeaisons et les sensations de brûlures sont souvent douloureuses.
Symptômes d'infection à Chlamydia chez l'homme
En plus d'écoulement par le pénis ou le rectum, peuvent apparaître : des brûlures en urinant, dues à l'inflammation de l' urètre ou urétrite ; des douleurs au niveau des testicules ; des douleurs rectales.
Définition. La blennorragie (appelée aussi urétrite gonococcique ou chaude-pisse dans le langage populaire) est une infection sexuellement transmissible (IST). Il s'agit d'une infection des organes génito-urinaires par un gonocoque.
La leucoplasie chevelue serait spécifique du VIH
Il s'agit d'excroissances blanches striées, sur le bord latéral de la langue. La cause en serait l'EBV ou l'HPV. Cette lésion est presque pathognomonique du VIH.
Que faire juste après un rapport non protégé ? Même si cela ne protège pas contre les IST, uriner après des relations sexuelles peut vous aider à réduire le risque de contracter une infection urinaire. Les IU affectent tout le monde, mais les femmes sont 30 fois plus enclines à en contracter que les hommes.
L'infection urinaire se produisant régulièrement après une relation sexuelle est liée à des microbes naturellement présents au niveau de la peau située entre l'urètre et l'anus. Et ces bactéries remontent parfois dans l'urètre jusqu'à la vessie, peut-être parce qu'elles vont vers la chaleur humide.
"La grande majorité des couples ne pourra dans la durée accepter de vivre dans une forme d'abstinence sexuelle sans conséquences pour leur union. La sexualité restera un élément indispensable et indissociable du couple et de l'amour favorisant leur épanouissement et bien être mutuel.
Deux à soixante jours après la contamination, un bouton indolore affleure au niveau génital – vagin, vulve, col de l'utérus, rectum, mais aussi bouche ou gorge.
Vous pouvez vous faire dépister : dès six semaines après la dernière exposition au VIH (prise de sang) ; dès trois mois après la prise de risque avec un TROD (test rapide d'orientation diagnostique) ou un autotest. Un résultat positif devra dans ce cas être confirmé par une prise de sang.
Les irritations après un rapport sont généralement bénignes et sont souvent dues à une sécheresse vaginale, mais peuvent parfois être le signe d'une vaginite (inflammation causée par la présence d'une bactérie ou d'un champignon), d'une IST ou d'une intolérance à un produit chimique (lubrifiant, préservatif, spermicide ...