Ce qui caractérise cette maladie c'est la présence d'hallucinations. Le patient entend des voix par exemple. Ou ils ont des idées étranges telles que le fait que les gens entendent leurs pensées. L'anxiété, l'insomnie, la constipation, l'énurésie, sont d'autres effets de cette dépression.
Pour traiter ce type de dépression, l'administration d'un anti-dépresseur est indiquée. Les antidépresseurs tricycliques comme la clomipramine semblent donner les meilleurs résultats.
Les troubles psychotiques affectent le fonctionnement du cerveau en modifiant les pensées, les croyances ou les perceptions. Une personne présentant un trouble psychotique peut, par exemple, être convaincue d'être épiée ou suivie, entendre des voix ou avoir l'impression que d'autres personnes manipulent ses pensées.
Les symptômes psychotiques sont liés à un déséquilibre de la dopamine dans le cerveau. Il n'y a pas de cause unique. C'est l'association d'une vulnérabilité depuis la naissance à des facteurs de stress au cours de la vie qui peut aboutir à des symptômes psychotiques.
de troubles de l'humeur avec tristesse, abattement, découragement, pleurs fréquents, angoisse envahissante.
Une fatigue (asthénie), souvent plus marquée le matin. Une perte d'appétit, souvent associée à une perte de poids. Des troubles du sommeil, avec souvent une insomnie en deuxième partie de nuit et un réveil matinal précoce. Des troubles de l'attention, de la concentration et de la mémoire chez la plupart des malades.
Les personnes se trouvant dans un état psychotique ne sont généralement pas agressives. Elles sont beaucoup plus susceptibles de s'en prendre à elles-mêmes que de s'attaquer aux autres. Cependant, certains symptômes de la psychose (les illusions sensorielles et les hallucinations, p. ex.)
Les symptômes sont notamment les suivants : idées délirantes récurrentes, hallucinations, pensée désorganisée, comportement très désorganisé ou agitation extrême.
Les symptômes les plus caractéristiques d'un épisode psychotique sont des pensées confuses, des fausses croyances ou délires (se croire l'objet d'une surveillance par des policiers par exemple), des hallucinations (voir, entendre, sentir des choses qui n'existent pas), des modifications des émotions et des ...
Consulter dès les premiers signes est essentiel car plus la psychose est prise en charge tôt, plus elle a de chances d'être traitée de manière adaptée et enrayée, s'il s'agit d'un épisode aigu, ou tout au moins atténuée s'il s'agit d'un trouble chronique.
L' anxiété est une composante de la psychose confusionnelle inhibée, mais elle est secondaire à la difficulté de faire face à l'afflux d'informations. Le diagnostic différentiel avec la paraphrénie affective se fait sur : L'inadéquation des idées délirantes par rapport à l'intensité de l'humeur.
« Affectif » fait référence aux émotions et à l'humeur de la personne. Les médecins envisagent un diagnostic de trouble schizo-affectif lorsque la personne présente à la fois une psychose et des troubles de l'humeur (comme une dépression ou une manie).
Une pathologie d'origine génétique et environnementale
La schizophrénie est une maladie dont l'origine est plurifactorielle. Son développement résulterait d'une interaction entre gènes et environnement, suggérant qu'il existe une vulnérabilité génétique précipitée par des facteurs environnementaux.
Le terme "troubles psychotiques" désigne les tableaux psychiatriques associant des éléments délirants et/ou des phénomènes hallucinatoires et/ou une importante désorganisation psychique.
Le traitement des symptômes psychotiques à proprement parler passe par la prise de médicaments neuroleptiques ou antipsychotiques. Ces traitements permettent de lutter contre la perte de contact avec la réalité et la désorganisation de pensée.
Les troubles psychotiques ont généralement une origine multifactorielle. C'est souvent la combinaison de plusieurs facteurs qui entraîne l'affection. Parmi ces facteurs, on compte l'hérédité, l'abus de substance (alcool ou drogue) et le stress.
Au niveau comportemental, les études font état, dans la dépression, d'une diminution de la reconnaissance des expressions faciales positives ainsi que d'une augmentation de la reconnaissance des expressions négatives, notamment la tristesse.
La dépression ne se guérit pas à force de volonté. C'est une maladie qui nécessite la mise en œuvre d'un traitement spécifique. Les stratégies thérapeutiques existantes sont efficaces dans au moins 70% des cas. Des pistes émergent pour les cas de dépression résistante.
Une étude récente a mis en lumière la présence d'altérations neurocognitives chez les patients dépressifs et chez les cas témoins. Les principaux déficits se trouvent au niveau de la mémoire, de l'inhibition, de l'attention partagée et des fonctions exécutives.